La seule révolution possible non violente c’est la Grève Générale (annonce, dates, durée, entr’aide) de tous pour obliger les plus compétents (militaires, politiques, intellectuels) à agir en dégageant l’establishment actuel.

Ou la guerre civile qui vient (ordre par le chaos, guerre de tous contre tous).

En total accord avec votre commentaire.
On s’y met quand ?

Grève générale : je fais d’abord remarquer deux choses 1) elle n’a jamais été conduite par les syndicats mais plutôt mise sous le tapis, preuve que le projet dérange, 2) une élite véritable ne peut être légitime qu’à la seule demande de la majorité du peuple.

Ces deux remarques faites, il faut
 1) faire circuler l’idée - avec les réseaux ça ne devrait pas être compliqué
 2) afin de réfléchir ensemble à sa faisabilité.

On peut par exemple, histoire de penser par rapport à un objectif, fixer une durée hebdomadaire pour commencer, comme avertissement.

C’est à la portée de tous physiquement et intellectuellement - il suffit de s’arrêter -, mais pas économiquement, pas pour tous...

Le cas échéant, ça pourra tout de même créer une dynamique, un esprit commun dirigé vers la lutte et le désir national d’en découdre...

Une idée toute simple, avec un VPN de préférence, serait de créer chacun des nouveaux comptes sur les différents réseaux, avec simplement le pseudo « greve generale » suivi d’un numéro avec quelques chiffres, histoire de graver l’expression dans les esprits.
Peu à peu les gens se diront que c’est notre seule solution pour stopper la chute.

Soyons l’armée invisible contre la main invisible du Capital !

La contre-révolution, qui me semble plus importante que la révolution, c’est concrètement des dirigeants qui gouvernent en s’inspirant des lois de Dieu et non des lois de la franc-maçonnerie.
Et les Français qui approuvent ce projet politique de contre-révolution doivent préparer le terrain en suivant eux aussi les lois de Dieu, c’est-à-dire les 10 commandements, le catéchisme et la doctrine de l’Eglise catholique.

Je suis d’accord avec la personne qui précise que la difficulté n’est pas tant dans l avènement d’une révolution... elle est dans l’incertitude de ce que produirait cette "révolution".
Clairement, une révolte dans la rue sera durement écrasée. Une grève générale, avec les sacrifices personnels que cela implique serait elle soutenue suffisamment longtemps pour faire abdiquer le pouvoir ?
Je suis septique. De toute façon de tels événements arrivent lorsqu’on s’y attend le moins, quelque soit la forme qu ils peuvent prendre

D’accord avec vous.
Pour moi, avec cette entrevue, Borowski a racheté ses péchés passés (entrevue abominable de l’année dernière avec Moreau, Tabibian,...), et s’il maintient ce cap je serai au rendez vous.