Après la Nuit américaine d’E&R qui a dépassé les 300 000 vues, voici la suite palpitante (nous restons en continu, même la nuit) du bras de fer entre le camp démocrate et le camp républicain, ou plutôt entre le camp Biden et le camp Trump, car tous les républicains ne sont pas trumpistes. C’est une des originalités de cette élection dont tous les sondeurs et journalistes, une fois encore, des deux côtés de l’Atlantique, nous prédisaient qu’elle était jouée, que Trump ne réussirait pas un second hold-up.
Or, la victoire de Trump en 2016 n’était pas un hold-up, on le verra dans notre développement sociologique du vote, et sa victoire autoproclamée – et contestée par le camp Biden – en 2020 non plus. Pour l’instant, on le sait tous, Biden mènerait officieusement par 290 GE (grands électeurs) à 214. Si l’on en croit le dépouillement officiel.
Oui mais voilà, les cas de fraude démocrate de dernière minute remontent de partout comme des égouts qui débordent et Trump, qui a conservé la majorité au Sénat, peut éventuellement compter sur la Cour suprême en cas d’arbitrage décisif. Le deuxième round est lancé, les coups vont être de plus en plus lourds !
22h00 - Lorsqu’un journaliste demande à Mike Pompeo, secrétaire d’État des États-Unis, comment se passera la transition avec l’équipe Biden, celui-ci répond « il va y avoir une très douce transition avec la seconde administration Trump ».
#BREAKING : Secretary of State Mike Pompeo says, "There will be a smooth transition to a second Trump administration." pic.twitter.com/7PPAwHFNCX
— The Hill (@thehill) November 10, 2020
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20h00 - Il est très difficile de faire le tri dans les très nombreuses informations relatives aux fraudes qui inondent le Net, en particulier ces nombreuses vidéos montrant d’innombrables irrégularités. Depuis ce lundi 9 novembre, les équipes juridiques de Donald Trump ont justement initié de nombreux recours afin de prouver cette fraude.
Dans la vidéo suivante, par exemple, il semble que le scrutateur ait une vision particulière du tri entre les bulletins de vote.
Trace the phone, TikTok account, reverse trace the video, come on intelligence do your job & start arresting these people.When in life can you loot,steal, smash bricks through windows & get away with it ? Let alone opening mail & destroying it ?!!!! #LawAndOrder pic.twitter.com/qYc0i3YL6p
— Kaya Jones (@KayaJones) November 10, 2020
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17h30 - Jean Messiha, qui vient de quitter le RN, montre toute la puissance de ses convictions souverainistes dans ce tweet.
Il est temps que la droite Française se débarrasse de personnes aussi peu combattives que @JeanMessiha pic.twitter.com/D7tJbmMs1I
— Comité Trump France (@TrumpFrance) November 10, 2020
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15h00 - Voici le contenu de la lettre du ministre américain de la Justice Bill Barr adressée aux procureurs fédéraux :
« Je vous autorise à enquêter sur des allégations substantielles d’irrégularités concernant les votes ou le comptage de bulletins avant la certification des élections dans vos juridictions, dans certains cas. De telles enquêtes peuvent être menées s’il existe des allégations claires et potentiellement crédibles d’irrégularités qui, si elles étaient avérées, pourraient potentiellement avoir un impact sur le résultat d’une élection fédérale dans un État ».
Le Figaro explique que les enquêtes sont à la charge de chaque État, le ministre de la Justice n’ayant qu’un rôle de proposition : il ne peut pas influer sur ces enquêtes fédérales, et en plus chaque État a sa propre conception de la justice en matière de fraude électorale.
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12h00 - Le ménage se fait en interne : on apprend le limogeage de Mark Esper, chef du Pentagone et probablement homme de main de l’État profond (Esper s’était notamment opposé à Trump lors de l’affaire George Floyd à propos du déploiement de l’armée suite aux manifestations violentes des partisans de Black Lives Matter). C’est Christopher Miller, qui dirigeait jusqu’à présent le Centre national de lutte contre le terrorisme (NCTC), qui prend immédiatement la relève.
