À l’occasion du dix-huitième anniversaire des attentats du 11 Septembre, l’équipe d’E&R Lille accueillait le physicien français François Roby le 28 septembre 2019 pour une conférence intitulée « 11/09 : quelques arguments de physique ordinaire ».
À l’occasion du dix-huitième anniversaire des attentats du 11 Septembre, l’équipe d’E&R Lille accueillait le physicien français François Roby le 28 septembre 2019 pour une conférence intitulée « 11/09 : quelques arguments de physique ordinaire ».
E&R Aquitaine | Octobre 2017 |156 | Science |
L’équipe d’E&R Aquitaine a reçu le docteur en physique et ingénieur INSA François Roby le 18 février 2017 à Escos (Pyrénées-Atlantiques) pour une conférence intitulée : « Le 11 Septembre : une mine pour les physiciens ».
aitia.fr | Septembre 2019 |98 | OpinionsScience |
La déclaration suivante a été rédigée à l’occasion d’une conférence commune de mon ami François Sebesi et moi-même, où nous tentions de remettre de façon pédagogique un peu de raison dans le discours dominant, aujourd’hui encore fortement obscurantiste, qui enveloppe les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Dix-huit ans déjà, et pourtant des institutions, qu’elles soient médiatiques ou même (...)
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Je tiens à remercier E&R pour cette diffusion et tout particulièrement le travail de post-production réalisé sur la vidéo :
les animations pédagogiques sur les figures ne sont pas de moi, c’est le monteur qui en a pris l’initiative et je lui tire mon chapeau pour la qualité du résultat !
le sous-titrage en anglais est également un travail très utile pour une diffusion internationale, merci à l’équipe de traduction.
Un certain nombre de questions posées dans les commentaires ont été abordées avec le public après la conférence. Les précisions que j’ai pu apporter étant trop longues pour l’espace commentaire, j’invite les personnes intéressées à lire quelques compléments sur mon blog :
https://aitia.fr/erd/11-09-quelques...
Merci pour votre commentaire et surtout pour le lien, je ne manquerai pas de passer sur votre site afin de discuter de tout cela.
Merci à vous Monsieur Roby. Merci pour votre gentillesse, votre simplicité, votre sens de la pédagogie et, avant tout, votre courage … qualités bien trop rares dans le monde scientifique actuel. Et tenez bon face aux persécutions dont vous faites l’objet pour faire « simplement » votre travail d’homme de sciences.
Merci pour votre commentaire, c’est une surprise agréable, l’attention est touchante, vraiment merci.
Peut-on faire un lien (ou bien votre théorie, à laquelle je crois étant moi-même de formation scientifique, rend caduque cette révélation) avec la découverte de nanothermite dans les décombres ?
Merci M. Roby pour votre abnégation et votre honnêteté
@ FredCho : la présence éventuelle de (nano)thermite dans les décombres est compatible avec mon explication, je dis seulement que ceux qui s’en remettent uniquement à cette substance pour expliquer les phénomènes font une erreur car elle ne peut, comme toute source d’énergie chimique, expliquer la quantité phénoménale de chaleur dégagée. Mais il semble clair qu’il y eut des "préparatifs" avant la démolition finale (ne serait-ce que pour le "show" des avions) et qu’un mode quelconque (mais non-nucléaire) de découpage de l’acier a été nécessaire à ce stade.
Je ne suis pas physicien. J’essaie de comprendre ce que dit Roby, par exemple, il suppose qu’une quantité de chaleur initiale déterminée est libérée d’une masse inerte. C’est bien ce qui se passe avec sa tasse d’eau chaude. Mais que se passe-t-il si la combustion se poursuit sous les décombres ? Si de l’énergie est constamment ajoutée à cette masse ? Est-ce que ça fait une différence ou pas ? Le refroidissement et la combustion, c’est les mêmes lois ? Roby connaît-il la masse des matériaux brûlant dans les décombres du WTC ? Leur nature, leur structure ? Dans son exemple, sa tasse n’est pas couverte, est-ce que cela change quelque chose pour ce qui est du temps de refroidissement ? De plus, y a-t-il une différence entre une image infrarouge (prise en surface) et un relevé de température souterraine ? Et la différence de température n’est pas constante... la température change du jour à la nuit et de l’automne à l’hiver. Les ordres de grandeur, d’accord, mais en multipliant les approximations de deux, trois, quatre facteurs, on finit aussi par obtenir un écart d’ordre de grandeur. Par exemple :
1h x 1kg x 4 (capacité thermique) x 5 (différence de température) x 2 (surface) = 40
4h x 4kg x 16 (capacité thermique) x 20 (différence de température) x 8 (surface) = 40 960
Le second résultat est 1 024 fois supérieur au premier, du simple fait qu’on a varié des paramètres à chaque fois dans le même ordre de grandeur (jamais plus de 1 à 4 puisque 1h ou 4h, dit Roby, c’est le même ordre de grandeur). Est-ce que de 1 à 1000 on est dans le même ordre de grandeur ?
