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Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

 

Revoir l’analyse d’Alain Soral sur l’extension de la logique du marché à la procréation (extrait de l’entretien d’octobre 2012) :

 

 






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25 Commentaires

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  • #973883
    Le 21 septembre 2014 à 17:39 par Maxence
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    C’est la MISERE qui pousse ces filles a se prostituer et a devenir des mères porteuses, en Thaïlande et au Nigéria . 7000 euros pour une Thai, c’est beaucoup sachant que le salaire moyen y est de 2200 euros par an . C’est comme si on offrait à une française 90 000 euros .

     

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    • #975600
      Le Septembre 2014 à 12:26 par henri
      Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

      C’est typiquement le résonnement hors de la réalité
      c’est pas la quantité d’argent qui est important mai sont pouvoir local

      le truc c’est qu’avec 200 euro soit 8 000 B/ mois (tout le monde les a pas )
      on vie bien mieux qu’en France avec le smig soit 1100 euro (44 000 B)
      un Studio à Chiang Mai, la grand ville du nord se négocie moins de 50 euro par mois, et on mange au restaurent pour moins de 1 euro ...
      les thaï dispose d’une sécurité sociale pour la plus part, pour les autre (moi compris)
      les hôpitaux c’est le même principe ; une consultation médical coûte 0.5 euro ... les médicament sont des générique fabriquer par le pays et coûte quelques euro la prescription
      un cardiogramme 5 euro
      une petite opérations 200 euro (impindicite etc)

      Il y a le plaine emploie dans le pays
      et dans les grande ville on trouve facilement un travaille ( en 30 minutes de recherche)

      C’est pronvince sont relativement riche, ne pas oublier que la Thailande et 10 a 20 fois plus riche que ces voisin
      et pourtant la vie et 2x moins chère en Thaïlande qu’au Laos ou en Birmanie

      Je n’ai jamais vu un pays autant développer ou la vie était aussi peut chère !

      De nombreux Français travaille à Bangkok pour un salaire de 500-600 euro par mois et vivent vraiment mieux qu’en france

       
  • #973906
    Le 21 septembre 2014 à 18:08 par toto
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    elle est belle et intelligente cette Claire de la Hougue.

     

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  • #973909
    Le 21 septembre 2014 à 18:08 par david
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    La khmer rose de Najat qui n’a jamais travaillé (et qui adore l’Entreprise) et qui est passé d’obscure élue directement au gouvernement ministre en mouille sa culotte tout les jours.

     

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  • #974057
    Le 21 septembre 2014 à 20:32 par guillaume
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    Que ça fait du bien d’entendre ce discours : on ne possède pas une vie humaine comme un bien marchand ! Cette femme démonte parfaitement la logique capitaliste qui fausse les rapports de filiation et sape la dignité humaine.

     

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  • #974146
    Le 21 septembre 2014 à 21:52 par la_marmotte
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    C’est le cyclope des carpates qui va être content. Plus besoin de se déplacer en thailande pour faire du tourisme ... désormais on peut passer commande via DHL ...

    Perso je me sens de plus en plus complice de ce systeme à force de regarder et ne rien faire.
    Un coup à vous faire peter un câble. ^^

     

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  • #974307
    Le 22 septembre 2014 à 04:48 par chaton
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    Respect pour cette dame qui ose proférer cette évidence, à savoir que la GPA ’’ressemble beaucoup en pratique’’ à la vente d’enfant.

    La GPA , C’EST de la vente d’enfant.

    Le journaliste à la fin est savoureux : ’’On a compris que dans la GPA il peut y avoir des dérives. Le mieux n’est-il pas de la légaliser pour les contourner ?’’

    On aura compris que , dans la théorie, le meilleur moyen de contourner un crime ou une action immorale quel qu’elle soit, est de légaliser. Quel talent !

    Marx avait raison de voir dans le spectacle de la marchandise d’un système capitaliste poussé au bout de sa logique que tout ce qui est vrai (la GPA dans les faits) devient faux (niée comme commerce) et tout ce qui est faux (immoralité de la GPA) devient vrai (la légaliser pour la valider).

    Décidément, notre époque est propice à la respiritualisation des consciences.