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07h00 - Terminons cette partie nocturne du Direct E&R en constatant tout d’abord dans une première vidéo la peur viscérale du Covid par les démocrates, cette peur qui expliquait l’immense nombre de votes par correspondance par des électeurs refusant tout rassemblement et tout contact avec un nombre trop important de personnes :
The north end of Prospect Park has turned into a dance party, and every few minutes screams of joy just roll across the park, like a wave at a baseball game pic.twitter.com/ATifpgfuMg
— Jodi Kantor (@jodikantor) November 7, 2020
Puis, dans une seconde vidéo, constatons tout l’amour et la paix qui transpirent naturellement des supporters progressistes et inclusifs de Joe Biden :
It's funny how they think they're built to survive in the world they're trying to build. pic.twitter.com/V7sBhCZvCO
— PatersonꐕLove✞ (@BLACKLIVESMAGA1) November 10, 2020
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06h30 - Rappelons les chiffres des décomptes et des écarts officiels entre les deux candidats dans les deux Etats restants où Donald Trump est en retard (il mène dans le troisième et dernier : la Caroline du Nord). On comprend dès lors rapidement l’importance de ne compter que les votes "légaux", c’est à dire ceux qui correspondent aux critères de légalité en cours, et non pas les morts, les doublons, triplons, etc.
Arizona (95% dépouillés) :
Joe Biden : 49,4 % (1.648.642)
Donald Trump : 49 % (1.633.896)
Différence : 14.746 voix
Géorgie (99% dépouillés) :
Joe Biden : 49,5% (2.469.118)
Donald Trump : 49,2% (2.456.781)
Différence : 12.337 voix
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06h00 - Eric Trump : "Ils savent que c ’est leur seul chemin pour la victoire"
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04h00 - Parce que ses spectateurs, majoritairement républicains et pro-Trump, n’ont pas apprécié le revirement de la chaîne Fox News, celle-ci a vu ses audiences s’écrouler. Le patron de la chaîne, Rupert Murdoch, n’a jamais été très favorable à Donald Trump, mais les audiences et les revenus importants liés au soutien que la chaîne apportait au Président lui faisait faire quelques concessions. Mais désormais la chaîne semble lâcher Donald Trump. Encore ce lundi 9 novembre, Fox News a interrompu la retransmission en direct de la conférence de presse de la porte-parole de Donald Trump, Kayleigh McEnany.
BREAKING - Fox News ratings crashed on Saturday to record lows behind CNN and MSNBC. Before the election, Fox constantly dominated CNN and MSNBC by more than double in viewership
— Disclose.tv (@disclosetv) November 9, 2020
L’audience de Fox News s’est effondrée samedi pour atteindre un niveau record derrière CNN et MSNBC. Avant l’élection, Fox dominait constamment CNN et MSNBC par plus du double d’audience.
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02h00 - Le procureur général des États-Unis William Barr a autorisé ce lundi le Département de la Justice à se pencher sur les irrégularités de vote lors de l’élection présidentielle de 2020.
Traduction E&R de l’article Breitbart :
Le mémo a été adressé et signé par M. Barr aux procureurs américains, aux assistants des procureurs généraux de la division criminelle du DOJ (Department of Justice), de la division des droits civils, de la division de la sécurité nationale et au directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI), Christopher Wray.
"Maintenant que le vote est terminé, il est impératif que le peuple américain puisse avoir confiance dans le fait que nos élections ont été menées de telle manière que les résultats reflètent fidèlement la volonté des électeurs", peut-on lire dans la note de service.
Le mémo de M. Barr intervient après que 39 républicains de la Chambre des représentants ont fait pression sur M. Barr dans une lettre vendredi pour que les moyens disponibles du ministère de la justice permettent l’examen des allégations d’irrégularités de vote dans tout le pays, et dans plusieurs États clés critiques. La campagne de Donald Trump a intenté un certain nombre de poursuites dans certains de ces États.
M. Barr a déclaré dans sa note que, bien que les États aient la responsabilité première de conduire et de superviser les élections, le DOJ a "l’obligation de veiller à ce que les élections fédérales soient conduites de telle sorte que le peuple américain puisse avoir pleinement confiance dans son processus électoral et son gouvernement".
