Slogan immature et désintéressé ? Non ! Constat lucide de soixante ans de défaite du camp national.
Car oui, qui croit encore à la démocratie représentative, elle qui s’est toujours opposée à la démocratie réelle, locale et directe ? Qui croit encore que le salut soit dans les masses quand Gustave Le Bon (Psychologie des foules) et Guy Debord (La Société du spectacle) nous ont montré qu’elles ne sont que des puissances irréfléchies, esclaves de leurs émotions, incapables de raison ou de politique, livrées au contrôle de minorités médiatiques ou financières ?
Abstention, gérontocratie, prêt-à-penser électoral… à chaque élection, les urnes vomissent les mêmes résultats : invasion migratoire, éducation en détresse, destruction des protections sociales des français, disparition de nos libertés individuelles et bien d’autres défaites… Les élections passent, nos problèmes restent !
Cette Assemblée, comme la précédente, ne changera rien car le pouvoir ne s’y trouve pas ou plus : il a migré vers certaines banques, chez certains philanthropes internationaux. La sauvegarde de nos familles, de notre pays, de notre civilisation ne fait plus partie des objectifs du Sénat, de l’Élysée ou de l’Assemblée nationale depuis longtemps.
[...]
Ouvrons des bastions sociaux, des écoles, des crèches, des entreprises, des librairies, des coopératives, des bistrots. Le combat commence au bureau, à l’usine, à la fac, dans son quartier : devenons les cadres de demain.