C’est au détour d’un tweet étrange qu’on a découvert la stratégie médiatique de Sarah Saldmann, plus jewish que princesse : après le baiser avec Luc Besson, la manip aux dépens de Nabilla. Entre elles, les femmes sont sans pitié.
Cette personne est venue dans ma loge pour me demander une photo , par gentillesse, j’ai évidemment accepté je ne la connais en aucun cas . Merci https://t.co/ljmTgCVztS
— Nabilla Vergara (@Nabilla) February 27, 2025
Il y a heureusement un Saldmann plus sérieux, c’est monsieur jeûne séquentiel. Moins de sucre, moins de sel, moins de bouffe molle, plus de mastication, moins de repas, moins de fausse faim, plus d’eau, c’est le secret pour redevenir maître de son alimentation. Et cela n’a rien à voir avec un régime.
« Moins on cuit, mieux on se porte quand on prend des pâtes, les Italiens ont tout pigé. (...) On ne se laisse pas avoir par le sucre et le sel qui masquent des produits médiocres. »
Le jeûne est un mode de vie, un choix de liberté. Voilà pour la parenthèse intéressante.
Revenons sur la mauvaise Saldmann, la fausse princesse, qui a un alter ego dans le milieu : Magali Berdah.
Elle ne joue pas à la jewish princesse, car elle n’est ni jewish ni princesse, et qu’elle a eu beaucoup de soucis avec ses influenceurs, ceux que Booba a renommés les influvoleurs. Et voilà qu’on retrouve notre Magali dans le milieu politique, en tant que conseillère, consultante, thinktankeuse, presque journaliste...
Elle avait conseillé Brigitte Macron avec son « expertise numérique » en 2022. Le résultat, c’est un buzz international, mais pas celui qui avait été espéré...
Ici, elle s’intéresse à Julien Odoul, le puissant bodybuilder du RNI, le Rassemblement national israélien. Tiens, on dirait le bureau d’Estrosi à Nice.
- Oh, un petit drapeau français sous le grand drapeau israélien !
Voilà, quand la télé-réalité rencontre le monde politique et se met à son niveau, ou alors c’est l’inverse...