Il a ajouté que si "la plupart des allégations" de prétendues fraudes électorales sont d’une ampleur qui n’aurait pas d’impact sur le résultat de l’élection et que leur enquête peut être reportée, "ce n’est pas toujours le cas".
Il a déclaré que les inquiétudes concernant les actions prises par le DOJ dans cette affaire sont sans conséquence puisque le vote est terminé.
Il a également déclaré qu’il a déjà autorisé le DOJ à entamer des poursuites concernant des allégations substantielles d’irrégularités dans le vote et dans la totalisation des votes dans certains cas spécifiques.
"Compte tenu de cela, et étant donné que le vote dans les élections actuelles est maintenant terminé, je vous autorise dans certains cas à entamer des poursuites pour irrégularités dans le vote et dans la totalisation des votes, avant la certification des résultats des élections dans vos juridictions, comme je l’ai déjà fait dans certaines situations spécifiques", a-t-il déclaré.
Il a déclaré que des enquêtes et des examens peuvent être menés s’il existe des allégations claires et apparemment crédibles d’irrégularités qui, si elles sont avérées, pourraient potentiellement avoir un impact sur le résultat d’une élection fédérale dans un État spécifique.
"Bien que les procureurs américains conservent leur pouvoir inhérent de mener les enquêtes et les investigations qu’ils jugent appropriées, il sera probablement prudent d’entamer toute affaire liée aux élections sous la forme d’une enquête préliminaire, afin d’évaluer si les preuves disponibles justifient des mesures d’investigation supplémentaires", a-t-il déclaré.
Il a également demandé au DOJ de faire preuve de "beaucoup de prudence et de jugement" et de ne pas lancer d’enquêtes sur des "allégations spécieuses, spéculatives, fantaisistes ou farfelues".
Il a noté que son autorisation d’enquête ne doit pas être considérée comme une indication que le DOJ a conclu que les irrégularités de vote ont eu un impact sur le résultat de l’élection, mais pour consolider la confiance dans le processus de vote.
"J’accorde cette autorité et donne ces conseils pour souligner la nécessité de traiter en temps utile et de manière appropriée les allégations d’irrégularités de vote afin que l’ensemble du peuple américain, quel que soit son candidat ou son parti favori, puisse avoir pleinement confiance dans les résultats de nos élections", a-t-il déclaré.
"Le peuple américain et les dirigeants qu’il élit librement ne méritent rien de moins", a-t-il déclaré.
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00h00 - Le chef de la majorité républicaine au Sénat affirme que Donald Trump est 100% dans son droit quand il recherche toutes les irrégularités possibles dans ces élections. Il rappelle que seuls les bulletins légaux doivent être comptés et pas les bulletins illégaux (votes en double, personnes décédées, faux bulletins, etc.) et que cela doit se faire avec une possibilité d’observation et de surveillance par les 2 côtés.
BREAKING - U.S. Senate Majority Leader McConnell does not acknowledge Biden as President-elect or Harris as Vice President-elect.
McConnell says President Trump is 100% within his rights to look into possible irregularities in last week's U.S. election.pic.twitter.com/qslXGYpgHR
— Disclose.tv (@disclosetv) November 9, 2020
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23h00 - Analyse de la situation post-électorale aux Etats-Unis par François Asselineau.
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21h00 - Emily Murphy, directrice des services généraux de l’administration américaine, interdit pour l’heure que soit organisée la transition entre les équipes Trump et Biden.
Même s’il faut officiellement attendre le vote du collège électoral, qui aura lieu le 14 décembre, il est d’usage que la passation de pouvoir commence de manière anticipée, par une autorisation du directeur des services généraux de l’administration, permettant l’obtention des crédits fédéraux nécessaires pour mettre sur pied la nouvelle administration fédérale.
« Aucun vainqueur n’a été clairement déclaré » ! Emily Murphy inflige une claque magistrale à tous ceux qui croient que le vainqueur d’une élection est désigné par les médias ; à commencer par les médias eux-mêmes. Lesquels se réfugieront derrière l’explication vaguement complotiste qu’elle agit ainsi parce que c’est précisément Donald Trump qui l’a nommée à ce poste.
