Protéger notre nation et détruire toutes les autres..... voila voila.

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Le pessimisme de Achachi peut se résumer ainsi : les BRICS, chronique d’une mort annoncée, en raison d’une absence de dénominateur culturel commun et d’objectif fédérateur, en dehors de la convergence autour du rejet de l’hégémonie occidentale.

Je ne souscris pas à ce défaitisme fondé sur une triple erreur :

1- Rachid Achachi croit les BRICS suffisamment naïfs pour envisager une coopération heureuse au long cours ; il perçoit leur alliance comme une lune de miel temporaire qui se soldera nécessairement par un cri d’horreur à la découverte du strabisme divergent de la mariée. Or, il n’en est rien, puisque chaque pays membre sait exactement ce qu’il y a à attendre des autres, dont ils connaissent les forces et les limites.

Les BRICS n’ont jamais décrété vouloir constituer une alliance pérenne, ne se sont pas promis amour et fidélité éternelles. Les BRICS érigent un système où l’entraide, au sens où l’entend Pierre Kropotkine, se substitue à l’exploitation, le dialogue à l’humiliation. Chaque pays peut néanmoins dénoncer le contrat à tout moment, de sorte que cette projection sentimentale sur la nature des BRICS relève de l’erreur d’appréciation.

2- « La rupture entre le monde russe et le monde occidental est définitive » : Là, ce n’est plus de l’analyse mais un besoin de Prozac. Aucune analyse géopolitique sérieuse n’a pour prémices le figement de l’histoire, la fossilisation des relations diplomatiques dans le continuum temporel, ni l’imperméabilité des civilisations les unes aux autres. Cela n’existe pas, tout simplement.

3- « Il y a une asynchronie entre la Chine et la Russie qui n’est pas flagrante » mais qui deviendra criante : Les 2 parties en sont conscientes et s’en fichent. Les Chinois sont hors catégorie. Ils nous voient tous comme de gros débiles, des agités du bocal à exploiter économiquement, sans embrasser ni la cause des uns ni celle des autres. La Chine ne prend part qu’aux guerres économiques.

Déduction : L’absence de lien organique entre les BRICS n’est pas un gage d’échec. Les BRICS sont une alliance contractuelle, purement opportuniste et rationnelle, une conjugaison d’intérêts conjoncturels.

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Intéressant ou il y a beaucoup a dire.
Le BRICS est pas opposé au N.O.M mais plutôt opposé a l’empire anglo-américain judéo-maçonnique. le nom BRICS est révolue car c’est plutôt une forme de ONU dans l’ONU.

Le terme judéo-protestant n’est pas vraiment approprier c’était avant la révolution américaine et française et encore l’état pontificale n’a jamais vraiment ouvert de conflit avec l’Angleterre tanto catholique tanto protestante. Ont se demande qui suit qui entre le Vatican et le Trône Angleterre anglo-saxon franque en 2023.

Je pense que la Chine a une stratégie d’apaisement entre la l’axe OTAN et axe Russie-Iran car la Chine dans 20 ans deviendra la première puissance mondiale qui contrôlera l’Asie pacifique en plus d’être l’empire du milieu. Entre d’autre terme cela arrange la Chine que les européens (vieux monde, nouveau monde et Russie) sont divisés même si elle est contre toute escalade de guerre et anti-guerre nucléaire.

Entre la fin de la seconde guerre mondiale et les années 90 l’empire anglo-américain gagne et impose sa vision du monde c’est l’apogée du système libéral.

Le système libéral montre son vrai visage dans les années 2000 suite a l’impact du changement de civilisation dont nous connaissons les diverses manœuvres politique machiavéliques. A cette même période a Russie a misé sur sa technologie militaire et a donc fait échoué les plans de l’OTAN aujourd’hui grâce a son immense territoire et ses ressources elle peut facilement avoir des alliées pragmatique.
La révolution Iranienne a entrainé le mouvement chiite-sunnite (incarnée particulièrement par le hezbollah) qui domine le proche orient ou presque. le conflit Ukro-Russie déclenché par les occidentaux judéo-maçonnique a clairement mis sur la select l’état sioniste. (la Turquie et l’Arabie saoudite sont le bouclier d’Israël)

Gog et Magog n’ont rein avoir avec le roi (ou la ville) Magog dans l’ancien testament. C’est un peuple qui n’est pas humain et vie sous terre. Le récit raconte que cette population sortait d’un passage et commettait des carnages en plus de tout détruire sur son passage puis repartait. Le roi-prophète Salomon par la demande des habitants et la bénédiction de DIEU a bouché le passage par un rempart spécial.
Gog et Magog seront un fléau (mondiale ou continental) pendant que le Christ sera sur terre. Ils seront inarrêtable sauf par DIEU qui les tuera tous par une maladie.

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Un bon interviewer et un bon intervievé ; On peut percevoir le présent et ce qui viendra après le déclin de l’époque . L’Europe sera des pays de deuxième zone , oui et pour des décennies .

