Bah, c’est un peu le résumé de la révolte féministe (on ne confond pas les femmes avec les féministes) actuelle, ces rebelles sans vraie cause. Trois connards dessoudent leur gonzesse et ça y est, c’est la Solution finale des Hommes contre les Femmes. On ne parlera pas ici de la violence psychologique exercée par les femmes qui se servent des hommes pour mieux vivre ou pour changer de statut social, ça s’appelle du putariat et c’est un autre débat.
Non, ce qui nous intéresse, c’est cet emportement mutuel qui accroît chaque jour le volume de delirium victimaire et qui finit en Everest d’absurdité. Le problème, c’est que la victimisation, si elle rapporte provisoirement du prestige social (oh, les pauvrettes !), ne résout pas le problème de base : elle l’entretient, au contraire.
La victimisation forcenée des féministes contribue à consolider leur infériorité, puisque l’infériorité féminine – ou la supériorité masculine – est le cœur de leur métier.
whoopsie ! pic.twitter.com/dIwgP5KCdS
— ViralPosts (@ViralPosts5) May 29, 2022
Effet pervers, quand tu nous tiens... Pour elles, l’homme n’est qu’un sale flic.
(1/2) C'est une blague
Des femmes de #MeTooTheatre devaient lire hier sur la scène des #Molières un texte contre les violences sexuelles et sexistes dans le théâtre. Censuré par les organisateurs, elles ont lancé un rassemblement de protestation. https://t.co/oHoVxqQt8O— #NousToutes (@NousToutesOrg) May 31, 2022
Contrôlée 40 minutes pour cette pancarte quand même. pic.twitter.com/0iTuFGrFvz
— Marie Coquille-Chambel (@mariecchambel) May 30, 2022
Dans la même veine, le collectif « NousToutes » veut mettre en lumière le « travail gratuit des femmes ». Et le travail gratuit des hommes à la maison, pour réparer tout ce qui merde, sans oublier le travail de l’homme marié à une femme qui ne travaille pas, ou qui gagne moins, un salaud qui partage tous ses revenus, la plupart des femmes qui divorcent ensuite essayant de récupérer la plus grosse part du gâteau ? Si ça c’est pas de la bassesse, de la mesquinerie...
Heureusement, toutes les femmes ne sont pas aussi hypocrites que ces féministes (et toutes les féministes ne sont pas folles), mais ce sont justement celles qui tiennent le discours victimaire qui sont les plus hypocrites. Normal, on ment pour la Cause.
Faut dire que les médias n’aident pas les féministes à redescendre sur Terre. C’est un peu de leur faute, si les sorcières autoproclamées HPI (les « descendantes de celles que les hommes n’ont pas pu brûler », c’est un de leurs slogans, authentique !) se prennent pour des génies.
Aujourd’hui, il suffit d’être une femme pour avoir du talent. Si on est grosse et noire, c’est un plus. On – enfin les universitaires woke – appelle ça l’intersectionnalité.
Ce tank
— White Rabbit (@WhiteRabbit969) May 27, 2022
Ça part en Coquille ! (à partir de 31’50)
Violent mais mérité pic.twitter.com/hvBw0ROhio
— Top des Hagras (@TopDesHagras) May 30, 2022