     

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  • #974415
    Le 22 septembre 2014 à 11:11 par julot
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    J’ajoute ma pierre à l’édifice des commentaires aux arguments qui mettent le doigt sur le nœud du problème que pose la GPA sur un plan juridique, éthique, spirituel et morale.
    Les commentaires de cette doctoresse en droit sont limpides quand on a fait l’effort de comprendre que la pratique de la GPA remet en cause le concept introduit dans le CIDE (convention relative au droit de l’enfant) de "l’intérêt supérieur de l’enfant". Avec ce concept, comme le souligne Claire De La Hougue en parlant de marchandisation des naissances, les Nations Unies ont consacré l’enfant comme « sujet de droit » quand celui-ci n’était, avant, que « objet de droit ». D’un point de vue du droit internationale et cela se vérifie dans la pratique comment peut on penser qu’un enfant est encore considéré comme « sujet de droit » lorsque l’on fait commerce de celui-ci. Ici on emploi le terme de "ferme à bébés", ce qui est on ne peut plus clair il me semble.
    Le droit français ne prend pas exclusivement en compte les liens du sang quand il dresse un cadre juridique clair de la filiation qui en comprend trois : la filiation légitime, la filiation naturelle et la filiation adoptive. Je crois même que les les deux premières sont maintenant unifiées.
    Mais avec la GPA où commence et où s’arrête la filiation de l’enfant dans l’état actuel des textes (en France du moins) en matière d’autorité parentale. Textes qui ne couvrent pas selon moi les multiples cas de figure qui opposeraient des parents de droit (couples homos ou hétéros...) aux géniteurs naturel(les) (don de sperme, ovocyte, mère porteuse). Dans un tel imbroglio juridique comment peut on encore invoquer "l’intérêt supérieur de l’enfant" lorsqu’on le transforme en marchandise pour satisfaire une clientèle de plus en plus hétéroclite ?
    Surtout quand dans le même temps il est établi que "l’intérêt supérieur de l’enfant" prend toute sa mesure lorsque les études pédiatrique montrent l’importance du socle parentale père mère dans le développement de l’enfant quel que soit son orientation sexuelles futur.
    Il n’y a qu’à constater les difficultés qu’engendrent les divorces, adoption dans le développement des nouvelles générations.
    Malheureusement un nouveau marché est né et c’est là dessus que l’on doit construire la civilisation de demain en balançant à la poubelle la morale, l’éthique, la spiritualité, le bon sens, au détriment des enfants qui eux pour le coup n’ont vraiment pas le choix.

     

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  • #974439
    Le 22 septembre 2014 à 11:46 par mikoa
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    La novlangue fait son oeuvre !

    mère-porteuse ? est-ce que l’on peut qualifier de "mère" une femme qui accepte (contre rémunération) d’être inséminée et de "produire" un enfant qu’elle abandonne à la naissance ??

    Le terme devrait être de "porteuse d’enfants" voir de "productrice d’enfants" (oui la réalité est cruelle)

    Gestation pour autrui ? ça résonne comme le mariage "pour tous" ... "pour autrui" ramène à une sorte de don et d’oeuvre généreuse envers son prochain ... comme c’est sympathique !

    Le terme devrait être "Gestation contre rémunération" ... car c’est juste du commerce.

     

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  • #974512
    Le 22 septembre 2014 à 13:36 par goydrake
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    La morale ne fait visiblement pas partie du cursus d’apprentissage du journalisme. Incroyable comment ces "journalistes" semblent défendre ces pratiques odieuses.
    Par ailleurs, un reportage sur France info diffusé hier parlait d’une crèche en France où l’on habituait les nourrissons aux langues étrangères par l’intermédiaire de personnels étrangers.Les parents semblent ravis d’une telle initiative. L’argument posé était que l’apprentissage d’une langue se fait jeune, sans considérer l’éventuelle destruction de l’identité de l’enfant.
    le monde d’huxley se rapproche.

     

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  • #974807
    Le 22 septembre 2014 à 20:09 par Mémoire vive
    Thaïlande : le business très lucratif des mères porteuses

    Pour de tous autres raisons que l’adoption tarifé d’enfants orphelins, dans les années 80, en Thaîlande (ou aux Philippines peut-être), un business terrifiant entre ce pays et l’armée des USA consistait , pour une poignée de dollars, à obtenir de pauvres femmes de conditions très modestes, enceintes de neuf mois (pas moins) , à avorter et céder leur fœtus à une organisation criminelle de médecins de la mort en blouse blanche . Lesquels fœtus, empaquetés et congelés comme de vulgaires colis, étaient expédiés par containers frigorifiques via Tokyo par la Japan Airlines vers les USA ,. Destination finale : un laboratoire militaire à Fort Detrick, situé au nord de la ville de Frederick au Maryland .

    Toute cette horreur, dans le cadre des recherches à caractère militaire de guerre bactériologique. Il s’agissait d’ obtenir une arme ethnique de destruction massive des populations asiatiques de race dite "jaune" . Josef Mengelé puissance N !

    Y’a pas photo, les USA sont en état PERMANENT de crimes contre l’humanité.

    Note : lire le livre : " Le fruit de vos entrailles" - Du bébé éprouvette à la guerre bactériologique, le trafic des fœtus /
    Par Rolande Girard, journaliste-écrivain d’investigation.
    Editeur : Paris : éd. Suger , 1985

     

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