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Les promos canapé féministes (PCF)

Globalement, et de manière assez grossière, les femmes en âge de faire la chose avec des messieurs (enfin, un monsieur) sont partagées entre deux possibilités : soit user de leurs charmes, qui ne sont pas distribués pareillement à toutes les femmes mais dont le principal consiste en la possession d’un jardin des merveilles, soit obéir au diktat féministe ultra qui rejette toute séduction, assimilée à de la prostitution ou à une soumission au patriarcat, c’est-à-dire au désir des hommes.

 

Chacune fait avec ces deux injonctions, l’une étant viscérale, l’autre culturelle, et bien sûr contradictoires. On ne peut empêcher une femme de séduire : même une moche et méchante sait se faire désirer, en général par un anti-Brad (Pitt), sauf si elle est milliardaire. Ainsi, dans les années 60, se baladait en yacht une richissime Américaine qui se tapait les plus beaux Cubains, car son bateau mouillait, si l’on ose dire, pas loin de l’île rouge maudite. L’histoire ne dit pas si elle s’est tapée Castro, l’homme aux 3 000 maîtresses. C’est peut-être pour ça qu’il n’a pas eu le temps de s’occuper de ses citoyens...

Une citation dit que la femme est le grand dissolvant de l’ambition, un certain Céline a écrit ça. On ne résiste pas à l’envoi d’un extrait de Céline entre les femmes et ses démons...

Erika Irrgang, rencontrée par Céline en 1932 est une étudiante allemande ; Cillie Ambor, gymnaste, est autrichienne, d’origine juive ; Évelyne Pollet, écrivain, est de nationalité belge ; Karen Marie Jensen, danseuse, est danoise ; la danseuse Élizabeth Craig, probablement son seul vrai grand amour, est américaine. Toutes, et les Françaises comprises – la pianiste Lucienne Delforge, la journaliste Élisabeth Porquerol – sont très jeunes quand Céline fait leur connaissance. À l’endroit de chacune, il se comporte en amant et en père très protecteur. Les lettres qu’il leur adresse comptent parmi les plus insolites et les plus émouvantes de la littérature épistolaire amoureuse.
Céline conseille, morigène, fait la leçon, en appelle à son expérience de médecin. À l’une : « Faites du sport », « Pas d’amour sans préservatif, ou alors PAR DERRIÈRE ». Il se force à jouer les cyniques. Les hommes ? « Exploitez-les, c’est tout », « Devenez franchement vicieuse sexuellement ». À une autre, après avoir rappelé le souvenir ému qu’il gardait de ses cuisses, il reproche, au lieu de parler et penser « popo » comme lui, de se complaire dans l’effusion lyrique, de se laisser bercer par les ritournelles du « parlez-moi d’amour ». Dès qu’il sent une certaine poix sentimentale envahir le discours, Céline se cabre. Pudeur de sa part. Ce n’est pas le sexe qui est tabou chez lui mais la roucoulade amoureuse.

Mais ne célinisons pas le sujet : on va parler des femmes qui ne choisissent pas le tout séduction ou le tout féminisme mais un mélange habile des deux. C’est là où l’on découvre (ou redécouvre) la rouerie des femmes, qui sont capables, en fonction des circonstances, de déplacer le curseur selon leur seul intérêt. Rouerie ou stratégie de survie, intelligence comportementale, au choix.

Attaque-défense

On a tous en tête l’exemple de la jolie féministe (de gauche) qui méprise le petit comptable (de droite) qui la reluque amoureusement du bureau d’en face, elle craquant pour le commercial qui, imagine-t-elle, va la forcer sur son propre bureau ou la coller face au mur des chiottes. C’est un classique qui fait bailler. On se retrouve concrètement avec des femmes qui utilisent leur séduction naturelle à leur avantage, et qui savent aussi utiliser le féminisme, c’est-à-dire une protection contre toute pénétration (dans leur espace), quand il le faut.

