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Malaise TV : Ramzy Bedia ramène sa sœur "pas pistonnée" chez Yann Barthès

 

La reproduction de la caste dominante, c’est tout le problème du monde de la culture. Et c’est encore plus le problème du grand public, qui vomit le népotisme, synonyme d’injustice flagrante et de préférence de classe, la forme la plus aboutie du racisme social.

« Qu’est-ce qu’on fout là tous les deux ? (...) J’avais juste peur qu’elle en souffre, qu’on lui dise “tu es la sœur de”, c’est tout. »

Ramzy Bedia a beau se demander ce que lui et sa sœur foutent là, ils y sont, et sa sœur profite du tremplin médiatique. Rassurez-vous, dans le genre fils et fille de, il y a pire : l’écrasante majorité des rejetons a moins de pudeur ou de honte que Ramzy !

Déjà, aller s’asseoir chez la Barthès, au cœur du volcan LGBTélévisuel, ça fait un peu mal au cul, mais la production de Youssef Salem a du succès a besoin de promo : le cinéma français va mal, très mal, la plupart des films finissent à la fosse, le grand public boycotte sans le dire.

Alors Ramzy y va, à reculons, les fesses collées au mur. En plus, les Bedia se retrouvent à côté du député bafouilleur François Ruffin, qui vient de se manger une grosse gifle par Mélenchon, c’est la tendance chez LFI. Alors la promo en sandwich gauchiste, c’est la double peine pour le pote d’Éric Judor !

 

 

La petite sœur, Melha, de 20 ans sa cadette, n’a pas été pistonnée aussi lourdement que les fils Enthoven (le grand-père éditeur, le père « philosophe » et le fils rien du tout), mais quand on a Ramzy, Jamel et Éric (Judor) comme « parrains », les choses vont plus vite. Le cas est unique dans la communauté maghrébine : dans les autres, on ne se gêne pas.

L’armée des fils et filles de grossit de jour en jour, et ça fait tâche d’huile : ce cancer qui ne touchait que le secteur culturel a métastasé dans le politique, les médias, et maintenant l’économie avec les fils Arnault, Pinault et Bolloré.

Ceux qui dénoncent cette préférence familiale en font parfois partie : un internaute a levé un gros lièvre, ou plutôt une grosse hase, au cœur même de la bande à Barthès...

 

 

Chalumeau, c’était l’auteur principal du fils de Caunes sur Canal+. Un de Caunes qui a disparu de la circulation, après ses flops remarquables en tant que réalisateur.

Le cinéma concentre ce qu’il y a de pire, parce que « grâce » à son financement subventionné, le talent n’est plus nécessaire. En télé c’est un peu différent puisqu’il y a le retour de bâton du téléspectateur armé de sa zappette, et surtout l’annonceur qui attend derrière le mur de l’audience avec une grosse massue...

Dernier exemple frappant en date : le fils Goldman a été bombardé à la tête de la Star Academy sur TF1, avec papa qui jure n’y être pour rien...

Plus rien n’arrête l’oligarchie, qui prend soin de sa seule progéniture en lui réservant les places les plus juteuses et les moins pénibles. L’ascenseur social est bien mort, mais parce qu’il a été saboté par ceux d’en haut : pas question qu’il monte d’un centimètre ! Pas touche au grisbi, les gueux ! Résultat de ce fonctionnement consanguin : les salles se vident, la culture s’effondre. Finalement, la nouvelle aristocratie se guillotine toute seule.

La mort du cinéma français

Melha & Ramzy, sur E&R :

 






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55 Commentaires

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  • #3095378
    Le 10 janvier 2023 à 15:25 par … & son
    Ramzy Bedia et sa sœur non pistonnée Melha chez Yann Barthès

    J’aimerais connaître la réponse à cette question : existe-t-il ce phénomène dans la boxe, par exemple ?

