Que Maître Jaku se calme avant d’attaquer ce titre insolite : d’abord, c’est la Mère Figaro qui a écrit ça, nous on n’y est pour rien. Ensuite, il y a une logique sociologique dans ce titre, qui rappelle au XIXe siècle les unions entre l’establishment politique, disons les restes de l’ancienne noblesse, avec la nouvelle « noblesse », la bourgeoisie commerciale et bancaire, aujourd’hui devenue la finance mondialiste.

Les familles qui ont le pouvoir politique (ou le nom) marient leurs filles avec des rejetons de magnats de la Banque, assurant ce double pouvoir qui permet tout : le carnet d’adresses, et le pognon. La noblesse de robe, sous l’Ancien régime, tenait ce double pouvoir.

Après la révolution franc-maçonne au service de la Couronne britannique (1789), il n’est resté à cette noblesse que le pouvoir gouvernemental, ou représentatif (on parle après la Restauration), mais le pouvoir financier lui a été arraché.

Cette évolution va de pair avec l’ascension des grandes banques d’affaires au XIXe siècle, suivies des grandes banques de dépôt, toujours dépendantes de la Banque de France chez qui un Rothschild, chaque matin, fixait le prix de l’or. Tout cela est vérifiable, que Jaku ne s’énerve pas.

Alors, les mariages d’intérêt (financier) des filles de l’hyperclasse politique américaine n’ont rien d’étonnant : ils sont dans la droite ligne de cette loi sociologique dure, qui dépasse l’Amour, l’amour chrétien, s’entend.

Un mariage d’amour à 4 millions et un appartement à 8 millions d’euros

« L’appartement est le plus long de Manhattan (il s’étend de la 26 à la 27e rue sur Madison Avenue) et fait pas moins de 464 m². Il faut ainsi 30 secondes pour parcourir le couloir central de 72 mètres de long reliant les différentes pièces... » (Pure People)

Tout devient drôle quand on apprend dans Le Monde ce qui suit sur le mari de Chelsea, la rejetonne Clinton, que la presse gauchiste essaye de changer en fée, histoire de remplacer dans l’inconscient collectif la dynastie Kennedy :

« La frénésie médiatique qui a entouré le mariage ce week-end de Chelsea est d’autant plus surprenante que les mariés sont peu connus du grand public. Bill et Hillary ont jusqu’ici tout fait pour tenir leur fille à l’écart des projecteurs, et elle-même ne semble guère attirée par la lumière. Tout juste sait-on que Chelsea Clinton, 30 ans, et Marc Mezvinsky, 32 ans, se sont connus lorsqu’ils étaient adolescents dans un camp de vacances organisé par le Parti démocrate. De l’époux, banquier, on sait seulement qu’il est le fils d’un ancien député démocrate condamné et emprisonné pour escroqueries. »

De gauche à droite : Marc le banquier, Hillary la gousse, Chelsea la mariée et Bill le pédophile

Avec le père qui a visité l’île démoniaque du juif américain pédocriminel Jeffrey Epstein, la mère gouine qui a viré dingo pendant la campagne 2016 et qui se réjouissait avant cela de la mort barbare de Kadhafi, la pauvre Chelsea n’est pas servie, et est loin de déclencher l’engouement qui entoure la famille Kennedy. La famille royale Clinton, elle repassera.

Du côté d’Ivanka, on a aussi épousé un sionard de compétition, mais pas directement dans la Banque, plutôt dans l’arnaque immobilière : Jared Kushner, qu’on ne présente plus (son ex, l’actrice Natalie Portman, le taxe de « super-méchant »). Il gère ou plutôt gérait pour beau-papa les relations avec l’entité sioniste. Un choix judicieux et malin de la part de Donald, qui donne ainsi des gages de sionisme sans trop se mouiller... au Proche-Orient.

Wikipédia nous narre les ennuis de papa Kushner avec la justice :

« Une des grands-mères de Jared Kushner était une survivante de l’Holocauste ; elle a vécu aux États-Unis après avoir été passagère du Saint Louis, un paquebot en grande majorité composé de Juifs allemands fuyant l’Allemagne nazie et dont l’essentiel des passagers a été refoulé à son arrivée aux États-Unis.

Son père, Charles Kushner, est un entrepreneur majeur de l’immobilier du New Jersey, qui “n’a fait son entrée dans le cœur de New York qu’avec le concours plus présentable de Jared auprès des investisseurs”. Accusé d’avoir détourné de l’argent, Charles Kushner a été condamné à deux ans de prison par le procureur de l’État Chris Christie, ce qui explique les ressentiments futurs de Jared Kushner à son égard.

En 2005, il se met en couple avec la femme d’affaires Ivanka Trump, fille de Donald Trump. Leur relation est interrompue en 2008, sous la pression de sa famille juive orthodoxe. Sa compagne se convertit finalement au judaïsme, ce qui lui permet d’épouser Jared Kushner en 2009. »

Question : ces familles d’escrocs notoires peuvent-elles prétendre remplacer la dynastie Kennedy dans le cœur des Américains ?

Invitée à s’exprimer dans l’émission Watch What Happens Live ce jeudi 1er octobre, la fille unique d’Hillary et Bill Clinton ne mâche pas ses mots sur son ancienne alter ego.

« Nous étions toujours en contact au début de la campagne, mais c’est vraiment difficile quand quelqu’un soutient activement un candidat, qu’il s’agisse de son père ou non, qui s’avère être raciste, sexiste, antisémite, islamophobe, homophobe, transphobe, adepte de théories du complot, de mensonges, et est si profondément corrompu », déplore Chelsea Clinton au micro d’Andy Cohen, accusant Ivanka Trump d’avoir participé activement à « la cruauté et l’incompétence » du gouvernement américain. « Je ne veux pas être amie avec quelqu’un comme ça », ajoute-t-elle.

[...]

Chelsea est aujourd’hui vice-présidente de la Clinton Foundation, tandis qu’Ivanka est haute conseillère de son père à la Maison Blanche et vice-présidente du département développement et acquisitions de la Trump Organization.

Autre point commun : toutes les deux se sont mariés avec des hommes juifs, Jared Kushner pour Ivanka et Marc Mezvinsky pour Chelsea. Si la première s’est convertie, la seconde a opté pour le mariage interreligieux. Et c’est justement via leurs maris respectifs que les deux jeunes femmes se sont rencontrées. Résidents de New York, les deux couples ont longtemps eu l’habitude de se retrouver pour des dîners conviviaux.

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