C’est ainsi qu’une bonne poignée de salopes dans des partis politiques sont capables d’incarner la tendance féministe, la défense des pauvres femmes, tout en couchant utile. Elles alternent attaque et défense, l’utile et l’agréable ! On tient deux noms connus au PS – et à très haut niveau –, une blonde et une brune qui ont fait carrière, et une autre très tara-bustée chez LFI.

En général, une fois virée par le sultan, c’est-à-dire éjectée du harem ou remplacée par une plus vicieuse – au sens célinien –, elle utilise son joker féministe pour ruer dans les brancards et réclamer son dû, en argent ou en pouvoir, sinon en nuisance (et plus en nuisette). C’est de bonne guerre, la femme s’arrangeant toujours avec sa morale, qui est élastique, comme le reste.

On ne dit plus promo canapé mais « échange économico-sexuel »

Ce mâle bêta nous explique que « c’est un concept qui vient du matérialisme historique et qui est utilisé en sciences sociales ». Ce vocabulaire neuf permet d’éviter de dire des gros mots ou de fâcher les chiennes de garde, dont la place est à la cuisine dans la niche.

 

 

L’homme en face de ces démones est donc pris dans un jeu de forces contraires : l’une attractive, le pouvoir de séduction de la femme, l’autre répulsive, la défense sur une base féministe. Le sachant, les hommes qui ont envie d’une relation avec une démone ne doivent pas se lamenter, à la manière brutale des incels (les célibataires involontaires) qui ressentent le besoin de se venger, mais apprendre à jouer avec ces deux atouts féminins, qui peuvent se transformer en faiblesses. Cependant, attention : même après la chose, une femme n’est jamais acquise.

 

 

Alors, dites voir comment exploiter les deux atouts des femmes, vous qui êtes si malins ? Déjà, le rapport H/F ressemble à un combat de boxe. On est tous d’accord qu’il faut mettre la femme KO, en quelque sorte, c’est-à-dire allongée et à moitié inconsciente. C’est la perpétuation de l’espèce qui veut ça, pas nous. Enfin si mais bon. Pour cela, elle dispose d’une garde – sa défense féministe – et d’une force de frappe – son attraction sexuelle.

L’homme doit attendre qu’elle baisse sa garde pour frapper où il faut, dans le besoin de séduction de son adversaire, c’est-à-dire quand elle baisse son niveau de féminisme pour plaire. Soit mettre le pied dans la porte, mais sans la défoncer (la porte), juste le pied, et tenir l’ouverture. Si elle s’y fait, à un moment donné, en élargissant l’ouverture à petits pas de côté, oui, exactement comme un VRP qui vend des aspirateurs à des épouses qui s’ennuient, le besoin de plaire va dépasser la peur, et le féminisme décroître.

C’est évidemment tout en subtilité, il ne faut pas lâcher l’affaire mais ne pas aller trop vite. Sinon, à la moindre erreur, elle peut recouvrer ses esprits et commettre l’irréparable, qui vous obligera à tout recommencer : elle qui sait allumer votre feu peut aussi vous balancer le seau d’eau froide dessus.

 

 

Là, c’est sûr, on va se faire défoncer en coms. On attend donc avec fatalité le lancer de parpaings (si elles arrivent à les soulever) et on va probablement devoir s’expliquer devant notre reine qui va lire cette horreur masculiniste et nous demander des comptes.

 

L’allumeuse féministe ou la double injonction

 






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43 Commentaires

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  • #3532044
    Le 17 mai à 10:25 par Decul
    Les promos canapé féministes (PCF)

    La richissime yachtwomen américaine qui caboputinait le long des côtes cubaines était certainement une révolutionnaire parce qu’apparemment elle pouvait faire tomber le régime à elle seule !

     

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  • #3532068
    Le 17 mai à 12:22 par François
    Les promos canapé féministes (PCF)

    Hélas la femme n’aime pas, ni leur mari, ni leur amant, ni le sexe, ni l’absence de sexe, ni le romantisme, ni la brutalité, ni la science, ni la poésie. Le manque d’amour ne vient pas d’une exigence en l’occurrence, c’est l’exigence qui vient du manque d’amour. La nymphomane est une frigide comme les autres qui se donne plus de moyens pour le faire oublier. La femme a des moyens mais pas de fin.