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Quand Rachid Achachi à 1.03.14 parle de rupture épistémologique de la Russie avec l’Occident, je pense pense qu’il voulait dire ontologique, l’épistémologie c’est l’étude de l’histoire critique des sciences. Merci pour cet excellent échange à tous les deux.

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Je note qu’il y a un point important qui n’a pas été abordé, autrement qu’en aspect simple, c’est la dé-dollarisation, qui revêt pourtant un aspect fondamental du lien qui unit et renforce les Brics.
Il y a d’une part l’aspect du renoncement à la monnaie de l’hégémonie américaine avec ses lois extra-territoriale qui en découlent, mais plus important encore, le fait pour certains pays de pouvoir commercer avec leurs monnaies nationales, une révolution qui équivaut à changer de statut, passant de locataire d’un moyen de paiement à celui de propriétaire de son mode de transaction.
Il a été évoqué que les Chinois ne veulent pas dédollariser trop vite et cela se comprend, mais ce n’est plus aux mains des seuls Chinois.
Je dirai en somme que la grenade est déjà dégoupillée et que la seule valeur du Dollar, c’est depuis longtemps l’armée US pour le défendre.

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Je cite le présentateur achachi à 1h00min50s
« Je pars de l’idée qu’il y a des choses que l’histoire exige et que les règles de la géopolitique exige »

Encore une injonction péremptoire d’une suffisance décevante… ça vient d’où ? Quatrième chapitre du cours d’histoire de terminale ? Eh bien, cette idée elle est bidon !

L’histoire n’exige rien et en géopolitique il n’y a aucune règle…

Il y a des hommes, des collectifs, dont les actions collectives sont motivées par des intérêt collectifs distincts (éventuellement divergents).

Comme remarqué plus loin, la russie a défini ses propres intérêts, en rupture définitive avec les intérêts de l’occident collectif, et qui ne sont pas les intérêts de la chine (qui à certains égards pourrait presque s’accommoder de l’occident).

Les BRICS c’est le club des états souverains qui respectivement œuvrent pour faire valoir leur intérêts dans le concert des nations.
L’occident collectif est la meute des nations acquise à l’idéologie messianique… œuvrant pour l’avènement d’un NOM correspondant à leurs intérêts.

S’il y a un NOM, c’est qu’il y a un ancien ordre mondial…. Le NOM ne procrastine pas, on y va, on y va !
C’est sa nature qui est en train d’être déterminée sous nos yeux : soit (en sautant toutes les médiation) c’est le noachisme, soit un ordre composant avec les intérêts des différentes nations (évidemment celles qui ont la capacité ET la volonté de faire valoir leurs intérêts).

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[suite et fin]

Poutine l’a rappelé il y a quelque temps, je sais plus où : « le temps des idéologies est révolu ! »

Ça veut dire de facto : aux chiottes l’islam politique (cf . Synode de Grozny, et la nouvelle posture de l’Arabie Saoudite), mais aussi aux chiottes le judaïsme politique (le retour aux frontière de 67 est déjà dans les tuyaux) et aux chiottes le noachisme….

Cette déclaration a aussi été interprété dans certains cercles d’analystes russes comme "le temps du retour aux empires" … pourtant achachi est russophone (si j’ai bien compris)….

La russie a une posture impériale, mais n’est pas pour autant impérialiste. Elle prétend à défendre ses intérêts ET elle ne perçoit pas la domination du monde comme relevant de son intérêt.

Il n’y a pas de cohérence civilisationnelle entre les pays des BRICS : et alors ? En quoi cela pose problème, à quel niveau ?… franchement cela n’est pas clair !

Le plus petit dénominateur commun c’est l’aspiration à la souveraineté et cela suffit à l’avènement d’un autre monde, un monde où l’altérité culturelle existe (à la différence du noashisme).

Les membres des BRICS sont soit souverains (chine), soit en voie d’accéder à la souveraineté (russie), soit prétendent à la souveraineté (afrique du sud). Que chacun assume sa destinée et non pas la destinée du monde.

PS : j’ai découvert achachi avec un entretien précédant avec Hindi, c’était très prometteur ! Ces dernières vidéo (sur prigogine, avec aberkhan et ici) sont décevantes. J’exprime un point de vue… avec un soupçon d’irrévérence, mais sans arrogance !

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Nos deux compères pour sortir des banalités d’usage de l’illusion réformiste de l’apparaître devraient aller visiter Marx et Luxemburg en approfondissant notamment le concept de géo-politique des essentialités. Ils y rencontreraient alors le concept fondamental de crise catastrophique du mode de production capitaliste. On passerait alors du blabla péri-universitaire à la crique des profondeurs.

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Youssef comme sursaut en 2014 , il y a aussi eu les JRE, les manifestations contre Piss Christ et Golgota Picnic, les manifestations contre le RSI (stop au matraquage fiscal), Hollande Dégage !..
On vit bien la fin de l’occident, comme a l’époque la fin de l’Égypte des pharaons et des pyramides
Exactement comme la Grèce antique
Par l’enculade et la noblesse dégénéré

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