On a déjà parlé de snuff movies à plusieurs reprises, aujourd’hui on va faire le point sur la question car nombreux sont ceux qui qualifient encore ces horreurs de « légendes urbaines ». Du coup, on perd beaucoup de temps dans la mise en évidence des réseaux de production, et pendant ce temps-là on continue à massacrer des enfants. Si les réseaux de production sont protégés à ce point, c’est parce que leur business semble arranger tout le monde.
[...] Tout le monde connait le cas Luka Magnotta (Eric Newman de son vrai nom), ce playboy meurtrier canadien qui a filmé la torture et la consommation cannibale d’un autre étudiant. Ce type complètement taré a commencé comme stip teaseur en 2003, puis il s’est prostitué et a tourné dans des films pornos gay à petit budget, puis en 2007 il fréquente la tueuse Karla Homolka (qui vit désormais en Guadeloupe), en 2011 il est à Londres, puis fricote du côté des groupes racialistes blancs, et tue son compagnon chinois tout en filmant les tortures, le démembrement et la séance de cannibalisme qui s’en est suivie. La vidéo a été diffusée sur le site bestgore.com qui existe toujours (mais le meurtre en lui-même n’est pas diffusé sur ce site, mais sur le deep web) [1].
Angleterre
En 2000, un curé Italien, le père Di Noto, qui dirige une association d‘aide aux enfants victimes de pédophilie, parle à la police d’un trafic de pédopornographie. On remonte la piste du trafic.
Très vite, en Angleterre, The Observer a cité des sources du MI5 qui parlaient d’un russe qu’ils avaient arrêté en octobre. Le russe en question, Dimitri Ivanov, travaillait par la mafia de son pays et avait voyagé deux ans aux USA, période durant laquelle il a été impliqué dans de la production de pédopornographie ultra violente, y compris des snuffs. Il ramenait une partie de ce matériel en Angleterre.
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