Et puis ces incendies n’ont pas eu lieu à 75 m sous le niveau de la roche ? Et est-ce que cela signifie quelque chose que la température tombe au moment où s’éteint le dernier incendie ? Ou c’est juste une coïncidence ?
J’aimerais bien qu’on m’explique gentiment... ne me pendez pas, svp.
Et il y a aussi qu’entre le 11 septembre et le 11 janvier, le sol libère une énorme quantité de chaleur puisque la température de l’air ne cesse de descendre. Est-ce que M. Roby a calculé cette quantité et l’a soustraite de sa quantité de chaleur supposée dans le cas ou elle représenterait une valeur significative ?
Il faisait 8°C le 11 décembre 2001 à New York :
https://www.wunderground.com/histor...
et 23°C le 11 septembre :
https://www.wunderground.com/histor...
soit une différence et une chute de 15°C... Ce qui signifie qu’avec ou sans incendie, pendant ces trois mois, le sol de New York a libéré une quantité de chaleur à calculer... Par exemple à Central Park, quelle quantité d’énergie le sol a-t-il libéré entre le 11 septembre et le 11 décembre 2001 ? Cette question a-t-elle un sens ? ;-)
Bien à vous
@ Nicolas Gogol :
(réponse 1/2)
C’est une bonne question, la chaleur libérée dépend en effet de la différence de température entre le sol et l’air ambiant. J’ai d’ailleurs mentionné l’évolution à la baisse des températures à la page 15 de mon "preprint", en expliquant que, comme pour les autres approximations, je m’arrangeais pour minimiser la quantité de chaleur calculée (la quantité réelle est donc, en fait, supérieure). Et pour cela, je fais l’hypothèse que la température ambiante reste comparable à celle de septembre, et même un peu plus haute puisque je prends 300 K soit 27°C.
Mais c’est l’occasion de vous montrer que même cette quantité de chaleur supplémentaire est négligeable, en faisant encore une fois des approximations "sauvages" mais qui garantissent la validité du résultat.
Chacun sait que le sol garde, en été et en hiver, une température à peu près constante dès une profondeur modeste : c’est le principe même des installations de chauffage par pompe à chaleur "géothermique" (terme impropre mais faisons avec). Si transfert de chaleur il y a en raison des saisons, il est donc limité à une couche relativement peu épaisse, de l’ordre du mètre. Soyons fous : prenons-en 10 histoire de bien surestimer cette chaleur restituée.
La surface chaude utilisée pour le calcul de la chaleur dans mon article est de 12 000 m^2. Une couche de 10 m d’épaisseur représente donc 120 000 m^3. Reste à déterminer la capacité thermique volumique du sol pour savoir combien il peut relâcher de chaleur pour une différence de température donnée.
En thermodynamique il y a une loi ancienne célèbre, la loi de Dulong et Petit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_d...
@ Nicolas Gogol :
(réponse 2/2)
Derrière ce nom rigolo se cache un résultat très général lié au concept même de chaleur et à son interprétation en physique statistique. Je n’en dirai pas plus mais c’est juste pour situer sa généralité. Cette loi donne une valeur universelle à la capacité thermique molaire des corps solides, dans la limite "haute température" qui correspond en fait déjà à la température ambiante. Elle vaut 25 J/(K.mol). Combien a-t-on de moles dans 1 m^3 de sol ? On peut raisonner en ordre de grandeur en prenant, par exemple, la silice qui est un constituant majoritaire de bien des roches.
