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Pour une bête malade, l’administration fait abattre tout le troupeau

L’UE, qui est la putain des lobbies et des multinationales, qu’elles soient américaines ou européennes, prépare la mort des petites exploitations, celles de la France d’avant. C’est aussi la mort de la viande de qualité, et de process sanitaires plutôt rigoureux, même si, depuis Sarkozy, le politique a tout fait pour limiter le pouvoir des autorités sanitaires dans la filière animale.

 

La destruction des petites exploitations (moins de 100 têtes) d’élevage bovin est en cours. L’UE de la Vendue (Ursula) prépare le terrain pour les importations venues de l’est, avec les grandes exploitations hongroises et roumaines sous régime allemand. Pour le blé et le poulet, c’est réglé : ce sera l’Ukraine (sans le Donbass), bientôt dans l’UE. On ne peut pas concurrencer le travailleur agricole roumain à 240 euros par mois.

Le choc sera double pour nos agriculteurs. Avec l’UE, on a déjà perdu notre souveraineté politique ; avec l’OTAN, notre souveraineté militaire, et désormais notre souveraineté alimentaire. Tout ça pour un bloc européen qui se soumet aux diktats américains.

 

 

 

Ce ne sera pas la première fois que les Allemands (qui n’apparaissent pas dans ces reportages, très centrés sur les expats français) nous doublent en Europe. On rappelle que c’est Leyen qui dirige l’entité, et que Macron se couche, et devant l’Allemagne et devant l’Amérique.

La crise de l’élevage français est donc avant tout une crise politique programmée. Pour décimer les petits troupeaux, on applique le fameux principe de précaution étiré à l’extrême.

Ça sent l’arnaque au test PCR

 

Comme aux plus beaux temps de la répression covidiste, on déploie des bataillons de gendarmes contre des éleveurs inoffensifs, au cas où ils se rebelleraient.

 

 

Pendant ce temps, la pétition contre la loi Duplomb a dépassé les 2 millions de signatures, ce qui implique (à partir d’un demi-million) une relecture de la chose.

L’industrie française est sacrifiée, même quand elle est compétitive ; au tour de l’agriculture de morfler. Décidément, il y en a qui veulent en finir avec ce satané pays.

 

Qu’ils mangent de la brioche

 






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5 Commentaires

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  • #3551223
    Le 29 juillet à 09:33 par Jeanne O’Secours SARL
    Pour une bête malade, l’administration fait abattre tout le troupeau

    C’est bizarre quand même, aucune de ces vaches étaient allemandes (?)

     

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  • #3551230

    Toutes mes pensées pour nos frères agriculteurs et éleveurs qui vivent l’enfer sur terre, comme les enfants victimes des réseaux pédophiles entretenus pour manipuler les cadres des institutions, les vieux en cours d’extermination par injection et traitements toxiques à long terme etc etc.

    Si on vit pis que l’enfer sur terre c’est bien la preuve que les démons sont à l’œuvre parmi nous, certains à visage découvert et d’autres, la plupart, dans l’ombre à tirer les ficelles.

    Ni oubli, ni pardon, ni pitié pour les Démons.

     

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  • #3551242
    Le 29 juillet à 15:47 par Voir l’avenir
    Pour une bête malade, l’administration fait abattre tout le troupeau

    C’est ce que l’on appelle des travaux pratiques.

    C’est le Great Reset appliqué, processus qui a débuté en 2020.
    "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux"
    "Vous mangerez des insectes à la place de la viande"

    Les agriculteurs vont disparaitre. Tout sera géré par des grosses multinationales. Tout peut être géré par l’informatique et les robots désormais.

    Les champs seront cultivés par des drones (pulvérisation etc) et des tracteurs autonomes.

     

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    • #3551247

      Et quand ce ne sont pas les autorités de "santé pulique" qui forcent l’abattage, ce sont souvent les contraintes économiques inhérente à l’agriculture industrielle qui font en sorte que le fermier doit procéder à l’abbatage pour limiter ses pertes.

      Ainsi, une fois un troupeau malade guérit, toutes les bêtes ayant dépassé l’âge requis par les abattoirs auraient coûté davantage en nouriture, et celles qui auraient grossies au point de dépasser le gabarit seront refusées par les abattoirs, dont l’équipement est taillé sur mesure pour des bêtes de la même dimension.

      Tout ceci donne lieu à un scandaleux gaspillage de nourriture dont on ne plaint pas beaucoup "à gauche", où est obsédé par la vaccination animale, vue comme une façon de préparer le terrain administratif et politique à davantage de vaccinaiton humaine.