Le serpent se mord la queue à force d’accumuler les contradictions indépassables qu’engendrent ses délires. Psycho-pathologiquement assoiffé de richesse et de puissance, dont la seconde tue la première, ce qui in fine infirme toute transaction autre que le meurtre pour le vol, mais aussi toute prospérité durable selon des modalités qui prendraient équitablement en compte les intérêts des parties concernées, et avec pour variable d’ajustement pour ce manque à gagner, ce qui est fiscalement racketté à qui est momentanément épargné (en attendant le massacre de masse...)