Bill Clinton, 42e président des États-Unis, a comme prévu apporté son soutien au candidat démocrate Joe Biden, par vidéo, Covid-19 oblige, lors de la convention de son parti.
Mais patatras ! Peu de temps avant sont sorties dans le Daily Mail des photographies compromettantes le montrant se faisant masser par une victime de Jeffrey Epstein.
Bill Clinton mêlé à l’affaire Epstein : ces photos accablantes
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[…] Alors qu’il est attendu ce mardi 18 août à la convention démocrate où il pourrait annoncer son soutien à Joe Biden, […] il est rattrapé par l’affaire Epstein.
Quelques heures avant sa prise de parole, le Daily Mail publie des photos où on le voit en train de se faire masser en septembre 2002 par Chauntae Davies, une employée de Jeffrey Epstein qui l’accuse de l’avoir violée, précise le tabloïd. Bill Clinton âgé de 56 ans, qui n’est plus président depuis l’année précédente, se serait plaint d’une douleur à la nuque, après un voyage dans l’avion d’Epstein – un jet privé surnommé le Lolita express –, dans lequel il s’était endormi.
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« Nous avions fait une escale pour que le jet fasse le plein et pendant que nous étions dans le terminal, l’ancien président se plaignait de raideur en s’endormant sur sa chaise », a précisé au tabloïd la masseuse qui explique avoir demandé à Bill Clinton si elle pouvait se mettre à genoux sur la chaise, car elle est mal placée pour pouvoir le masser. D’après le Daily Mail, le bureau de Bill Clinton a précisé que l’ancien président américain affirme ne rien savoir des crimes reprochés à Jeffrey Epstein, avant d’ajouter qu’il n’aurait voyagé avec lui qu’à quatre reprises en 2002 et 2003.
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Les photos montrant Bill Clinton, dont on sait qu’il emprunta le Lolita Express au moins 26 fois, en train de se faire masser la nuque par Chauntae Davies :
Chauntae Davies en compagnie de Jeffrey Epstein et comme hôtesse à bord du Lolita Express :
Bill reconnaissant (peut-être avant déjà) :
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Pendant ce temps, Donald Trump…
Trump gracie une suffragette américaine
À l’occasion du 100e anniversaire du droit des femmes à voter, le président Donald Trump a annoncé qu’il graciait la suffragette américaine Susan Anthony, arrêtée pour avoir glissé un bulletin dans l’urne en 1872.
Le 18 août 1920, le droit de vote a été accordé aux femmes américaines par la ratification du 19e amendement de la Constitution.
Lors d’une cérémonie à la Maison-Blanche célébrant le centenaire de cet événement, Donald Trump a annoncé qu’il accorderait une grâce posthume « complète » à Susan Anthony.
En 1872, cette militante avait été arrêtée dans l’État de New York pour avoir tenté de voter lors de l’élection qui a vu réélire Ulysse Grant.
« Pourquoi est-ce que ça a pris si longtemps ? », a interrogé Donald Trump en annonçant la grâce.
Le milliardaire républicain, qui affronte le démocrate Joe Biden dans les urnes le 3 novembre, s’efforce de gagner le soutien des femmes afin de décrocher un second mandat. Il a récemment assuré que « la femme au foyer de banlieue » voterait pour lui.
Source : lalibre.be