Bachar el-Assad s’est très bien rendu compte de cette situation, il a très bien vu que la situation était un peu désespérée, si vous voulez, et je pense que c’est la raison pour laquelle il a commencé à négocier avec les « rebelles » pour qu’il n’y ait pas de combats. Il a constaté que la guerre de 2011 à 2017, à peu près, avait coûté de très nombreuses vies de citoyens syriens, qu’elle avait amené des (...)