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17h15 - Deux tweets complémentaires du Comité Trump France :
Nous sommes le 9 novembre, 17h15 heure française, Joe Biden n'a toujours pas démenti la moindre allégation de FRAUDE à son encontre.
— Comité Trump France (@TrumpFrance) November 9, 2020
"Le système électoral a été particulièrement un désastre en Pennsylvanie. Nous avons désormais assez de preuves pour renverser facilement l'élection". @RudyGiuliani pic.twitter.com/6I3SaMwxye
— Comité Trump France (@TrumpFrance) November 9, 2020
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15h00 - Autre rappel utile avec cette vidéo de campagne de Donald Trump datant de 2016.
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08h00 - Rappel utile avec cette vidéo datant du mois de septembre : William Barr, le procureur général des États-Unis depuis fin 2018 (et membre du Parti républicain), dénonce le système de vote par correspondance « qui est très ouvert à la fraude et à la coercition » :
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06h45 - Fidèle à son essence mondialiste antisouverainiste, Le Monde titre avec un sens aigu de la généralisation, cette source de chute pour les journalistes d’opinion et non d’information, sur une « Amérique soulagée » :
Quant au « déni » des supporters du « camp adverse », il vaut largement le déni des journalistes du Monde sur la fraude massive qui a conduit à faire croire au camp démocrate qu’il a remporté ces élections, probablement les plus truquées depuis 1789, date du premier scrutin outre-Atlantique !
Pour le journal des Marchés & des Lobbies, la fraude ne peut pas être démocrate puisque le Parti démocrate, c’est le camp du Bien !
Après le genre désinformateur, passons au genre immonde avec cet article de Libération, le journal en perdition morale et commerciale qui tente l’inversion accusatoire :
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03h00 - Nos lecteurs voudront bien nous excuser pour la longueur de l’image ci-dessous, mais elle démontre l’unanimisme ambiant d’une presse totalement acquise à la cause Biden, en plus d’occulter totalement les recours juridiques de l’équipe de Donald Trump. Et pourtant, malgré cette parfaite conformité idéologique doublée d’une propagande 24h/24, la vague bleue fantasmée s’est transformée en vague rouge réelle – et peut-être bien plus encore si on imagine la fraude électorale ! La fête pourrait alors virer au cauchemar prochainement pour des noceurs un peu pressés.
(Capture d’écran Google Actualités)
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02h00 - Dernière vidéo d’Alexis Cossette de Radio Quebec où il confirme ses propres propos de la veille. Des officiels, des anciens militaires ou des avocats, semble confirmer la mise en place par l’équipe Trump d’un piège tendu aux démocrates lors de ces élections.
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9 novembre, 00h00 - La science ne se trompe (presque) pas n°2. Il existe une loi, méconnue et défiant toute intuition, qui s’appelle la loi de Benford. Celle-ci affirme que si l’on prend n’importe quelle grande série (par exemple la taille des fichiers d’un ordinateur ou même une suite de nombres au hasard) qui ne soit pas contrainte par une loi interne (par exemple la taille des Hommes en mètre qui commence essentiellement par 1), la loi de répartition du premier chiffre de cette suite de nombres est toujours peu ou prou la même : 30% des nombres commencent par le chiffre 1, 18% par le chiffre 2, 12% par 3, 10%, 8%, 7%, 6%, 5%, 4% et 9%.
Or, voici les courbes pour Joe Biden puis pour Donald Trump :
Courbes pour les 3 circonscriptions de Detroit (Michigan), Philadelphie (Pennsylvanie) et Milwaukee (Wisconsin) :
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Comme nous le rappelle l’article Wikipédia indiqué en hyperlien supra, la loi de Benford a aussi été utilisée pour mettre en évidence la fraude électorale. Le Canton de Genève, en Suisse, l’a utilisée pour détecter d’éventuelles irrégularités dans les scrutins du canton.
NDLR : nous n’avons encore pas pu vérifier les chiffres sources (E&R aussi fait dans le fact-checking mais sans les subventions Facebook dont dispose par exemple Les Décodeurs du Monde).