    On peut la changer à condition d’être non seulement un homme mais aussi son maître, d’avoir avec soi pas seulement Dieu et la morale mais aussi l’opinion publique et l’état. En 2024 ça n’est donc plus possible, de toute façon il n’y a plus tellement d’hommes au delà des apparences.

     

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    • #3532225
      Le 18 mai à 03:34 par auguste dupin
      Les promos canapé féministes (PCF)

      C’est aussi mon opinion..totalement inaudible !
      Fruit d’une longue dissection du genre par défaut (réf au tractus féminin passif , en contexte embryologique), à priori non parasitée par un quelconque parti-pris (puceau d’un demi-siècle travaillé par la seule question de la procréation, seule appétence et injonction biologique réelle), l’idée d’un coït non objectivé par une visée reproductrice m’écoeurant à peu près autant qu’une crise de foie.
      Effectivement l’arracher à sa servitude sociale extra-familiale en devenant son dieu reste le seul moyen de la sauver d’elle-même, de son vide psychotique et clairement, l’état liberticide contemporain ne permet plus cette option.

       
    • #3532257
      Le 18 mai à 07:37 par fam-fam
      Les promos canapé féministes (PCF)

      Et puis quoi encore !
      Lisez donc la littérature. L’amour, la guerre, il n’y a que ça.
      Bande de talibans jansénisto-protestants sectaires !
      Les gens qui pensent comme vous évoluent au sein de sociétés de bergers et chevriers où les étendues désertiques renvoient l’écho des bêêêês de l’agneau qu’on égorge.
      C’est sympa un moment.
      Leurs femmes en deviennent laides ou invisibles.
      Certes elles procréent et ne font que ça, avec le ménage. Ce qui alimente leur consversation.
      Oh bravo, quelles compagnes marie-coush-toi-là.
      Forcées de simuler le respectr et l’admiration servile pour leur master bâton.
      Pourquoi vouloir "sauver la femme d’elle-même" ?
      C’est Dieu qui sauve, c’est lui qui crée.
      C’est un discours récurrent de la part de ces gens dominateurs qui nous pourrissent l’existence depuis si longtemps. Ce n’est pas la femme qu’ils veulent sauver d’elle-même, c’est nous tous les Européens, vous inclus messieurs.

       
    • #3532410
      Le 18 mai à 16:54 par François
      Les promos canapé féministes (PCF)

      Pourquoi vouloir "sauver la femme d’elle-même" ?

      Pour ne pas avoir à la dominer, vous parlez des femmes comme si elles étaient des êtres achevées avec lesquelles on pouvait avoir une vie passionnée et paisible. Je reconnais être un taliban janséniste mais c’est bien malgré moi. Face à ma Eve pécheresse, c’est justement pour ne pas à avoir à fuir et à vivre seul en montagne que je suis obligé d’avoir un certain niveau d’orgueil et d’intégrisme. Elle a donné de la pomme à Adam.. mais moi j’ai accepté de descendre pour qu’elle s’élève, alors je crois en mon salut malgré mes péchés.

       
  • #3532092
    Le 17 mai à 14:19 par Nico
    Les promos canapé féministes (PCF)

    La femme qui critique la façon de penser des incels nie completement la réalité.

    Ces gars sont certes dans l’extrême et se font beaucoup de mal, mais
    Globalement ce qu’ils disent est sensé.

    Les femmes sont les reines du jeu et elles sont hypergames pour l’immense majorité d’entre elles, seuls les mecs ayant les meilleurs caracteritiques obtiennent grâce à leurs yeux.
    Aux USA d ou ce mouvement est originaire ; c est encore plus flagrant avec le concept revendiqué de "populars " dans les universités (qui sont souvent les beaux mecs costauds qui jouent dans le club de football ou de base balll de l’école.