     

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    • #3095793
      Le Janvier 2023 à 06:56 par Aife des ainelles
      Ramzy Bedia et sa sœur non pistonnée Melha chez Yann Barthès

      Des enfants de boxeurs qui deviennent boxeurs, ça existe évidemment mais c’est la proportion qui est plus faible car, dans ce domaine, le qualificatif "talentueux" n’est pas aussi subjectif que dans le divertissement cinématographique...

       
    • #3095952
      Le Janvier 2023 à 11:38 par totale confiance
      Ramzy Bedia et sa sœur non pistonnée Melha chez Yann Barthès

      Aife, dans la boxe il y a d’abord le talent, et parmis les talentueux, les plus costauds mentalement que les autres.
      Tu verras jamais un combattant n’ayant aucun talent particulier pour ça dès le départ devenir un champion. Par contre des très talentueux qui se vautrent avant d’arriver la liste est longue...
      C’est un peu comme le concept de génétique pour le bodybuilding : c’est la base indispensable pour arriver au sommet. Ensuite c’est une histoire de mental supérieur aux autre, et paradoxalement, la bonne génétique n’aide pas forcément le mental, car la facilité appel la facilité. Quand t’as facilement des femmes ou de la réussite sans rien faire de particulièrement dur, pourquoi tu te ferais chier comme un galérien qui doit aller au bout de sa vie tout les jours pour pas crever...
      La boxe c’est un peu ça, sauf cas exceptionnels. Seuls ceux qui n’ont rien d’autre derrière et devant eux supporteront ce qu’il y a a supporter pour atteindre leur sommet.
      Voilà pourquoi généralement les fils de boxeurs n’ont pas a faire ce que leur père a fait : il a déjà accompli le rêve de ses ailleux le père, maintenant le fils peut faire évoluer le rêve... Faire du pognon sans avoir à risquer sa santé physique et mentale pour ça. Et aucun boxeur accompli ne veut d’une carrière de boxeur pour son fils ou sa fille, ce qui est quand même assez logique, c’est pas comme devenir trader ou pilote de course, les souffrances physiques et morales n’ont rien a voir.
      Revois le film peau de boxeur pour mieux comprendre, c’est une histoire de maître a disciple la boxe, par de père a fils. Les plus grands boxeurs n’ayant souvent plus de père, ou ce dernier étant totalement absent de leur vie. Et c’est pareil pour le mma, ça reste de la boxe dans l’ésprit.

       
    • #3095978

      Lorsque tu te prends des coups dans la boxe à un haut niveau c’est du à la rage de vaincre et de t’entraide de ta condition sociale… Et donc t’as pas envie d’avoir tes enfants se prendre des coups… La fille de Mohammed Ali était boxeuse il me semble.

      Non la comparaison est plus sur les avocats d’affaires, les croque-morts, les plombiers… Les métiers dans les divertissements et la culture sont souvent des métiers comme les autres. Tout le monde ne sera pas Stanley Kubrik non plus.

       
  • #3095383
    Le 10 janvier 2023 à 15:32 par Shlomohamed
    Ramzy Bedia et sa sœur non pistonnée Melha chez Yann Barthès

    Ramzy avait quand même un sacré numéro de victime pleureuse face à Zemmour.

     

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  • #3095415
    Le 10 janvier 2023 à 16:35 par Scalpel
    Ramzy Bedia et sa sœur non pistonnée Melha chez Yann Barthès

    M’a pas l’air d’être une lumière la blédarde Bédia, c’est rien de le dire.

     

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  • #3095606

    Bravo au rédacteur d’avoir placé le mot "hase" dans l’article, sachant que peu de gens connaissent la femelle du lièvre.

     

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  • #3095629

    Si les valeurs qui permettent de construire une société prospère et égalitaire (effort, promotion par le mérite) foutent le camp, alors ce n’est qu’une question de temps avant que toute la société s’effondre.