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23h30 - La science ne se trompe pas n°1 (ou moins que les margoulins). Il existe aux Etats-Unis des comtés qu’on appelle les Election bellwether counties et qui ont la particularité d’avoir toujours voté (ou presque toujours) pour le candidat qui gagnera finalement l’élection nationale. Or cette année, peut-être par une incroyable rencontre des esprits ou une transmission de pensée consensuelle aurait ironisé un émérite professeur, quasiment tous ces comtés se sont trompés :
On notera pour l’anecdote que l’année 60 semble aussi suspecte d’irrégularités, ce qui corroborerait les rumeurs de fraudes par la mafia au bénéfice de JFK contre Nixon.
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23h00 - Marjorie Taylor Greene est la candidate républicaine, pro-armes et pro-Q, qui vient juste d’être élue à la Chambre des représentants. On pourra d’ailleurs consulter avec gourmandise son Wikipedia parfaitement neutre et objectif... Elle vient de mettre en ligne sur son Facebook une vidéo engageant les Américains à ne pas accepter le vol électoral de Joe Biden :
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20h00 - Nos lecteurs qui comprennent un peu l’anglais (la plupart des propos dans les vidéos suivantes sont sous-titrés en anglais, facilitant la compréhension) pourront avec avantage suivre le Project Veritas (considéré comme un groupe activiste de l’aile très à droite – far-right) qui a exposé au grand public un certain nombre de fraudes diverses depuis 2010. Celui-ci a enquêté sur les fraudes électorales, en utilisant comme à son habitude des caméras cachées. Ceci donne les extraits vidéos suivants particulièrement édifiants (en anglais) :
Sure makes you wonder what else could have been thrown out that we didn’t find.pic.twitter.com/waY6I2zxZ2
— Project Veritas (@Project_Veritas) November 8, 2020
#RiggedElection pic.twitter.com/76qePEuOYR
— James O'Keefe (@JamesOKeefeIII) November 8, 2020
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19h30 - Sans attendre le 20 janvier, ce qui semble très osé – mais probablement très calculé –, le quai d’Orsay a pris contact avec l’équipe de Biden. Celle-ci est composée d’un certain nombre de conseillers déjà présents sous l’administration Obama et sont donc connus.
Dès hier, samedi soir, le Président Macron avait félicité (toujours prématurément en regard de la loi électorale américaine) Joe Biden, suivi par Angela Merkel et Giuseppe Conte. Pour fermer le bal, les dirigeants des institutions européennes avait entonné le même refrain, comme si celui-ci avait la vertu d’entériner une réalité à ce jour quelque peu fantasmée.
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19h00 - Après une journée assez calme – car les poursuites judiciaires reprendront dès lundi comme l’a annoncé Rudy Giuliani, l’ancien maire de New York et avocat de Donald Trump – nous alimentons de nouveau ce Live des informations importantes qui arrivent du monde entier et en particulier des Etats-Unis.
Ce message de Brandon Tatum, un noir conservateur dont le compte Youtube compte 1,41 million d’abonnés, nous rappelle qu’il faut rester serein et que l’élection n’est pas jouée :
Ceux qui veulent alimenter le monstre censeur Youtube cliqueront ici : Fils de Pangolin.
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05h15 - Fidèle à son parti-pris, à l’instar de tous les réseaux sociaux et la quasi intégralité des médias, Twitter a placé Donald Trump en premier résultat sur le mot clé « loser » (perdant, en anglais).
Trump n’avait-il pas tweeté il y a peu : "historic election interference from big media, big money, and big tech" – Interférence électorale historique des big médias, du big argent et des big techs ?
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05h00 - Les plaintes déposées par le camp républicain, vu par France Info :
(...)
L’arrêt du dépouillement en Pennsylvanie
En quoi consiste la plainte ? De toutes les initiatives judiciaires initiées par l’équipe de Donald Trump, c’est la volonté du président d’interrompre le dépouillement en Pennsylvanie qui a le plus de chances d’arriver jusqu’à la Cour suprême des Etats-Unis, la plus haute juridiction du pays.
