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2020 : Ronald Lauder, boss du Congrès juif mondial, exige la prison pour les "antisémites"

D’où la prison pour Soral ?

Le sionisme international, incarné par le multimilliardaire Lauder (il en pèse 4,5), héritier des parfums du même nom et soutien financier du criminel de guerre Netanyahou, a augmenté la répression de la liberté d’expression d’un cran, puisque ses désirs semblent être des ordres. Cette intervention date du 27 janvier 2020, à Auschwitz même, mais son application semble être effective aujourd’hui.

« Tous les leaders du monde, tous les politiciens doivent mener ce combat. Les mots ne sont pas suffisants, les discours politiques ne sont pas suffisants, des lois doivent passer, des lois sévères, dures, de vraies lois, qui enverront ces fauteurs de haine en prison pour longtemps ! »

 

Quatre ans plus tard, dans la cyberguerre qui oppose les sionistes aux antisionistes sur les RS, le groupe Meta qui possède Facebook et Instagram cède à la pression en annonçant qu’il va retirer « plus » de messages ciblant les sionistes. « Jusqu’à présent », écrit 20 Minutes, « n’étaient retirés que ceux dans lesquels juifs ou Israéliens étaient clairement ciblés ». Lauder peut s’estimer satisfait :

« La décision de Meta est une avancée indispensable dans notre lutte contre l’antisémitisme et la haine en ligne. En reconnaissant et en s’attaquant à l’utilisation abusive du terme “sioniste”, Meta prend une position audacieuse contre ceux qui cherchent à masquer leur haine des Juifs.
Nous sommes ravis que Meta ait vraiment écouté les voix des communautés juives avec lesquelles nous travaillons. Ce changement de politique contribuera à créer un environnement en ligne plus sûr et plus respectueux pour tous. J’espère que toutes les autres plateformes suivront l’exemple de Meta et prendront des mesures similaires. » (Radio J)

Pour contourner la censure qui interdit de critiquer juifs ou Israéliens, alors que la judéophobie n’est pas interdite par la loi ni la critique de la politique israélienne, les internautes épouvantés par le génocide des Palestiniens en cours utilisent parfois le terme sionistes à la place de juifs ou Israéliens. La décision du patron du lobby juif mondial va donc pousser les internautes épris de justice ou tout simplement d’information à utiliser un autre mot, par exemple génocidaires, ce qui n’est évidemment pas le cas du juif du quotidien, qu’il soit français ou israélien.

De toute façon, ce combat de blocage de mots est sans fin et perdu d’avance pour les censeurs.

L’Orient-Le Jour explique que Meta s’est creusé la tête pour savoir en gros si la critique du génocide pouvait être considérée comme de l’antisémitisme.

Le géant des réseaux sociaux avait lancé une réflexion sur la modération de ce terme sur ses plateformes il y a cinq mois, « compte tenu de la polarisation croissante du discours public due aux événements au Moyen-Orient ». Avec l’aide de nombreux experts (historiens, juristes, associations...), Meta voulait notamment déterminer si le qualificatif désigne les partisans d’un mouvement politique ou le peuple juif ou israélien, car ses règles autorisent les attaques générales contre des membres de partis, mais pas contre des groupes de personnes définies par leur nationalité ou religion.

Après cette réflexion, on peut donc employer le terme likoudistes ou netanyahistes et être tranquilles. Mais ça donne un mal de tête aux patrons des GAFAM sous pression des sionistes, qui eux ont le droit de soutenir le génocide. On marche sur la tête !

« Il n’y a pas de consensus global sur ce que les gens veulent dire quand ils utilisent le terme “sioniste” », a conclu Meta. Mais « sur la base de nos recherches et de nos enquêtes sur les plateformes concernant son utilisation pour désigner le peuple juif et les Israéliens en relation avec certains types d’attaques haineuses, nous supprimerons désormais les contenus qui ciblent les “sionistes” » avec des discours de haine. À titre d’exemple, l’entreprise cite les « affirmations selon lesquelles ils dirigeraient le monde ou contrôleraient les médias », les « comparaisons déshumanisantes, telles que des comparaisons avec des porcs, des saletés ou de la vermine » et « les appels à la violence physique ».

Au fond, n’importe quel terme peut être, par amalgames successifs, considéré comme une incitation à la haine. Même le mot amour ! Si on dit qu’on « aime » les Palestiniens, est-ce que ça signifie qu’on « hait » les juifs ? Bien sûr que non.

Faut-il voir, dans la sortie de Lauder, un rapport avec la volonté d’incarcération d’Alain Soral en Suisse ? On n’ose imaginer que Ronald ait le bras aussi long, la Suisse étant un pays aussi neutre qu’indépendant... Mais on peut se poser la question, le lobby juif considérant Alain Soral comme le diable, uniquement parce que ses analyses tapent juste.

On signale à toutes fins utiles à Ronald et à Meta que pour l’instant, c’est Israël qui commet un génocide, et que la revue britannique The Lancet, pas vraiment complotiste (on a pu le vérifier pendant le covidisme) évalue aujourd’hui, après neuf mois de guerre, le nombre réel de victimes palestiniennes à 186 000. De plus, la déportation totale des habitants de la ville de Gaza vient d’être décidée par l’occupant. Cela ne vous rappelle rien ?

Un « Hiroshima » à Gaza

 

 

Pour info, Ronald a été décoré par François Hollande en 2013, qui l’a qualifié d’« homme de paix, de culture et d’engagement ».
Engagement, certainement ; culture aussi, puisque Ronald s’est offert un Klimt – la « dame en or » – à 135 millions de dollars en 2006. Quant à paix...

Application à Alain Soral

 






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