"Le poumon économique breton" Nantes-St Nazaire et on peut ajouter Rennes ne sont pas historiquement des territoires de culture bretonne mais bien française.

On pourrait peut-ètre parler de tout ça dans une émission Pavillon de Chasse spéciale Breizh ? En attendant la première et quasi unique chose à faire quand on aime la Bretagne c’est d’apprendre et de parler sa langue. Le reste suivra tout seul.

Jm

De Nantes-Rennes à Brest on est tous Breton par l’Histoire commune depuis 1200 ans..à l’Ouest davantage celtique..à l’Est gallo- roman que vous confondez avec culture Française..ce qui est autre chose.
Ken d’ar c’hentañ, à la peurchaine’ !...

Le Tallec

Je confonds rien du tout, l’Est gallo-roman parlait une langue romane, langue d’oïl, c’est à dire un dialecte Français. La vraie frontière n’est pas celle du Duché de Bretagne mais historiquement celle de la frontière linguistique entre Vannes et St Brieuc.

Bonjour Babtou,

Votre constat est exact ! Par ailleurs, je pense qu’en restant discret ces militants se protègent par rapport à leur vie professionnelle ou familiale. Je trouve ces personnes courageuses dans leur engagement, beaucoup d’entre nous reste derrière leur écran d’ordinateur à tort justement. Je pense que tous ces gens qui oeuvrent dans l’ombre afin que la vérité soit révélée devraient être admirés pour le combat qu’ils mènent. Dans la vie Il y a ceux qui savent et il y a ceux qui savent et qui se bougent !

Un grand merci aux militants d’E&R !

Je me permettrai jamais de critiquer le domaine associatif. Je relevais juste le triste paradoxe. Pour grossir le trait, on a presque l’impression d’un reportage sur une petite milice skinhead qui préfère rester discrète vis-à-vis des autorités.

De mon côté, je ne reste pas derrière mon clavier. Je dirige pas mal de monde vers E&R, et je débats avec détermination contre les a priori débiles.

La question qui reste posée, c’est que faire après ? J’échange parfois des regards complices avec de parfaits inconnus suite à l’une ou l’autre réflexion ("Au-dessus, c’est l’soleil", "Faut l’savoir hein", etc), mais j’ai l’impression d’être dans le film Fight Club où on est une chiée à faire partie d’un "club" non-déclaré aux autorités. Sauf qu’on n’a pas de réel projet, à part réinformer.

Effectivement vous grossissez le trait ! Perso, je ne connais pas beaucoup de milices skinhead (je n’en connais pas d’ailleurs) qui organisent des randonnées et se réunissent lors de café littéraire. Les milices skinhead n’existent plus depuis le début des année 90. Bougez-vous au lieu de rester dans la fatalité, rejoignez E&R par exemple !

Salut, j’apparais dans ce reportage. Perso, ça ne me dérange absolument pas d’apparaitre à visage découvert. Au contraire. S’il y a une prochaine fois, je le ferai. Je suis ouvert à la discussion. Et si des gens veulent avoir des comportements négatifs à mon égard, je suis prêt. Eux aussi, je leur souhaite. Nous sommes encore libre de penser et de dire ce que nous voulons, de manière pacifique. Dans un cadre légal, ça, on a bien compris. Mais chaque individu à droit à sa liberté de pensée et de s’exprimer.
En résumé : je comprends la prudence de chacun. Mais le but, rapidement, c’est de contribuer à un secteur culturel et politique alternatif. Il y a plein d’initiatives intéressantes. Dans ce sens, je laisse les querelles de chapelle, les accrochages sur des positions... Il faut aller vers les gens (sans peur et sans faire peur) pour une autre France. Pendant qu’il est encore temps. Nous avons d’ailleurs besoin de puissance politique. Pas de ré-inventer les skins eigthies (respect, quand même).
Conclusion : je garde mon froc bien accoché. Mais la prochaine fois j’enlève le haut !