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États-Unis : Pfizer demande l’autorisation de son "vaccin" covid pour les moins de 5 ans

Pfizer a annoncé mardi avoir demandé au régulateur américain du médicament d’autoriser l’utilisation aux États-Unis du vaccin contre le Covid-19 pour les enfants de moins de 5 ans, en dépit de données indiquant que la réponse immunitaire provoquée par le produit est moindre chez les enfants en bas âge.

 

Le laboratoire américain et son partenaire BioNTech ont indiqué avoir commencé à transmettre les données d’essais cliniques à la FDA à la suite d’une demande de celle-ci pour répondre à un besoin de santé publique pour cette catégorie d’âges. Une réunion d’un panel d’experts conseillant la FDA est prévue le 15 février sur le sujet.

Pfizer et BioNTech souhaitent que la FDA valide une vaccination à deux doses pour les enfants en bas âge. Le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, a toutefois indiqué que trois doses seraient vraisemblablement nécessaires pour une protection maximale contre les variants actuels et futurs du coronavirus.

* * *

 

Le point de vue du Pr La Scola (IHU Méditerranée Infection) sur la « vaccination » des enfants : « ce n’est plus de la science, c’est du fanatisme »

 

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50 Commentaires

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  • #2898371

    Je propose une piqûre dans le foetus...

     

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  • Et les pouvoirs armés (flics et militaires), ils disent quoi là ? Non c’est vrai, ils sont payés à casser les couilles aux braves gens, et verbaliser les non masqués...

     

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  • Ils se sont peut-etre lassé de les violer, alors on casse le jouet.

     

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  • Opération séduction !

    Pinocchio et le vilain Bourla - Chapitre III : le chapiteau Pfizer for kids.

    Se réveiller dans une cage avec des oreilles d’âne...

     

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  • #2898443

    Devant le manque d’empressement de nombreux parents français de faire vacciner leurs enfants, je pense qu’ils vont passer vite au pass vaccinal pour les 5-16 ans mais peut-être pas avant les élections. Puis nous aurons la joie et la fierté de nous hisser à la hauteur des USA pour les 0-5 ans. Là ils font miroiter une libération totale pour que ce gouvernement apparaisse comme le vainqueur de "la crise sanitaire et du virus tueur" histoire de finir ce mandat en beauté. Mais s’ils balancent comme il se murmure une fausse pandémie Marburg, je ne suis pas sûr que ce soit seulement pour cacher les morts qui vont arriver par problèmes cardiovasculaires dûs aux injections.........peut-être actionneront-ils en plus la 5G à fond en certains endroits pour, via le graphène, avoir beaucoup de morts en plus ? Ou autre chose d’aussi sympathique ?

     

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  • Surtout avec consentement éclairé après avoir lu la notice de l’injection. Allez tu as tout compris ma chérie, on y va. T’inquiètes ça pique un peu. Tu respires, tu vas avoir une jolie récompense.... comme promis.

     

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  • À gerber ! J’espère que le peuple américain va se lever pour protéger leurs enfants de ces fous ! Ils ont quand même le 2e amendement là-bas

     

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  • Ces enfoirés cherchent des nouvelles parts de marché , quitte à jouer avec la santé des plus jeunes....
    Mais ce qui me degoute le plus je crois c’est la soumission générale des parents.

     

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  • [ Discussion sur deux points de détail de l’exposé du Pr La Scola ]

    [ 1/2 ]

    Réf : la vidéo [1] présentée en fin d’article montrant un entretien avec le Pr La Scola.

    Je discute ici d’un aspect de la virologie — le génome d’un virus et sa mutation, et plus spécifiquement d’un virus à ARN —, traité par le Pr La Scola de 7:25 à 8:35, qui est sans rapport direct avec la politique « vaccinale » des enfants contre le COVID.

    L’explication du Pr Bernard La Scola, qui se veut être de la vulgarisation en réponse à la question du journaliste, m’apparaît discutable en deux points spécifiques.

    1) Le premier point que je discute est le fait qu’il cite les nucléotides A, C, G, T comme étant les bases de tous les êtres vivants, incluant les virus, dont les virus à ARN. Mon point, en résumé, est que A, C, G, T sont les nucléotides de l’ADN, alors que pour l’ARN c’est A, C, G, U. Je détaille un peu ci-dessous.

    En effet, il dit ceci (de 7:34 à 7:47) : « Les virus, notamment les virus à ARN... Tous les organisme vivants... c’est basé sur une séquence de nucléotides — l’ADN — donc vous avez des bases A, C, G, T... qui se succèdent ».