    Bien sûr que n’importe quelle femme si elle n’est pas totalement immonde et repoussante trouvera toujours un partenaire sexuel souvent mieux qu’elle partout ou elle en cherchera un.
    Bien sûr qu’un homme "normal" peut passer des années a faire des efforts comme elle dit sans que cela ne paie jamais la ou une femme du même niveau n’aura aucun effort a faire , aucune difficulté et souvent même du choix.

    Le "désespoir" relationnel de la femme lambda est d une tout autre nature.
    Il vient souvent du fait que quand elle vise plus haut que ce qu’elle vaut, elle se retrouve souvent considérée comme un plan cul par l’Alfa qu’elle convoite.

    Mais nême ca c est payant pour les mecs lambda
    Etre le plan cul d’une jolie femme, ca n’existe pas pour un mec moyen ( a leur grand desespoir) mais par contre c’est le drame récurrants des femmes lambdas qui ne savent pas rester a leur place.

     

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  • #3532132
    Le 17 mai à 16:25 par xxc
    Les promos canapé féministes (PCF)

    L’incelle qui parle des incels au monde... Elle se prend pour "toutes les femmes".
    Heureusement elle n’est qu’elle-même.
    Ils ne la haïssent pas, les incels. Ils ne la voient même pas en fait, tant elle se fond dans la grisaille de la ville.
    Une compagne , c’est ce qu’ils voudraient. Mais une quelconque, celle-ci par exemple ? Oh non, non.
    Incelle, c’est son destin. Née pour se consacrer à un métier utile, elle aggrave son cas de Quelconque, inconquise à jamais, à force de tenter d’attirer l’’attention sur sa très quelconque personne.

     

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    • #3532249
      Le 18 mai à 07:04 par Gege
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      L’incel a eu des parents radins qui ne lui donnaient pas un rond d’argent de poche, ce qui l’empêchait de sortir une meuf .

       
  • #3532161
    Le 17 mai à 18:51 par PL
    Les promos canapé féministes (PCF)

    L’argument du sociologue féminste Le_Fou_allié selon lequel les hommes en situation de pouvoir imposeraient au femmes de coucher pour leur donner ce qu’elles méritent (ce qui est un viol, ou une extorsion), ou qu’elles s’y sentiraient forcées pour pouvoir bénéficier de leurs droits (ce qui est aussi un viol), est complètrement démenti par l’exemple des Miss France qui essaient de faire des faveurs sexuelles aux membres du Jury dans les toilettes.

    Miss France est un concours, il y a un jury de plusieurs personnes hommes et femmes, pas seulement des hommes "en situation de pouvoir face à une femme", et il y a 100 candidates pour un seul titre, donc il y a 99 candidates qui n’ont aucun droit à l’obtenir.

    On n’est pas du tout dans une situation de chantage et d’extorsion de faveurs sexuelles par des hommes en situation de pouvoir, mais de tentative de corruption de membres du jury par des candidates, ce que le Code pénal qualifie de corruption active pour ces femmes, et passives si des membres du jury acceptent.

    Cette tentative de corruption en offrant des faveurs sexuelles est exactement la même chose que de glisser une enveloppe de billets à des membres du jury, ou à des examinateurs, ou à des douaniers, ou à un expert, ou à un agent administratif, ou à un juge, ou à un médecin, ou à n’importe quelle personne pour obtenir une chose qui n’est pas due.

    Toutes les promotions sur canapé sont des fraudes, elles font obtenir des postes, des promotions, des augmentations, des récompenses à des personnes qui ne les méritaient pas, et elles en privent ceux ou celles qui les méritaient et qui ne trichent pas.

    Cet espèce de sociologue à la noix s’est certainement fait enculer par les membres du jury pour pouvoir obtenir son master 1 de sociologie et son permis de conduire.

     

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  • #3532165
    Le 17 mai à 19:11 par FREDERIQUE
    Les promos canapé féministes (PCF)

    ".../... On attend donc avec fatalité le lancer de parpaings.../..."

