Un long et riche entretien avec le professeur Christian Perronne, instructif sur la situation que nous vivons, sur le plan sanitaire et politique, mais aussi sur la prise de conscience d’une partie de nos concitoyens. Le médecin et scientifique en est une belle illustration, comme on pourra le lire ci-dessous, et l’entendre en cliquant sur le lien qui suit ces quelques extraits.

« Je suis horrifié. Parce que maintenant toutes les données scientifiques que par exemple ces pseudo-vaccins ne marchent pas, on les a, toutes les données comme quoi il induit une surmortalité dans tous les pays qui ont largement vacciné, on les a, on sait que ça provoque la stérilité, y a une flambée des cancers, tout ça on le sait. Tout ça les médias de grand chemin n’en parlent pas. Et quand je vois qu’on prend le prétexte de ce variant complètement bénin pour aller lancer – c’est quand même la Direction générale de la santé – une campagne de vaccination grippe-covid… Et qu’est-ce qu’ils ciblent ? Les personnes âgées ? On sait qu’elles supportent très mal cette inoculation expérimentale. Les femmes enceintes ? On n’a pas le droit d’inoculer une femme enceinte avant vingt ans de mise sur le marché d’un vaccin, normalement. Donc ça veut dire que c’est totalement ahurissant. J’ai même vu des malades psychiatriques, des trisomiques, et puis des personnes fragiles. Donc c’est quand même honteux de voir qu’aujourd’hui, alors qu’on sait tous que ces produits ne marchent pas et sont dangereux, on va relancer une campagne ? Mais ce sont des gens qui ont perdu toute raison. »

« Ils essaient de réinstiller la peur. Même s’ils vont probablement pas y arriver, on sait qu’en France, dans d’autres pays, ils avaient déjà imaginé de refaire des confinements, de masquer tout le monde pour l’automne… Bon, je pense qu’ils n’y arriveront pas, parce que maintenant on a la preuve formelle que les confinements, ça n’a servi à rien, le masque en population générale, ça n’a servi à rien, on a des preuves scientifiques, des comparaisons entre les pays, comment ils pourraient oser nous ressortir ça ? »

« C’est très pratique un masque en dictature, parce que "ah le gars là-bas, il est pas masqué, c’est un opposant". »

« Moi, j’avais encore confiance y a trois ans, c’est pour ça que je remercie les organisateurs de cette pandémie de m’avoir ouvert les yeux, parce que moi aussi je croyais vivre en démocratie y a trois ans, mais quand on voit que les milliardaires nous manipulent depuis cinquante ans, ça je l’avais pas réalisé, et qu’ils avaient déjà prévu tout ça y a trente ans, parce que maintenant y a des écrits, des témoignages formels, de Jacques Attali, etc. »

« C’est un plan qu’ils appliquent. Macron, c’est une marionnette, c’est pas lui qui décide. On lui dit "faut casser l’hôpital public français", bah il le fait très bien. C’est l’État profond, y a des milliardaires derrière, des grands banquiers qui lui dictent sa politique. Maintenant, les politiciens dans notre société, ce sont des marionnettes qu’on agite devant les Français pour leur faire croire que c’est la démocratie, qu’ils les ont choisis, mais en fait c’est pas eux qui décident. »

« En France, ils reconnaissent qu’il y a une augmentation de mortalité y compris chez les jeunes, ça a été reconnu même dans des grands journaux, par les autorités, et puis la stérilité aussi, chute de la fécondité, qui a commencé neuf mois après le début de la campagne vaccinale, neuf mois, je sais pas ce que ça veut dire… »

« En France, ils ont pratiquement interdit les autopsies dans le covid, mais y a quand même des équipes en Allemagne, aux États-Unis qui ont fait des autopsies à la fois chez les gens morts du covid et chez les vaccinés covid, y a le professeur [Arne] Burkhardt, un professeur allemand, quand j’ai fait une conférence au Parlement européen à Bruxelles au début de l’été, il était là, j’étais assis à côté de lui à la conférence de presse et il a montré de manière formelle que les vaccinés avaient plein de thromboses, plein de caillots dans les vaisseaux qui généraient des accidents vasculaires cérébraux, des infarctus du myocarde, de l’inflammation, et ça on peut pas le nier, c’est un fait scientifique, malheureusement, j’espère que c’est vraiment un accident, une dizaine de jours après ou même deux semaines après son passage au Parlement, il est mort noyé bêtement. Bon, ça m’a un peu fait peur parce que j’étais à côté de lui, j’ai quand même vu plusieurs personnalités qui disaient les choses clairement qui sont mortes bêtement, j’espère que je vais pas mourir bêtement… Vous saurez que si je meurs bêtement, vous saurez d’où ça vient parce que je ne suis pas suicidaire, je ne prends pas de médicaments… Bon, moi j’men fous, je ne crains pas la mort, je me battrai, mais je connais des gens qui ont été menacés directement en France, je dirai pas de noms. »