    Cette vulgarisation m’apparaît abusive en ce que les virus à ARN ont pour nucléotides A, C, G, U (le U remplaçant le T). Lui le sait parfaitement, mais les auditeurs pas forcément... Je cite ici le début de la première section (titrée « Bases canoniques des acides nucléiques ») au sein de l’article Wikipédia intitulé « Base azotée » :

    « Les cinq bases principales, ou canoniques, sont l’adénine, la cytosine, la guanine, la thymine et l’uracile, respectivement symbolisées par A, C, G, T et U. Parmi ces cinq bases, A, C, G et T sont les quatre bases de l’ADN, tandis que A, C, G et U sont les quatre bases de l’ARN ».

    2) Le second point que je discute est relatif à la mutation du virus, que le Pr La Scola présente comme le résultat d’erreurs de réplication, alors que dans le cas des coronavirus, selon le généticien moléculaire Christian Vélot, il y a très peu d’erreurs de réplication mais une très forte propension à la recombinaison avec de l’ARN exogène au virus. Je détaille un peu ci-dessous.

    ../..

     

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  • [ 2/2 ]

    Le Pr La Scola dit ceci (de 7:47 à 8:02) : « Quand le virus se multiplie, il a besoin de dupliquer cet acide nucléique, et quand il les [NDR : les nucléotides] duplique, il fait des erreurs, voilà. Les virus à ARN font beaucoup plus d’erreur. Et donc récurremment, il y a des erreurs, et donc les virus accumulent des erreurs ».

    Selon les explications [2] de Christian Vélot, dans le cas des coronavirus, d’une part il y a des enzymes de contrôle d’intégrité et de correction d’erreur qui les limitent fortement, d’autre part ces virus ont une très forte propension à se recombiner avec de l’ARN exogène au virus.

    Pour autant, je ne prétends pas conclure que les variants de SARS-CoV-2 sont plutôt des recombinants (résultats de recombinaison, on pourrait dire aussi des mutants par recombinaison) que des mutants par erreur intrinsèque de réplication, sachant qu’il y a beaucoup de réplications (notamment dans les élevages de mustélidés) dans le cycle de vie du virus.

    [1] Pour référence (pour aider à retrouver la vidéo en cas de disparition), il s’agit de la vidéo (durée 12:38) titrée "Pr La Scola : « La vaccination des enfants ce n’est plus de la science, c’est du fanatisme »", publiée le 2 février 2022 sur la chaîne Youtube Sputnik France.

    [2] Je fais référence à des explications que le Dr Christian VÉLOT (généticien moléculaire et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, le Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie GENétique) a données dans le cadre de cette crise COVID, cf. la page du site Criigen.org titrée « Expertise et Vidéo vaccins Covid-19 : les réponses et approfondissements du Dr. VÉLOT à vos questions ». Cette page présente des liens (après un image non cliquable), notamment vers deux vidéos (que j’ai vues à l’époque de leur publication) et une note d’expertise en PDF (que j’avais partiellement lue ; elle reprend l’exposé de la 2e vidéo). Une rapide recherche dans ces sources ne m’a pas permis de retrouver le passage permettant d’étayer mon allégation, mais je sais qu’il y est (dans au moins une des deux vidéos, c’est sûr). J’ai notamment cherché en vain par mot clé dans le PDF (dans lequel on trouve un certain nombre d’occurrences de "recombin...", mais pas les mots "erreur" ou "réplication").

     

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    • Sur 1. Non, il n’inclut pas les virus ARN quand il parle de l’ADN et ATCG. Ce qu’il dit c’est que l’ARN est construit sur le même principe et que s’il y a erreur de réplication il y a mutation.

      Sur 2. Il y a peu d’erreurs de réplication, mais il y en a. Sur 30000 bases il fait 3 erreurs de réplication en moyenne, ce qui est peu mais ce qui le rend 10000 fois plus mutagène qu’un virus stable !

      Pour information, comme vous le précisez parfaitement l’ARNm (codant) est composé des nucléotides AUCG, l’Uracile remplaçant la Thymine. C’est vrai pour toutes les espèces vivantes sur terre.

      Mais l’ARNm du Comirnaty ne contient pas d’Uracile, le labo ayant décidé de le remplacer par de la pseudouridine. Les 4 nucléotides sont là A-Ψ-C-G, ce qui en fait une chimère. Rappel : Ψ n’est pas dissoluble ni recyclable par la cellule.

