et 
!
En charge de la voirie et des mobilités actives pour le Grand Lyon, Fabien Bagnon (une synthèse, cf. image d’illustration) veut concevoir des pistes « inclusives ». On se demande bien ce que peuvent être que des pistes « inclusives » ? À la limite, on pourrait imaginer des pistes qui soient au contraire genrées. Mais, dans le cadre des délires LGBTQ2SIA+ (ceci n’est pas ironique), cela équivaudrait à créer au minimum une soixantaine de pistes cyclables distinctes...
Certains provocateurs, créateurs impertinents de mèmes, ont rapidement détourné cette liste :
Cependant accuser tous les genres autres qu’homme et femme de ressortir de la maladie mentale tombe désormais sous le coup des nombreuses lois contre les discours haineux, l’homophobie ou autres crimes d’arrière-pensée. Mais c’est peut-être aussi simplement revenir au classement officiel des maladies mentales, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), tel qu’il était avant 1974.
En effet, en 1974, le DSM a été mis à jour et l’homosexualité a été remplacée par un nouveau code de diagnostic pour les personnes « en détresse en raison de leur homosexualité ». La détresse liée à l’orientation homosexuelle est restée dans le manuel, sous différents noms, jusqu’au DSM-5 en 2013.
Le DSM-5, publié en 2013, ne comprend plus aucune catégorie diagnostique pouvant s’appliquer aux personnes en fonction de leur orientation homosexuelle, bien que certaines sources précisent qu’elle a simplement été renommée en « dysphorie de genre ». Certains spécialistes pensent que cela peut être considéré comme une « déclassification complète » des orientations sexuelles non hétérosexuelles en tant que troubles mentaux.
Ce qui est certain, en revanche, c’est que le progressisme et ses dérives devraient absolument intégrer le prochain DSM-6 !
Lire l’article du Figaro relatant le nouveau délire des Verts au pouvoir dans la ville de Lyon (et dans beaucoup d’autres).