    Les jeunes apprennent quoi dans ce contexte ? Que ça ne sert à rien de travailler dur, c’est les relations qui font tout ? Il en résulte des gens qui négligent l’instruction (Et donc qui ont peu de talent), qui croient avoir tous les droits (pour ceux qui ont les connections), qui méprisent le goût de l’effort, qui se prostituent (au sens propre ou figuré ) car c’est ainsi qu’on est promu lorsqu’on n’est pas né dans la bonne caste. Encore quelques années, et la France c’est le tiers monde. On y est déjà plus ou moins.

     

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    • #3096335

      ce sont ces valeurs égalitaires qui ont détruit la société

      le procès fait ici est mauvais. Il est normal qu’une société se reproduise d’abord par transmission familiale. C’est le cycle normal, naturel, stable, qu’ont recherché toutes les sociétés saines.
      En démocratie, ce n’est plus le sang (privilège) mais l’argent (intérêt) qui détermine les rapports entre les différentes unités (familles, classes, corporations), et donc la vie de la nation.
      La démocratie et ses investisseurs (banques) voudront toujours un système compliqué et dispendieux. Or la transmission est facile et gratuite.
      Les besoins accrus de formation et l’instabilité engendrée par un tel système oblige ainsi de soumettre à l’argent un processus qui échappait au moins en partie à cela.

      Bref, dans le cas présent, la démocratie "dysfonctionne" et reproduit ses catégories selon le schéma traditionnel (car il s’agit de métiers qui payent, et que ne veulent pas lâcher ces familles).
      Maurras avait une analyse similaire sur la démocratie en général : sur le papier, la démocratie c’est l’anarchie (l’alternance gauche/droite fait que le successeur peut en théorie défaire intégralement ce qu’a fait le prédécesseur, le parlement est soumis à la psychologie des foules et devient incontrôlable, incohérent, etc). Mais en pratique, on voit bien que la démocratie arrive à une certaine stabilité car en réalité elle n’est qu’un théâtre d’opposition, derrière lequel les intérêts et agendas politiques demeurent constants et poussent toujours dans la même direction. C’est ce qui fait qu’elle a pu se maintenir jusqu’ici.

      Donc, par rapport au sujet : le piston (le fait qu’un individu puisse bénéficier de tuyaux, formations, mises en relation dans le milieu professionnel de ses parents) est NORMAL et SOUHAITABLE dans une société saine. C’est une approche humble, mesurée, économe, adaptée aux caractères humains. En revanche, réclamer de faire table rase à chaque génération et tout recombiner, c’est céder à un ubris qui ne fait que soumettre progressivement les capacités reproductives d’une société à l’argent, et de manière toujours plus profonde.

      Bien sûr, il y a des métiers fondés sur un savoir théorique très dense, et qui peuvent échapper à cette logique. Mais pour ce qui est de métiers basés essentiellement sur l’expérience pratique, la connaissance du milieu (ex : comédien, politique..), il est tout à fait pertinent de raisonner ainsi.

       
  • #3095669

    Les mecs d’ER, plutôt que nous donner la chiasse avec les Bédia et leurs talents de merde, regardez le film Triangle of Sadness de Ruben Ostlund et faites-en qqchose. Vos lecteurs apprécieront ce film et ça leur remontera le moral. La prestation de woody harrelson y est excellente.
    La bise

     

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  • #3095766
    Le 11 janvier 2023 à 04:23 par Francis Labrêle
    Malaise TV : Ramzy Bedia ramène sa sœur "pas pistonnée" chez Yann (...)

    Elle est bonne la sœur de Ramzy Pétas, elle a une jolie dentition !

     

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  • #3095966

    Elle a plus fréquenté les kébabs que les salles de fitness, à plaindre celui où celle qui a ça à la maison

     

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  • #3096282

    C’est pas plutôt la sœur de Booder ?

     

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  • #3096772

    Ne soyez pas médisant... elle est plutôt marrante." elle ne plait pas, parce qu’elle n’est pas très jolie".. On s’en fout.. Il faut bien respirer de temps en temps. Elle tourne depuis depuis longtemps. J’ai connu bien plus jeune.

     

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