La silice (SiO2) a une masse molaire de 60 grammes, et une masse volumique de 2,2 g/cm^3 soit 2,2 tonnes par m^3. Ce qui signifie que dans un mètre cube de silice on compte :
2,2.10^3 / 60.10^(-3) = 37.10^3 moles de SiO2
dans 120 000 m^3 de sol supposé de silice pure (ce qui est osé mais augmente la valeur finale de chaleur relâchée) on a donc :
37.10^3.120 000 = 4,4.10^9 moles, arrondissons à 5.10^9 (toujours pour maximiser).
En supposant qu’une chute de température uniforme de 15°C se produit dans une couche de 10 m d’épaisseur de silice sur une surface de 12 000 m^2, et en utilisant Dulong et Petit, on aboutit donc à une chaleur restituée :
5.10^9.25.15 = 1,9.10^12 soit en arrondissant 2.10^12 J ou 2 térajoules.
Donc même avec ces hypothèses très « optimistes » (qui surestiment la quantité de chaleur), on voit que ce dont vous parlez est négligeable, de toute façon, par rapport à mon estimation : ici j’obtiens 0,2% en mettant tous les potentiomètres à fond !
ER,est enfin un site scientifique universitaire .
Comme toujours avec ER,chaque fois que vous souhaitez
quelque chose de haut niveau intellectuel et...honnête ,
Vous l’obtenez ! Je suis impatient de la suite.
La défaite de l’Empire se fera sur le plan scientifique et technique.
Les escrocs perdront cette bataille décisive .
La Science est une école de rigueur et d’humilité !
"La Science est une école de rigueur et d’humilité !"
Euh, non...ben non. Faut pas dire n’importe quoi.
Au malicieux,
Vous pensez sans doute aux auteurs de déclarations
fracassantes et médiatiques qui inversent les valeurs .
Le Savoir Faire sans le Faire Savoir des Uns,
Le Faire Savoir sans le Savoir Faire des Autres .
Les Uns doivent se méfier des Autres .
Rigueur,Humilité et ...pas de naïveté !
Comme partout il y a des Loups dans la bergerie .
La science, tout comme le sport,l’art ou l’enseignement, est instrumentalisée par les pouvoirs en place.
D’ailleurs, c’est devenu une religion : le scientisme...
France télévisions a diffusé un documentaire en début d’année sur l’effondrement des tours. Malheureusement, je n’ai pas réussi à retrouver le lien. Selon ce documentaire, ce seraient les matières brûlées de l’avion mélangées avec les réservoirs d’eau des tours qui auraient provoqué les explosions et donc les effondrements suite à une réaction chimique.
Vous semblez bien ignorant du sujet. Je vous recommande de vous documenter un minimum avant de relayer naïvement les inepties de la version officielle et passer pour plus bête que vous ne l’êtes sans doute. Si vous recevez quelques euros pour vos étrennes, offrez-vous le bouquin de Laurent Guyénot par exemple.
140 kts ??? Hiroshima faisait 15kts ! Les essais souterrains à Mururoa la bombe était enterrée à 600 mètres. Avant de parler d’explosion de cette puissance faudrait d’abord expliquer comment ils ont foré le puits sous le WTC ? Ensuite c’est certain, ces incendies qui ont duré des mois sont plus que suspects... Mais je pense qu’il doit y avoir une autres explication que la bombe H ? Même miniaturisée... Les plus petites font moins du kilotonne.
Selon Dimitri Khalezov (cité par F. Roby dans sa conférence, et dans son commentaire un peu plus bas), le système de destruction des tours a été créé en même temps que les tours, donc à la fin des années 60, mais tenu secret pour des raisons évidentes. Selon lui, d’autres bâtiments seraient équipés de la même manière, dont le siège de l’ONU, également à New York. Donc les tunnels en profondeur, avec un système de wagons sur rails transportant les explosifs nucléaires de leur lieu de stockage au lieu de leur explosion. Il donne sur ce plan des explications détaillées et plutôt convaincantes. En tout cas, l’ensemble paraît cohérent et fonctionnel.
Dès le premier visionnage de la chute des tours, j’ai vu une destruction contrôlée. Je suis expert en mécanique expérimentale et la chute des corps n’a pas de secret pour moi.