    Hé-bien, au risque de vous surprendre, je peux vous dire que votre article m’a bien fait rire, qu’il n’est pas dénué de fondement - ah-ah-ah - et qu’il mérite que j’y réponde avec aménité comme le mérite une aussi belle plume ...

    Quand on est une vraie Femme, et donc pas de la clique des féministes hystériques les seules que l’on entende - "Diviser pour mieux régner", le mantra des Nuisibles au pouvoir... - on ne lance pas de parpaings : c’est trop lourd et sans gants, ça écorche nos jolies mains que l’on préfère réserver pour d’autres choses nettement plus efficaces... - et l’on vous écoute parler de vous, parce que ça, tous les hommes adorent, et quand on les aime on le sait bien ! ;-)))

     

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    • #3532216
      Le 18 mai à 01:09 par nita
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      Une vraie femme, c’est pas une potiche de salon.

       
    • #3532419
      Le 18 mai à 17:11 par FREDERIQUE
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      @ nita

      Une VRAIE femme, c’est un être XX
      - qui se sait être un élément humain complémentaire d’un élément humain XY,
      - qui pense que la plus belle chose qu’elle puisse faire, c’est mettre des enfants au monde,
      - qui est suffisamment équilibrée dans sa tête et dans son corps pour ne pas avoir besoin d’entrer en compétition avec les hommes, dans le but de se donner l’impression d’exister, ou parce qu’elle les déteste et se déteste en tant que """femme""" ! ;-)

      Les féministes hystériques d’aujourd’hui font partie des idiots utiles du Système poussant aux luttes transversales, et ne servent strictement à rien, si ce n’est à dresser une moitié de l’humanité contre l’autre moitié au bénéfice exclusif de cloportes à la Sorros qui les manipulent vicieusement : de pauvres dindes mal dans leur peau de... dinde...

       
    • #3532543
      Le 19 mai à 06:49 par Gopfdami
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      Les vraies Femmes ne luttent pas contre les hommes, elles luttent contre les femmes. Et rien ne sert de se prendre la tête avec une femme alors qu’il suffit d’attendre qu’elle change d’avis. Et ne soyons pas méchants avec elles car le temps s’en charge très bien !

       
  • #3532253
    Le 18 mai à 07:16 par Beebop
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    ""Le 17 mai à 10:21 par Le grand ménage
    Les promos canapé féministes (PCF)
    Faut arrêter avec cette tarte à la crème selon laquelle les femmes qui ’’aiment les hommes’’ ne seraient pas féministes.
    C’est absolument n’importe quoi, c’est juste une grosse dose de copium, 99,9% des femmes sont féministes en occident hein, les cageots comme les princesses, leur féminisme n’a simplement pas exactement la même forme.""

    Heu, tu ne dois pas en croiser beaucoup, des femmes ! Les bien bien féminines existent aussi et j’en suis , je suis anti féministe viscérale et c’est peu de le dire ... Je ne suis ni cageot, ni princesse !

     

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    • #3532335
      Le 18 mai à 12:24 par nita
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      Moi non plus ni cageot ni princesse, heureuse d’être une femme, on m’a dit que j’étais une vraie poupée, j’ai tiré un peu la gueule, même dans les champs, on arrive encore à me trouver féminine, le mec ne devait pas avoir ses lunettes ou il m’a prise pour une cruche, je pense plutôt que j’étais la cruche de service, mais bon il est sympa et j’avoue que finir seule avec mon chien c’est un choix longuement médité et que j’assume très bien

       
  • #3532280
    Le 18 mai à 08:50 par MAD MAX
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    @nita, les femmes sont vénales, " ce ne sont pas les femmes qui manquent mais l’argent" citation du grand Michel Galabru, elles sont attirées par l’argent et aussi par la situation de l’homme, bonne profession, comme officier de police, chirurgien, procureur, et il faut réécouter, la magnifique chanson du grand Jacques Brel, qui date de 1977, déjà, " les remparts de Varsovie", et la chère sophie binet, pourtant de la cgt, est mariée à un officier de marine, pas folle la guêpe.

