Nous avons tous entendu parler de cette affaire, impossible d’y échapper. Officiellement, un jeune juif prénommé Rudy, « timide, frêle et réservé » a été sauvagement agressé par une bande de jeunes noirs ou de jeunes « musulmans » avec un motif simple, la haine des juifs, l’antisémitisme.
Tous les médias, peu échaudés par quelques mésaventures récentes - comme l’incendie de l’école de Gagny qui s’est révélé être une escroquerie à l’assurance ou encore la fameuse affaire du RER D et sa célèbre mythomane - s’y sont mis.
L’antisémitisme des banlieues, afro-maghrébin ou musulman, est devenu la nouvelle marotte du système.
Or il se touve qu’à ER, nous disposons de sources sures qui nous ont informé sur la réelle nature de ce fait divers, et notamment sur la personnalité de la jeune « victime ».
Si « Rudy » est connu des services de police, ce n’est pas seulement pour son activisme pro-israélien comme l’ont indiqué les médias.
Ce jeune homme, très instable et agressif, ouvertement raciste, notamment à l’égard des noirs, a déjà été condamné en justice pour agression à main armée. Mieux, il devait passer la semaine prochaîne en appel d’une condamnation en première instance, pour l’agression d’un jeune noir violenté à coups de casque et tombé à l’époque dans le coma.
Pour ces faits, Rudy a été condamné en première instance à un an de prison avec sursis. La famille de la victime, qui avait jugé la sanction insuffisante, s’était pourvue en appel.
D’après nos informations, il n’était pas dans le coma mais dans un coma artificiel, autrement dit endormi, afin de faciliter les soins comme c’est souvent le cas en réanimation.
Il ne portait pas, contrairement là encore aux allégations de la presse, de Kippa. Il a eu sur place, à l’hôpital, une attitude extrêmement agressive et menaçante.
Il semblerait que cette agression soit en réalité le résultat d’une rixe entre bandes concurrentes, l’une composée de racailles, l’autre de jeunes juifs radicaux, pour une sombre affaire de scooter.
Les violences communautaires juives ne sont pas rares, sans parler de celles des racailles, qui dépouillent et agressent en toute impunité dans notre pays, notamment dans les banlieues, où elles terrorisent les honnêtes gens, d’origine étrangère ou non.
On peut se demander pourquoi les victimes habituelles de genre de groupes n’inspirent pas autant les médias, peu empressés de se mobiliser pour les agressions quotidiennes dont sont victimes les français. On peut se demander également pourquoi un tel charivari dès que la victime est juive, alors même qu’on ne compte plus les escroqueries et les pantalonnades dans ce domaine.
Il fut un temps ou l’accusation d’antisémitisme était dirigée contre les Français de souche, les catholiques ou les nationalistes en particulier. Qui ne se souvient de la lamentable affaire de Carpentras, et de la répugnante instrumentalisation d’un sordide mais hélas banal fait divers.
Il semble qu’aujourd’hui ce soit les « noirs » et les « arabes », ou plus exactement les musulmans, qui soient dans le collimateur des lobbies, relayés par un Etat complice. Les déclarations de Sarkozy, décrétant le caractère antisémite de l’agression, depuis Israel où il a prononcé un discours honteux d’allégeance devant la Knesset, sont à cet égard significatives.
On ne peut s’empêcher de faire le lien avec quelques affaires récentes qui ont servi de prétexte à une diabolisation de l’Islam, qui aurait été impensable il y a seulement dix ans. Ainsi du mariage annulé de Lille - banale annulation pour tromperie en totale conformité avec la jurisprudence française comme le rappelait récemment Anne Marie Le Pourhiet - qui a vu tout le système monter au créneau contre « l’islamisme », certains politiciens allant même jusqu’à parler d’une justice qui serait « à l’heure de la Charia » ( !) ; ou encore celle du « tournoi intermosquée », ignominieusement réservé aux femmes, comme si ce n’était pas aussi le cas des boites lesbiennes ou de divers cercles féminins…
Cette soudaine accentuation de la propagande anti-musulmane, assortie de manipulations sur une prétendue et sempiternelle résurgence de l’antisémitisme a de quoi inquiéter : on voudrait préparer l’opinion à une guerre contre un pays musulman à laquelle la France serait cette fois-ci associée, guerre dans laquelle Israel serait impliqué, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
De ce point de vue, les diatribes anti-iraniennes de Sarkozy à la Knesset ne sont pas faites pour nous rassurer.
