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Sexe, Ukraine et cinéma : Charlotte (Gainsbourg) ou les malheurs de la tribu

Le nom de leur morceau est Gang Bang, qui signifie « viol collectif » en langage jeune américain des cités (de là-bas).

 

 

Ces jeunes chenapans de couleur n’ont pas l’air d’avoir peur de la police. Il est vrai qu’ils fument des substances (plus vraiment) interdites dans ces cigarettes coniques, brandissent des armes (factices) pour effrayer les bourgeois de couleur blanche et profèrent des gros mots (c’est autorisé par la loi en cas de prétexte culturel), mais surtout, ils ne portent pas de gilet jaune, le signe distinctif du Français qui se fait généralement racketter par l’État et tabasser par les FDO.

Les racailles n’endossent pas de gilet jaune, très différent du maillot jaune pour le coup : ils ont compris que la révolte menait à la répression féroce, en régime sioniste. Ils préfèrent ruser avec l’autorité, qui de toute façon les tolère, car il faut bien un minimum de peur insufflée au Français moyen dans la rue. C’est ça ou le terrorisme islamiste, covidiste, poutiniste, ce qui permet de cacher le terrorisme macroniste.

Pourquoi Charlotte vote Macron

 

 

La fausse chanteuse est partout en ce moment. Normal, elle sort un disque (sans voix) et un film (sans présence). Curieusement, Kontre Kulture ne les vend pas.

Charlotte, déjouant les déterminismes de classe et d’extraction, est intervenue pendant la campagne 2022 pour expliquer aux Français que Marine Le Pen était dangereuse parce qu’elle en avait « peur ».

 

 

Houla, la coupe à la Béart, limite pire que ses arguments... Aujourd’hui, tout va mieux puisque Marine a accepté sa défaite, ou plutôt les re-calculs de Macron, et Charlotte peut répondre aux questions du Parisien, le journal du ministère de l’Intérieur, c’est-à-dire des forces (de l’ordre) occultes, qui se confondent quand il s’agit tabasser les Gilets jaunes.

Il y a toujours deux lectures politiques, en France : la lecture pour les blaireaux, et l’autre, nous dirons pour les chenapans, qu’ils soient de droit commun ou politiques.

Charlotte raconte dans le numéro du 4 mai 2022 sa souffrance. D’abord, la gestion du covid par Trump, et la mort du grand black camé.

Heureusement, le cinéma (sans spectateurs) la sauve de la dépression. Elle joue dans des films intimistes qui racontent la souffrance morale – jamais physique – des bourgeois, et spécialement des bourgeoises.
Ce qui ne touche malheureusement pas les racailles et les Gilets jaunes, qui eux n’ont que de la souffrance physique ou sociale à opposer.

La chance, Charlotte peut aller de Paris à New York pour échapper aux confinements de 2020, puis revenir à Paris quand l’Amérique trumpienne devient trop étouffante, et enfin trouver une grande maison au soleil pour échapper à ses fantômes parisiens. Ça a du bon la famille, la tribu, le Milieu !

On a retrouvé un passage dans la presse où Charlotte parle d’un de ses rôles dans un film adapté d’un roman de Marguerite Duras, la grosse tanche célébrée comme un génie par les pseudo-socialistes des années 80, ces arnaqueurs du prolétariat français. Aujourd’hui, le PS est mort, déchiqueté entre LFI et LREM, soit la gauche des quartiers et le centre bourgeois, qui vit justement retranché dans le centre des grandes villes. Deux mondes pas très compatibles.

 

Impressionnant, ça donne envie d’aller à la pêche à la carpe, non ?

On parlait de communauté (de valeurs, hein), voyons les réals qui font tourner Charlotte (tourner n’a pas ici le sens de « tourner » une gwer dans les caves mais tourner au cinéma, quand la caméra fonctionnait encore à la manivelle) : Finkiel, Nakache, Attal, Toledano, Boon (qui s’est converti) et la productrice Fogiel.

Dans la saison 2 d’En Thérapie, la série maladive diffusée sur Arte, on retrouve la vedette noire (attention, c’est pas Obono de LFI) du Sens de la fête, le carton socialo-sioniste du couple Toledano-Nakache, et bien sûr Charlotte, la psycho qui incarne une psy. Comme quoi, le cinéma peut tout. On a même vu JoeyStarr en flic ou en pédé. Le casting est très, comment dire, entre-soi, nous dirons entre-Eux.

 

 

Comme c’est la quinzaine commerciale Charlotte, on ajoute son tweet judéo-ukrainophile :

 

 

« Besoin d’un nouveau rôle » ? C’est pas bien malin de dire ça, ça suppose qu’elle souligne son appartenance communautaire, confessionnelle ou géographique (les Khazars) pour choper un boulot au cinéma ! En plus dans une industrie qui se casse la gueule... comme Alstom, le nucléaire, Technip, tout ça, avec les banques d’affaires qui se gavent sur le déchiquetage de notre économie, les meilleurs morceaux partant à l’étranger.
C’est le moment de parler d’ASN (Alcatel Submarine Network).

Quand l’oligarchie gang-bangue la France...

ASN est l’exemple même du fiasco engendré par la vente d’une entreprise stratégique. Cette filiale de Nokia, qui en constitue l’unique associé, est le leader mondial de l’industrie câblière au côté de l’américain SubCom LLC, du japonais NEC et du chinois Huawei Marine. Si une part de la production d’ASN est maintenue à Calais, l’entreprise et ses brevets appartiennent au finlandais Nokia depuis le rachat d’Alcatel-Lucent en 2015.
À l’époque, le ministre de l’Économie Arnaud Montebourg s’était opposé au rachat de cette entreprise avant que le projet ne soit autorisé par le nouveau ministre Emmanuel Macron, avec l’assurance qu’il n’y aurait « aucune destruction d’emplois en France ». Ces promesses n’étaient en réalité basées que sur un moratoire prenant fin en septembre 2017, lequel ne garantissait pas un maintien de l’activité en France sur le long terme.
Nokia a depuis lancé trois plans sociaux, et un quatrième a été annoncé en juin 2020 qui mettra fin à l’activité d’un tiers des effectifs français, soit 1 233 emplois hautement qualifiés perdus.
En 2018, quand la Banque publique d’investissement (Bpifrance) a proposé un partenariat à Orange Marine pour racheter ASN à Nokia, ce projet de rachat a été bloqué par l’entreprise finlandaise, suite à la signature par ASN des gigantesques chantiers 2Africa de Facebook et Equiano de Google, préfigurant la bonne santé économique de l’activité. Certaines pertes sont irréversibles. (institut-rousseau.fr)

Tiens, quel que soit le bout par lequel on prend un sujet, on retombe toujours sur de l’oligarchie, du pouvoir profond, de la corruption. C’est curieux, non ? Ça doit être une déformation professionnelle...

Ces people qui votent contre le peuple (et donc leur public)

Comme prévu, sur E&R

 






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