     

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    • #3532332
      Le 18 mai à 12:10 par nita
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      Les femmes que je côtoie actuellement sont plutôt chef d’entreprise et elles se projettent dans l’avenir, je dirai presque plus que les hommes, beaucoup pour laisser quelques choses à leurs enfants, c’est assez impressionnant, beaucoup on déjà d’autres projets alors que les hommes s’accrochent plus à leur terre
      Je navigue dans d’autres milieux où même si la femme est vénale elle participe, soutien et à un rôle non négligeable

       
    • #3532362
      Le 18 mai à 14:09 par nita
      Les promos canapé féministes (PCF)

      Après de manière générale vous avez sans doute raison, une copine avocate me disait que beaucoup de femmes ne divorcent pas pour ne pas perdre leur statut social et financier.
      J’ai fait d’autres choix dans ma vie, j’ai eu le tord de croire que l’amour était l’essentiel et que sans amour une relation ne valait pas le coup d’être vécu.
      J’ai été heureuse, je sais où j’ai merdé après j’estime que ma trajectoire est la mienne et j’ai peu de regret.
      J’ai beaucoup bossé avec des mecs et d’une manière générale je me suis bien entendue avec eux, je crois que le respect mutuel était de mise.
      Je ne pense pas que diaboliser la femme soit porteur pour les générations futures, mais peut-être que je me trompe, je trouve ça dommage parce que beaucoup aspire à une vie simple en couple et pour certains ça marche.

       
  • #3532299
    Le 18 mai à 09:46 par ulysse75
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    Seul le spermatozoïde apporte le germe de la différenciation sexuelle. La femme ne propose dans la transaction que le chromosome X propre au féminin. L’homme quant à lui contient le chromosome X et Y. Le caryotype XX défini la femme ; le XY, l’homme.
    Dans son essence biologique, autrement dit « spirituelle », l’homme comprend en lui une composante d’altérité qui fait défaut a la femme.
    Cette altérité ontologique conduit l’homme à reconnaitre en la femme la part de lui-même qu’il cherchera toute sa vie à se réapproprier par un désir parfois quasi-obsessionnel. La femme représente à ses yeux fascinés l’extériorisation de sa fragmentation intérieure dont le seul remède est l’union insécable.
    Pour la femme, l’homme reste toujours pour ainsi dire un « étranger chromosomique », distinct d’elle-même et en quelque sorte inassimilable. C’est ce qui explique sa volonté primordiale de le changer selon des critères propres à son genre et de gommer (tout en les convoitant !) les caractéristiques de la masculinité.

     

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  • #3532350
    Le 18 mai à 13:03 par Pierre Mercoeur
    Les promos canapé féministes (PCF)

    Très juste portrait des Incels... lecteurs de Houellebecq en particulier... sans un rond et moche, ils ne se résoudront jamais à "baiser" une aussi moche qu’eux, voire une plus moche encore. D’où leur colère et haine de la femme, très femme au demeurant.

     

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    • #3532463
      Le 18 mai à 19:39 par Ulysse75
      Les promos canapé féministes (PCF)

      Négliger les moches est une attitude béotienne qui démontre peu de dispositions pour les choses de l’amour ! J’entends par "moche" ce qui touche au visage et non au corps. De même que nous les préférons étroites d’esprit et larges de hanches, la laideur piquante de certaines femmes possède ses charmes pratiques !
      Bien souvent plus dévouées au plaisir de leur partenaire que les belles, il est peu de fantaisie auxquelles elles ne se prêtent pas. Elles démontrent en général une forte capacité d’apprentissage et une fois mises en confiance, leurs initiatives sont rarement malheureuses.
      Pour les âmes sensibles, un peu de pénombre, l’introduction ludique des foulards ainsi qu’une chorégraphie adaptée auront raison des derniers et ridicules scrupules esthétiques.

       
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