La perte du Sacré, porteur du sens, vers l’enracinement en l’ETRE a eu pour conséquences presque fatales sur le profil de l’homme blanc contemporain d’entraîner sa grande fragilité, perte de repères, sa dévirilisation, sa dérive intérieure et mal-ETRE

Que les migrants ne se fassent pas d’illusion. Ils en sera de même pour eux une fois éventuellement installés dans le temple commercial de Babylone. La Bête immonde veut la dévoration de l’ETRE y compris que nous nous dévorions les uns avec les autres. Le terme dévorer est à rapprocher en terme de sexualité.

Le trop-plein d’énergie matérialiste soumis à la marchandisation, à l’échange mercantile alors qu’il EST prévu par le plan divin pour être donné et non vendu, nous dit le symptôme de notre abyssale pauvreté spirituelle et donc de nos pathologies, nos maux et malheurs. Pas pour rien que la psychiatrie s’en mêle. Elle ne sera que de piètre utilité.

Mais, il fallait probablement que nous passions par cette étape dangereuse, ce chemin de perdition pour que nous réalisions combien nos Patriarches et Matriarches de l’Eglise ont semé un héritage préparé de longue date pour notre génération afin de vivre notre Passage (nos Pâques intérieures) pour la rencontre du Fils de l’Homme dont chacun d’entre nous est enceint, avec le Fils de Dieu.

Vouloir s’accaparer cette union divine, l’Enfant-Roi, et la rapporter à son moi-je fusse-t-il musulman, chrétien ou judaïsant, c’est dérober le feu divin, donc se consumer intérieurement comme extérieurement. Telle est la Loi. Qui veut la preuve subit l’Épreuve. César n’épouse pas Dieu !

Pour la multitude, ce message est incompris bien évidemment. Mais il est perçu dans les profondeurs de son ETRE. Pour qu’il émerge à la surface de la pensée, des actions, des comportements et des attitudes, seul le chemin conscient au travers d’une éducation aux véritables sciences spirituelles que sont les ésotérismes des religions chrétienne et musulmanes conduit à une paix et une sagesse vivante celle que Jésus en Christ nous a donnée !

Nos manipulateurs coupables réunis en corps constitués en tous genres (César) ont voulu un accouchement au forceps après avoir violé et donc volé les peuples en les trompant.

La Volonté divine veut une fécondation naturelle entre les Nations, chaque peuple distincts culturellement et politiquement dôtés de leurs puissances. Elle VEUT donc aussi un accouchement fait d’acheminements réciproques et coopérations.