J’imagine que c’est pistache qui apporte son propre rouleau de scotch.

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Il y a des gens qui jettent de la peinture dessus.

Le « tag » est une expression de la rue, valorisée par le ministère de la culture du temps de Jack Lang. Une bombe de peinture, c’est 5 €. Exprimez-vous, nous sommes en démocratie, c’est merveilleux. Les murs ont la parole. Il suffit d’écrire ce que l’on pense de Macron, ou d’enrichir une affiche LGBT avec sa petite participation divergente pour alimenter la diversité.

Notre monde est inclusif après tout ! Lâchez-vous camarades !

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Ces affiches sont d’un ridicule, c’est à mourir de rire.. Tout est à chier là dedans.. Je remarque que dans le couple lesbien y a tjs la femme qui joue à être l’homme.. LGBTQI++ ils pourraient rajouter encore des lettres juste pour le fun.. Tout ça ne rime à rien, c’est stérile, il n’y a aucun avenir là dedans. La nature reprendra ses droits assurément..

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On fait que critiquer et commenter en se lamentant,minablement !
Personne n’agit concrètement pour que ça change,pourquoi voulez vous que ça change.

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Cela fait 23 ans que je vis à Genève et je dis toujours que les genevois sont en voie de disparition, il reste quelques familles dans les villages du périmètre campagnard de la région, mais le centre-ville est complètement international. Â l’école primaire (4-12 ans), je me suis fais 2 amis suisses, un italien, un chinois et 3 portugais. Depuis étant adulte, je ne trouve pas vraiment de genevois dans ma vie de tout les jours.
Les Suisses Romands voyent Genève comme une ville française, alors que nous sommes vraiment une ville mondialiste pour la majorité, partagé entre une classe riche et une classe précaire. Il y a pas mal de divertissements offert par la ville mais je ne ressens pas de culture genevoise ou de traditions vivaces. Je ressens les genevois comme ouverts, bons vivant, naïfs et inconscients de leurs disparitions.
Je n’ai jamais trouvé un peuple auquel m’amalgamer, donc je reste un français à Genève.

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Ce dont Satan a le plus peur c’est de la lumière.

Donc, contre la mairie, on devrait intenter un procès :

 D’une part, la camapgne ne rentre pas dans l’objet social de la municipalité qui n’est pas de faire de la propagande LGBT mais d’assurer la propreté et la sécurité de la ville.

 D’autre part, l’idéologie LGBT est en elle-même contraire aux lois et aux bonnes moeurs et donc à l’ordre public suisse, que la mairie ne peut financer sans se mettre dans l’illégalité la plus militante.

Toute la chaine décisionnelle de cette campagne doit être licenciée et punie pénalement.

Voilà : je propose 8 000 000 de plaintes.

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Une synthèse

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Faut dire que Genève à une ambiance morbide déjà moi qui ne connaissais pas, rien à voir avec Lausanne ou j’ai senti plus de bonnes vibes, et puis les affiches sont horribles c’est en dessous des chiottes le niveau artistique

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Notez que cette affiche satanique met "trans" avant "cis"...l’inversion systématique de tout étant une marque caractéristique du diable.

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Avez vous remarqué que lorsqu’une idéologie déviante cherche à s’imposer, non seulement elle crée elle même sa propre désignation, mais bien plus pervers, elle crée une nouvelle désignation pour tous les autres.

Ainsi, on s’est désormais habitué au terme "hétérosexuel " mais en réalité en utilisant ce terme, c’est exactement comme si on désignait par "bi-jambiste " toute personne n’étant pas unijambiste.
C’est la marge qui définit la norme au lieu de l’’inverse.

Ils nous font maintenant exactement le même coup avec le terme "sis genre" .
C’est quoi la prochaine étape ? "pédophobe " pour ceux qui ne couchent pas avec les enfants ?

Je ne suis ni "héterosexuel" ni "sisgenre" je suis juste NORMAL.

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