Égalité & Réconciliation, le 25 juin 2008
Tous les médias, peu échaudés par quelques mésaventures récentes - comme l’incendie de l’école de Gagny qui s’est révélé être une escroquerie à l’assurance ou encore la fameuse affaire du RER D et sa célèbre mythomane - s’y sont mis.
L’antisémitisme des banlieues, afro-maghrébin ou musulman, est devenu la nouvelle marotte du système.
Or il se touve qu’à ER, nous disposons de sources sures qui nous ont informé sur la réelle nature de ce fait divers, et notamment sur la personnalité de la jeune « victime ».
Si « Rudy » est connu des services de police, ce n’est pas seulement pour son activisme pro-israélien comme l’ont indiqué les médias.
Ce jeune homme, très instable et agressif, ouvertement raciste, notamment à l’égard des noirs, a déjà été condamné en justice pour agression à main armée. Mieux, il devait passer la semaine prochaîne en appel d’une condamnation en première instance, pour l’agression d’un jeune noir violenté à coups de casque et tombé à l’époque dans le coma.
Pour ces faits, Rudy a été condamné en première instance à un an de prison avec sursis. La famille de la victime, qui avait jugé la sanction insuffisante, s’était pourvue en appel.
D’après nos informations, il n’était pas dans le coma mais dans un coma artificiel, autrement dit endormi, afin de faciliter les soins comme c’est souvent le cas en réanimation.
Il ne portait pas, contrairement là encore aux allégations de la presse, de Kippa. Il a eu sur place, à l’hôpital, une attitude extrêmement agressive et menaçante.
Il semblerait que cette agression soit en réalité le résultat d’une rixe entre bandes concurrentes, l’une composée de racailles, l’autre de jeunes juifs radicaux, pour une sombre affaire de scooter.
Les violences communautaires juives ne sont pas rares, sans parler de celles des racailles, qui dépouillent et agressent en toute impunité dans notre pays, notamment dans les banlieues, où elles terrorisent les honnêtes gens, d’origine étrangère ou non.
On peut se demander pourquoi les victimes habituelles de genre de groupes n’inspirent pas autant les médias, peu empressés de se mobiliser pour les agressions quotidiennes dont sont victimes les français. On peut se demander également pourquoi un tel charivari dès que la victime est juive, alors même qu’on ne compte plus les escroqueries et les pantalonnades dans ce domaine.
Il fut un temps ou l’accusation d’antisémitisme était dirigée contre les Français de souche, les catholiques ou les nationalistes en particulier. Qui ne se souvient de la lamentable affaire de Carpentras, et de la répugnante instrumentalisation d’un sordide mais hélas banal fait divers.
Il semble qu’aujourd’hui ce soit les « noirs » et les « arabes », ou plus exactement les musulmans, qui soient dans le collimateur des lobbies, relayés par un Etat complice. Les déclarations de Sarkozy, décrétant le caractère antisémite de l’agression, depuis Israel où il a prononcé un discours honteux d’allégeance devant la Knesset, sont à cet égard significatives.
On ne peut s’empêcher de faire le lien avec quelques affaires récentes qui ont servi de prétexte à une diabolisation de l’Islam, qui aurait été impensable il y a seulement dix ans. Ainsi du mariage annulé de Lille - banale annulation pour tromperie en totale conformité avec la jurisprudence française comme le rappelait récemment Anne Marie Le Pourhiet - qui a vu tout le système monter au créneau contre « l’islamisme », certains politiciens allant même jusqu’à parler d’une justice qui serait « à l’heure de la Charia » ( !) ; ou encore celle du « tournoi intermosquée », ignominieusement réservé aux femmes, comme si ce n’était pas aussi le cas des boites lesbiennes ou de divers cercles féminins…
Cette soudaine accentuation de la propagande anti-musulmane, assortie de manipulations sur une prétendue et sempiternelle résurgence de l’antisémitisme a de quoi inquiéter : on voudrait préparer l’opinion à une guerre contre un pays musulman à laquelle la France serait cette fois-ci associée, guerre dans laquelle Israel serait impliqué, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
De ce point de vue, les diatribes anti-iraniennes de Sarkozy à la Knesset ne sont pas faites pour nous rassurer.
Égalité & Réconciliation, le 25 juin 2008