Une explosion suivie d’un vaste incendie ont détruit le 20 décembre une usine pharmaceutique dans la ville de Taoyuan, à Taïwan, faisant deux blessés graves, dont un est décédé des suites de ses brûlures. Cette usine, d’après le Taiwan English News, citant le quotidien taïwanais en chinois The Liberty Times, n’était rien de moins qu’un jalon important de la production mondiale d’hydroxychloroquine…
Les causes du sinistre sont toujours l’objet d’une enquête, mais il apparaît que cette usine, si elle ne fabriquait pas elle-même de l’hydroxychloroquine, en fournissait les éléments premiers permettant sa fabrication. Elle en était même le deuxième fournisseur mondial, faisant la presque totalité de son chiffre d’affaire avec l’étranger.
Rien n’indique pour l’instant que la production mondiale d’hydroxychloroquine en sera notablement affectée, mais cela ne surprendrait guère. Cela tombe diablement à pic, justement au moment où commence la campagne mondiale de vaccination, activée par la peur, la contrainte et désormais, semble-t-il, par la disparition non seulement voulue mais peut-être même mise en œuvre de toute alternative sérieuse de masse.