Il y a une question induite par la question du titre : est-ce que ce ne seraient pas plutôt les bêtes qui ont peur d’être exploitées ou abattues qui se révoltent, et c’est cela que les vétérinaires autoproclamés appelleraient la maladie de l’antisémitisme ? Et qui les condamnerait, pas naturellement comme une maladie mortelle le ferait, mais techniquement, par une injection, comme le Rivotril en 2020 dans les Ehpad ?

La vache française non conforme est déclarée folle

On le sait, le Français est une bonne grosse vache à lait, mais parfois il renâcle à donner son lait pour rien ou presque, le lait tourne légèrement, il vire à l’aigre, le Français donne moins de lait, même il le cache, alors on dit que la bête est malade, on dit qu’elle a le virus de l’antisémitisme spongiforme, et on l’abat, et tout le troupeau avec, dans une optique de sauver le troupeau des troupeaux, c’est-à-dire toute la population à traire.

On appelle ça le principe de précaution car l’antisémitisme spongiforme, ça peut vous renverser tout un système, imaginez que les vaches ruent dans les brancards, encornent les véto-piqueurs. Les gens savants disent prophylaxie, mais le mot est compliqué, avec plein de h, de x et de y, on dirait du russe ! On n’est pas au scrabble, le petit peuple vache s’y perd, restons simples : on s’adresse à des veaux, comme disait l’autre.

On le sait, le petit éleveur français est un caillou dans la chaussure de l’UE, qui veut du productivisme, de l’élevage intensif, des process agro-industriels. Pour tuer l’éleveur français, il suffit de tuer ses vaches, grâce à un test PCR qui décèle des micro-virus qui sont partout, sur le même modèle que le test PCR sur les humains en 2020-2021, qui a permis d’injecter les trois-quarts de la population pour rien. Sinon pour des thromboses, des AVC et des dépressions, rien que ça.

Sur le Rivotril, on a admiré l’admirable défense de l’euthanasie par le journal collabo 20 Minutes en 2023.

Le 28 mars 2020, un premier décret avait été adopté permettant jusqu’au 15 avril 2020 « la dispensation du Rivotril par les pharmacies d’officine » afin de prendre en charge des patients Covid à domicile ou en EHPAD « atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 » et présentant une dyspnée ou une détresse respiratoire. Il s’agissait de fournir une solution de remplacement au Midazolam, une benzodiazépine, substance qui fait dormir, utilisée sous forme injectable pour soulager les souffrances des patients en fin de vie.

Il y a trois ans, ce décret avait été accusé de « légaliser l’euthanasie en France », ce qui n’était pas le cas, comme nous l’expliquions alors. L’euthanasie reste interdite en France – la dernière loi sur ce sujet, adoptée en 2016, prévoit seulement un « droit à la sédation profonde et continue » pour les personnes dont le pronostic vital est engagé à court terme.

Ah ah ah, il n’y avait pas d’euthanasie officielle en France en 2020, mais un « droit à la sédation profonde et continue », bande de bouffons ! Les patients non soignés souffrent trop ? Hop, droit à la SPEF, la sédation profonde et continue. Il faut oser écrire ça.

Message à tous les journalistes qui ont fait des sujets pavloviens sur Mengele, le médecin nazi : qu’ils pensent à en faire sur les Mengele de chez nous, on en a des paquets.

Heureusement pour leurs bourreaux, les vaches, elles, ne peuvent que meugler. Ça nous rappelle ces Français qui ont crié « ouh ouh » (huer, ou ouher) au passage de leur Président le 14 juillet 2025 sur les Champs-Élysées. Face aux terribles « ouh ouh » des boomers, le Macron, il est tranquille !

En 2019, pendant les Gilets jaunes, c’était une autre paire de manches : les tenants du Système, macronistes et journalistes consanguins confondus, faisaient quand même dans leur froc. On sent une intranquillité chez la journalistes, qui est contente de voir plein de forces de l’ordre contre les inquiétants Gaulois réfractaires...

Qu’elle ne se rassure pas trop vite, la collabo, les Gilets jaunes, ce n’était que le premier acte. Le deuxième sera sociologiquement beaucoup plus dévastateur, puisque la classe moyenne est dans le rouge.

Nous finirons cette étude de cas sur une touche optimiste, qui va dans le sens de la vie, et pas de la mort.