et 
!
« On va essayer de répondre à ce monsieur pour faire comprendre à ce monsieur que nous à la Ligue de défense noire africaine, vos histoires, vos guerres atlantico-sionistes, nous on n’a rien à foutre »
Certes mais ça n’empêche par la LDNA d’être calquée sur le modèle communautaire sioniste qui a intérêt à diviser les Français en communautés. On a beau vouloir s’extirper de cette ingénierie sociale, on nage en plein dedans, et par « on » on désigne la Ligue noire, qui n’a heureusement aucune influence en France. Pas parce que nous serions racistes mais parce que la France s’est bâtie et tient toujours sur un pacte qui va au-delà des couleurs.
Si nous répondons à cette diatribe anti-Soral ou anti-E&R, donnant de l’importance à une fausse association, ce n’est pas pour édifier ce militant, qui doit encore lire beaucoup de livres pour arriver à saisir de quoi lui-même retourne, mais pour bien faire comprendre à toutes ces fausses associations stipendiées ou promues par le sionisme médiatico-politique qu’elles peuvent garder le sticker (autocollant) « Racistes » qu’elles essayent de nous coller en permanence dessus.
Quand on voit la population de la LICRA ou du CRIF, et la pauvreté pluraliste des origines de ses membres, on ne peut que se féliciter d’avoir parmi nos militants et nos sympathisants des gens de toutes les origines. L’antiracisme il est justement chez les tenants de la ligne réconciliatrice.
Mais ce truisme n’arrive pas aux oreilles de tout le monde, qui sont bouchées par une intoxication permanente. On ne pourra pas déboucher ces oreilles de force, il faut pour cela suivre un chemin personnel de conscience et de connaissance qui prend du temps.
Notre ami un peu énervé y arrivera, et regrettera, mettons dans 10 ans, même si on souhaite que ça lui arrive plus tôt, ses paroles séparatistes :
Le clou du discours à 3’ 17 :
« Eh, en Afrique, on n’a rien à foutre de vos histoires de sionistes ! Qu’est-ce qu’on a à cirer là dans vos histoires de vos putain de guerres d’atlantico-sionistes ? Nous les Noirs, qu’est-ce qu’on a à voir là-dedans ? »
Excellentes questions, monsieur l’africaniste. Et la réponse est en bas de page, dans l’ouvrage de Patrick Mbeko. Il suffit de cliquer dessus, de lire le livre, de réfléchir un peu, de comprendre les projets impérialistes sur le terrain africain, et de revenir nous voir. Et, éventuellement, de prendre la carte E&R.
Retour au sérieux avec Patrick Mbeko :
