Gradins vides à Roland-Garros : "un problème culturel"
10 juin 2024 22:09, par Renaud
J’ai adoré le tennis pendant longtemps, je ne regarde quasiment plus mais je trouve que l’écart riche/pauvre se fait de plus en plus ressentir dans ce sport, tout autant que l’écart entre la pensé populaire et celle des "élites", et qui plus est je ne sais pas s’il y a un sport où on a vu plus de haine décomplexée contre la Russie avec des joueuses ukrainienne qui demandaient carrément d’interdire d’autres joueuses russe de participer ou qui ne voulait pas les affronter car elles seraient complices de "crimes contre l’humanité", où le drapeau russe est effacé de l’écran (en tout cas ici au Québec c’est le cas) et où la presse prolonge la propagande anti-russe jusque dans ce sport pour plébiscité les autres joueurs et joueuses sans que cela ne fasse intervenir qui que ce soit pour y mettre un terme.
Aujourd’hui je me passionne pour le bras de fer, un sport qui a toujours été un phénomène de mode en Amérique du Nord et une véritable institution dans les pays de l’est où il est proposé aux élèves dès l’école. Un sport avec ses légendes comme John Brzenk, Denis Cyplenkov, Devon Larratt ou aujourd’hui l’imbattable Hulk Géorgien Levab Saginashvili et où américains, russes, ukrainiens, polonais, géorgiens, canadiens etc s’affrontent dans un vrai respect, sans jamais nous casser les couilles avec les frasques géopolitique du monde, on est des hommes et on s’affrontent littéralement main dans la main, personnellement j’aime tellement que je m’entraîne depuis 6 mois et où le tournoi que j’ai organisé au bar dans lequel je travaille a confirmer mon amour pour ce sport où il y a encore tant à faire et qui a encore un côté artisanale pour développer ses techniques qui lui donne plein de charme. En Europe de l’ouest il y a quelques champions comme Gasparini, Lamparelli (Italiens) et Léonidas Arkonas (Allemand) mais celà reste assez restreint.