      De plus, la purification est très mal faite, 41% d’ARNm erroné jusqu’en avril 2021, 25% au mieux depuis.

      Cela sachant que grâce aux nanocapsules lipidiques ce produit entre dans les cellules souches, contrairement aux adénovirus utilisés comme véhicules dans d’autres produits.

      Bref, ce produit explique le blindage des contrats voulu et obtenu par Pfizer. Il faut ne rien en connaître pour accepter cela dans son organisme.

       
    • @ NoHope

      [ 1/2 ]

      Vous écrivez ceci : « Sur 1. Non, il n’inclut pas les virus ARN quand il parle de l’ADN et ATCG [...] ».

      Si, dans son propos que j’ai cité exactement (à mon point 1), en donnant le chronométrage pour contrôler, il laisse à penser au béotiens qu’il inclut les virus à ARN quand il parle des bases A, C, G, T. Seuls les connaisseurs peuvent rétablir d’eux-mêmes un énoncé valide sans ambiguïté.

      Pour le reste, les informations que vous donnez sont nouvelles pour moi :

      - je suis surpris de cette moyenne de 3 erreurs de réplication d’un virion (un échantillon du virus) de SARS-CoV-2, ça me paraît beaucoup (je suppose que 3 est le nombre moyen d’erreurs par réplication complète d’un virion, vous ne précisez pas) ;

      - je ne sais pas ce que vous appelez un virus stable ; j’imagine que c’est un virus relativement stable, c’est à dire parmi les moins mutagènes, car la stabilité parfaite est exclue ;

      - je comprends que les quelques 31K nucléotides de SARS-CoV-2 constituent un patrimoine génétique plus vaste que beaucoup d’autres virus (comme l’explique Christian Vélot), et à ce titre j’envisage l’hypothèse que, alors que le taux d’erreur de réplication de SARS-CoV-2 par nucléotide répliqué puisse être très faible (Christian Vélot déclare que SARS-CoV-2, en tant que coronavirus, fait très peu d’erreurs de réplication, du fait de la présence d’enzymes de contrôle d’intégrité et de correction d’erreur), étant donné le grand nombre de nucléotides, une réplication complète puisse tout de même produire un nombre cumulé d’erreurs plus important que des virus réputés relativement stable et ayant un nombre de nucléotides bien inférieur ; cette hypothèse pourrait impliquer un taux d’erreur par réplication complète du virus SARS-CoV-2 qui soit supérieur aux virus relativement stables et de taille plus petite ;

      - j’étais loin de me douter que ces erreurs de réplications rendent SARS-CoV-2 10.000 fois plus mutagène qu’un virus relativement stable ; je doute de cette allégation ; je me serais attendu à ce que SARS-CoV-2, qui doit avoir un taux d’erreur par réplication de nucléotide particulièrement faible (ce que j’infère à partir des explications de Christian Vélot), ait aussi un taux d’erreur par réplication complète relativement faible, disons environ 10 fois plus élevé qu’un virus à ARN relativement stable de taille bien plus modeste, comportant par exemple un nombre de nucléotides 10 fois inférieur, soit quelques 3K nucléotides ;

      ../..

       
    • [ 2/2 ]

      [suite du point précédent] le facteur multiplicatif du taux d’erreur par réplication complète précité — 10 — est inférieur au facteur 1000 (que vous annoncez) d’un facteur 100, or 100 fois moins de nucléotides que 3K, ça fait 30, ce que je suppose être trop peu pour faire un virus ;

      - je ne savais pas que la pseudouridine est utilisée en remplacement de l’Uracile, dans les pseudo-vaccin Comirnaty de Pfizer & BioNTech, et je ne savais pas qu’elle n’est pas dissoluble ni recyclable par la cellule ; je vois dans l’article Wikipédia dédié à la pseudouridine que, je cite, « on la trouve dans certains ARN non codants [...] [elle] n’est pas incorporée lors du processus de transcription [NDR : de l’ADN en ARN], mais résulte d’une modification post-transcriptionnelle de certains résidus d’uridine. C’est la modification de base la plus fréquente dans l’ARN, elle est retrouvée chez l’ensemble des organismes vivants » ; ainsi, j’envisage qu’elle ne soit pas si toxique par elle-même que le laisse supposer votre présentation ;

