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Le contrôle coercitif : le nouveau concept révélateur de la justice macronienne

La justice d’avant Macron n’était déjà pas bien en forme, mais depuis les lois sociétales imposées par la minorité LGBT-féministe à tout le pays, elle est carrément devenue folle. Et ce, dans tous les sens du terme. Principaux visés, les hommes, si possible non-racisés, productifs, solvables, et hétérosexuels. Tout a son importance. Ah, et forcément, naturellement, structurellement, ontologiquement violents.

 

Le procès du rappeur Nekfeu et de son ex est un bel exemple de cette dégringolade morale. On ne connaît pas le fond de l’affaire, personne n’était dans son couple pendant les sept années de sa vie avec son ex. Mais l’irruption du concept de « contrôle coercitif », qui risque de faire des petits, est à marquer d’une pierre noire.

 

 

C’est Aurore Bergé qui a dégoupillé la grenade sur France Inter le 3 janvier 2025, lors du premier féminicide de l’année, fêté comme il se doit par les forces progressistes : normal, c’est un panier à trois points, qui fait avancer et la cause et la répression.

 

 

Le thème de la violence contre les femmes est abordé à la onzième minute dans l’émission entière.

 

« Une femme victime de violences sexuelles, la question n’est pas de savoir le nombre de partenaires qu’elle a eus, la question est de savoir si elle a été victime d’une agression sexuelle ou d’un viol, donc peu importe son passé, peu importe son présent. Ce qui compte c’est l’auteur. »

Pourtant, ce meurtre est rattaché à un adultère, un fait souligné par le procureur. À la quatorzième minute, Aurore, qui refuse de considérer les causes, en vient au fait : sa loi.

« J’ai posé une proposition de loi qui sera examinée en janvier, ce qu’on appelle le contrôle coercitif. Les violences à l’encontre des femmes, c’est pas d’abord des coups. Y a aucune femme qui resterait si dès le premier jour d’une relation, elle se faisait tabasser. Ça se passe pas comme ça, c’est pas vrai. Y a tout le contrôle qu’on met en place, on va contrôler vos comptes, on va contrôler vos sorties, on va contrôler votre téléphone, on va contrôler vos fréquentations, on va vous isoler. »

Tiens, on dirait la méthode de contrôle social du régime macroniste depuis 2020 ! Ça alors ! quelle étrange coïncidence. Cet agent du pouvoir décrit exactement ce que les Français ont vécu pendant les confinements, la chasse aux réfractaires, aux antivax, aux antipass, et on ne parle pas de la répression des Gilets jaunes. Décidément, l’inconscient politique, ça révèle tout. Cette loi censée protéger les femmes de la violence des hommes devrait être étendue à tous ceux, hommes et femmes réunis, qui subissent la violence du Système incarné par Macron.

Les propos de Bergé sont généralement marqués du sceau de l’idiotie ou de l’irrationalité. Ici, ils disent l’impensé macroniste. Le Pervers, lui, a des pensées, des pensées de solidarité pour les Français qui souffrent. Ça ne coûte rien, et ça rapporte même, puisque les services publics sont mis au pain sec et à l’eau par décret royal.

« Solidarité avec les habitants de l’Ouest qui font face à des inondations.
Pensées pour les maires. Je sais leur mobilisation et leur situation. Merci à eux du travail engagé avec leurs équipes et les services de l’État dont je salue l’engagement. »

Ce président solidaire sait heureusement punir ceux qui critiquent le parasitisme du couple royal que le monde nous envie.

 

 

L’affaire Nekfeu vue par Le Monde

Ces imputations sont contestées par Nekfeu, 34 ans. « C’est totalement faux. Mon ex-épouse a de gros problèmes psychologiques, de gestion de la vérité, de la violence et de la frustration. Elle n’accepte pas que nous ayons rompu. Son acharnement à me salir revêt également un aspect financier. » Dans le cadre de la procédure d’appel du divorce, l’avocate de Dina B., Me Fekom, demande 2,39 millions d’euros et 500 000 euros de dommages-intérêts. Des sommes qu’elle justifie par la durée de leur « vie conjugale » et les revenus importants de l’artiste. Pour sa part, Dina B. maintient qu’elle est à l’origine de la rupture et rappelle que son intérêt financier n’était pas de quitter un époux aussi riche – ils se sont mariés sous le régime de la communauté.

Jusqu’à présent, les décisions de justice ont été favorables au rappeur. Depuis 2023, plusieurs procédures ont été classées sans suite car les infractions dénoncées par Dina B. ne pouvaient pas être « suffisamment caractérisées », selon le parquet de Paris. Parmi elles, une enquête portant sur des violences « en présence d’un mineur » et une autre sur un « viol par conjoint ». Devant la justice civile, les éléments produits par Dina B. ont été écartés trois fois par des juges aux affaires familiales car ils manquaient d’un « caractère précis et circonstancié ».

Au pays des borgnes

 






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