Reste ensuite à savoir ce qui a provoqué la destruction. Les avions n’y sont pour rien. En effet pour avoir une chute verticale « parfaite » il faut réunir plusieurs conditions :
Symétrie de la géométrie – OK
Symétrie des masses – OK
Symétrie des rigidités – OK
Symétrie des amortissements – OK
Symétrie des liaisons – OK
Symétrie du chargement – NON pas de chance, donc l’avion n’y est pour rien.
Par ailleurs on a observé le même résultat sans avion.
Aux USA, il est courant de prévoir une durée de vie limitée aux bâtiments. La destruction contrôlée des immeubles est une technique parfaitement au point et utilisée régulièrement. Mais d’habitude pour les bâtiments d’habitation, on fait cela après évacuation des humains, démontage des ouvrants et fragilisation de certains éléments de structure pour économiser les explosifs. Dans le cas des tours de Manhattan, ils ont fait cela avec les occupants, les sauveteurs et une bonne police d’assurance. Cela a permis de transformer cette destruction en attentat et de toucher la prime.
Le Professeur ROBY apporte dans cette conférence une approche scientifique nouvelle (pour moi) et très pragmatique, toujours basée sur l’observation des ruines et l’analyses des documents disponibles sur Internet. La quantité d’énergie nécessaire à faire bouillir de l’eau pendant des mois et l’effondrement du sous sol sont typiques d’une explosion nucléaire souterraine. L’empressement des autorités à déplacer les débris vers un lieu tenu secret et les pathologies propres à la pollution radioactive confortent cette hypothèse.
Le scientifique s’arrête là car il a besoin de travailler encore un peu. Les auditeurs se posent alors les questions : Qui a bien pu faire cela ? Qui possède la technologie nucléaire nécessaire ? Qui était propriétaire des bâtiments au moment des faits et quels étaient ses liens avec les pays et services spécialisés pour organiser cela ? Qui avait besoin de traumatiser la population pour engager une nouvelle guerre ?
La recherche avance ainsi. A chaque réponse à un problème en cours, dix nouvelles questions sont posées. Il faut donc continuer à réfléchir. Mais un pas significatif vient d’être franchi. Encore merci Professeur ROBY.
Merci à vous, non seulement pour votre soutien, mais aussi et même surtout pour rappeler la bonne méthode que beaucoup de commentateurs ici semblent ignorer, qu’ils soient "pour" ou "contre" d’ailleurs : dans une démarche scientifique, il n’y a pas de camps comme en politique, mais simplement le respect d’une démarche rigoureuse, et dont on ne sait jamais où elle peut mener.
Comme je le disais dans la conférence, si je suis arrivé à cette démonstration c’est parce que je ne croyais pas à l’explication de Khalezov et me suis mis en tête de démontrer sa fausseté, ce qui m’a conduit à l’exact opposé (bien que Khalezov commette, lui aussi, des erreurs).
Et comme vous le dites, toute nouvelle réponse entraîne de nouvelles questions. Comme je le rappelle à la fin, les relevés sismiques publiés posent encore problème dans le cadre de cette explication... mais ils en posent également (et à mon avis de plus graves) dans le cadre de l’explication officielle. On pourra lire avec intérêt l’analyse qu’en a faite le géophysicien français André Rousseau :
http://www.journalof911studies.com/...
ou encore en français ici :
http://www.reopen911.info/11-septem...
Ne peut-on pas envisager que la tour 1 qui a été percutée le plus haut et le plus symétriquement enregistre l’onde la plus forte lors du crash ?
Je ne me hasarderais pas dans le domaine scientifique (géologie, sismologie, balistique ou physique), mais il me semble (intuitivement) que la colonne centrale était assez rigide pour pouvoir transmettre l’onde verticalement au manteau, de même que la structure extérieure dans une moindre mesure, on parle quand même de 200 tonnes (100 d’alliages divers et de polymères, 100 de kérosène et de passagers ) propulsées à 800km/h contre un corps relativement solide à 400m du sol auquel il est bien encré.
Il est aussi notable que la tour 2, touchée plus tard, plus bas et plus désaxé, s’est effondrée plus vite dans le temps et dans l’espace en transmettant le moins d’ondes au sol.. mais toujours plus que des explosion subaériennes et, à fortiori, "disruptives ".