      - à propos de la purification du pseudo-vaccin, je trouve les deux pourcentages d’ARNm erroné excessivement précis, surtout le premier (« 41% d’ARNm erroné jusqu’en avril 2021, 25% au mieux depuis », dites-vous), et je me demande comment une telle information a pu être obtenue ; j’imagine que le fabriquant n’a pas communiqué ces données et qu’elles ont été obtenues par rétro-ingénierie en analysant des échantillons en laboratoire, démarche d’analyse qui m’apparaît ambitieuse sachant qu’il y a visiblement une grande variabilité dans la toxicité des pseudo-vaccins selon les lots, donc une grande variabilité dans leur composition ;

      - je ne savais pas que les nanocapsules lipidiques (des bi-couches de graisse comprenant la charge ARNm codant pour la protéine Spike) des pseudo-vaccins à ARN peuvent pénétrer les cellules souches — selon l’article Wikipédia dédié, une cellule souche est une cellule indifférenciée capable, à la fois, de générer des cellules spécialisées par différenciation cellulaire et de se maintenir dans l’organisme —, contrairement aux adénovirus utilisés comme véhicules dans les pseudo-vaccins à ADN.

      Si vous voulez apporter des précisions à vos allégations, que ce soit des sources ou des indices révélant votre niveau d’expertise (pour faciliter l’évaluation de votre crédibilité), je suis preneur.

       
    • Bon !

      Visiblement la tartine est une de vos spécialités !

      Que vous doutiez de choses triviales c’est dommage mais Internet sert aussi à vous renseigner sur les sites scientifiques au lieu de demander à ce que d’autres le fassent pour vous.

      Pour mes chiffres de 41% et 25%, ils sont effectivement tirés de tests faits par l’EMA en décembre 2020. L’article qui en parle date du 16 janvier 2021, journal Le Monde. Normalement c’est à vous de chercher un peu, et je vous préviens que dans l’article ils parlent d’ARN intègre de 59% puis de 75%, au cas où vous diriez que vous n’y avez pas trouvé 41% et 25% puisque je parle de la partie frelatée. Article ici

       
    • @ NoHope

      [ Justification de la longueur de certaines de mes contributions ]

      Lorsque je « tartine », je vise particulièrement des objectifs déterminés, dont particulièrement ceux-ci :

      - la clarté (notamment l’univocité, c’est à dire l’absence d’ambiguïté interprétative) ;
      - la présentation de sources (par pédagogie ou pour soutenir les allégations sortant de l’ordinaire du grand public) ;
      - la pédagogie (notamment en présentant mon raisonnement à partir des informations dont je dispose).

      [ Sur la trivialité ou non des sujets abordés ]

      Si vous trouvez que les choses dont nous discutons ici sont triviales, c’est soit que vous êtes du métier et vous gagneriez en pédagogie à vous mettre au niveau du grand public (nous ne sommes pas sur un site scientifique), soit que votre prétention est abusive.

      [ Sur la difficulté à chercher des sources fiables ]

      Que vous me renvoyiez à la nécessité de me renseigner par moi-même, soit, mais il y a des limites à ce conseil :

      - l’expertise de chacun à chercher des informations est limitée (chacun a ses sites de référence et ses habitudes plus ou moins rodées sur ses sujets d’intérêt) ;
      - la capacité de chacun à déterminer la confiance qu’il peut accorder dans des sources est limitée (cette capacité dépend de l’expertise sur le domaine considéré, particulièrement en science, et particulièrement en médecine où les conflits d’intérêt génèrent de la corruption) ;
      - le temps disponible est contraint...

      Vous avez présenté des allégations que j’ai discutées à mon modeste niveau d’expertise. Vous êtes fondé, si vous connaissez votre sujet, à présenter les sources que vous avez (vous les avez déjà consultées), particulièrement des sources scientifiques.

      [ Sur la source que vous présentez ]

      Vous finissez en me présentant une source vers le journal Le Monde qui est à plus d’un titre un sale torchon propagandiste. Ce torchon prétend avoir analysé des documents confidentiels piratés sur les serveurs de l’EMA (agence européenne du médicament, une agence aux conflits d’intérêts majeurs...), retrouvés sur le dark web, et le torchon, en guise de sources externes, nous en présente seulement deux (le libellé des deux liens est souligné dans l’article) : un communiqué de l’EMA se plaignant du piratage ainsi qu’un article du Wall Street Journal... Je n’appelle pas ça une source scientifique, encore moins une source crédible, mais ça pourra intéresser des investigateurs motivés. Merci pour ça.

       
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