J’avais cru comprendre que la magnitude (2) correspondait à l’effondrement d’une structure à la masse plus ou moins 10 x inférieure par démolition contrôlée,
de ReOpen info
Une révélation du FBI
Le 5 juin 2006, le journaliste d’investigation au Muckraker Report, Ed Hass, a remarqué dans l’avis de recherche sur ben Laden publié sur le site Web du FBI, que ce dernier était recherché pour plusieurs crimes mais pas celui du 11 Septembre. Il s’est donc renseigné auprès de Rex Tomb, chef de l’Investigative Publicity and Public Affairs Unit au sein du FBI et voici la conversation qui en a résulté :
Haas : « Pourquoi il n’y a aucune mention du 11 Septembre sur la page Web « Most Wanted » de ben Laden ? »
Tomb : « La raison pour laquelle le 11 Septembre n’est pas mentionné dans l’avis de recherche sur Oussama ben Laden est qu’à ce jour, le FBI n’a pas de preuves formelles de l’implication de ben Laden dans ces attentats. »
Haas : « Comment est-ce possible ? »
Tomb : « le FBI rassemble les preuves qui sont ensuite communiquées au Département de la Justice. Ce dernier décide s’il y a suffisamment de preuves à présenter à un jury d’accusation. Dans le cas de ben Laden, il n’a pas été formellement accusé, car le FBI n’a pas de preuves impliquant ben Laden dans les attentats de 11/9. »
Le travail de forme de cette vidéo (présentation, son, lumière, etc...) est indéniable et touche à la vraie performance militante qui anime la cellule de ERLille dont je prends toujours plaisir à savourer les créations mais sincèrement le fond (le sujet de cette vidéo) est d’un ennui pathétique. Rien n’est remis en cause à savoir que les tours jumelles et le WTC7 ont bien été l’objet d’une démolition contrôlée comme le sont les barres d’immeubles, alors se questionner sur la formule choisie pour cette démolition contrôlée (classique ou nucléaire) en s’interrogeant sur le temps de dispersion thermique qui trahirait l’emploi du nucléaire n’ajoute vraiment rien à ce grand cirque hollywoodien qui aura sacrifié près de 3000 âmes pour "légitimer" le top départ de la lutte contre l’intégrisme islamique dans le monde. Amitiés à ER Lille.
@ François Roby
Merci pour avoir abordé cette question -essentielle- de l’énergie nécessaire pour créer ce qui nous a été donné à voir et sur quoi j’ai tenté d’attirer l’attention depuis plus d’une décennie sans susciter l’intérêt de nos semblables.
Je me souviens d’avoir alerté des "chercheurs de vérité" outre-Atlantique il y a fort longtemps et même d’avoir ironiquement conclu que la seule explication pour tout ce métal en fusion pendant des semaines était qu’une entreprise sidérurgique s’était installée dans les sous-sols du complexe !
Maintenant, j’aimerais vraiment que vous sortiez des sentiers battus (par d’autres) et que vous vous penchiez sur mon invitation passée à rompre avec l’universalité de vos modèles.
Oui, ce cirque du 11 Septembre est bien d’origine nucléaire, encore faut-il définir ce que l’on entend par là. Je préviens les grincheux que j’ai déjà écrit ici qu’un produit aluminothermique et des charges creuses ont aussi été utilisés et que j’ai toujours insisté sur ce que j’appelle la fonction "ET" (donc non exclusive) dans la recherche de la vérité, mais là n’est pas le sujet.
Il serait vraiment intéressant de pouvoir analyser ce qui justement était en fusion pendant tout ce temps, du fer ? Oui, sans doute, et quoi d’autre ? Du cobalt peut-être ?
D’ailleurs, où sont les 100 000 tonnes d’acier évoquées pour chaque tour ? Même avec une densité de 7,8, il y aurait de quoi remplir quelques piscines olympiques (là, c’est pour l’ordre de grandeur que vous évoquez très justement) !
En comparaison des quelques vagues poutres visibles après la chute et évacuées rapidement vers un ailleurs inconnu, le compte n’y est pas !
Sinon, et pour reprendre votre exemple de la production d’énergie par la digestion des aliments, je vous invite à prendre connaissance des travaux de Louis-Nicolas Vauquelin.
Et puisque je me rappelle vous avoir conseillé de vous intéresser aux "Egyptiens",
leurs problèmes dermatologiques liés à l’usage de vermillon (oh pardon, sulfure de mercure) devraient retenir toute votre attention.
Bien à vous.