Bien conscient que le dépouillement des votes par correspondance réduit l’écart entre les deux candidats (à la faveur du démocrate), le camp Trump a demandé mercredi à la Cour suprême l’autorisation de venir se greffer à une plainte déposée par le Parti républicain local avant l’élection. Celle-ci vise à annuler une décision prise cet été par la Cour suprême de Pennsylvanie, permettant aux bulletins de vote arrivés par courrier jusqu’à la date du 6 novembre d’être pris en compte s’ils n’ont pas été postés après le jour du scrutin (le 3 novembre).
A-t-elle des chances d’aboutir ? Rien n’indique que la Cour suprême décidera de revenir sur la décision de sa "petite soeur". Les juges, alors au nombre de 8, avaient déjà été saisis en urgence par le Parti républicain le 19 octobre, sans parvenir à trancher, rapporte The New York Times*. Neuf jours plus tard, une demande du Parti républicain pour accélérer la procédure visant à déterminer si la Cour suprême de Pennsylvanie a agi en accord avec la loi avait été rejetée.
Si la Cour suprême américaine venait à se pencher de nouveau sur la question, la nouvelle juge nommée par Donald Trump, la conservatrice Amy Coney Barrett, devrait avoir un rôle décisif. En effet, elle n’avait pas pris part à la décision survenue dans ce dossier au lendemain de son investiture, le 27 octobre, arguant qu’elle n’avait pu suffisamment l’étudier.
A noter que la Pennsylvanie, avec ses 20 grands électeurs, est l’Etat qui a fait basculer Joe Biden au-delà des 270 nécessaires pour être élu. L’enjeu est donc ici de taille.
Lire l’article entier sur le site de France Info.
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04h45 - Si le président brésilien Jair Bolsonaro n’a toujours pas réagi, en revanche, l’Israélien Benny Gantz, Premier ministre suppléant et ministre de la Défense, félicite Joe Biden, « un ami d’Israël ». Le chef du gouvernement, Benyamin Netanyahou, ne s’est toujours pas exprimé.
As the election results become final, I extend my heartfelt congratulations to @JoeBiden, a long-time supporter and friend of Israel, and to his running mate, @KamalaHarris, who has made history as the first woman elected VP.
— בני גנץ - Benny Gantz (@gantzbe) November 8, 2020
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04h30 - L’essayiste Guy Millière, que nous ne portons pas dans notre cœur pour rester sur une tournure euphémistique, apporte toutefois ici quelques informations intéressantes sur la fraude électorale et son ampleur :
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03h30 - L’analyse d’Alexis Cossette de Radio Quebec sur VK, en attendant sa mise en ligne sur Odysee : Radio Quebec
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02h40 - Le candidat auto-proclamé Joe Biden commence son discours. Voici une retranscription et traduction en direct par E&R des éléments principaux de son discours.
Le peuple de cette nation a parlé et nous a donné une victoire claire. Nous avons gagné avec le plus de votes dans l’histoire de notre nation. Ça m’a surpris, il faut l’avouer. On voit ce soir dans tout le pays et dans le monde entier, beaucoup de joie et de confiance en l’avenir. Je m’engage à être un président qui ne veut pas diviser mais unifier, qui ne voit pas des Etats bleus ou rouges mais des Etats unis. Je travaillerai pour avoir la confiance de tout le peuple américain. Les Etats-Unis sont un peuple. Je veux guérir l’âme de notre nation. (...)
J’ai l’honneur de servir avec une formidable vice-présidente qui est la première femme noire, femme d’Asie du sud qui soit élue vice-présidente. Ne dites pas que ce n’est pas possible aux Etats Unis. Ça vient bien trop tard. Kamala vous êtes un Biden maintenant (...)
A tous les travailleurs des bureaux de vote vous méritez les remerciements de toute la nation. A tout ceux qui ont donné leur temps pour que ce soit possible, je les remercie. Je suis fier de cette campagne et de la coalition que nous avons rassemblée, la plus grande coalition, des républicains, des démocrates, des conservateurs, des progressistes, des gays, des trans, des straights (NDLR : des gens normaux...), des Latinos, etc. (...)
Je l’ai dit dès le début, je veux représenter tout les Etats-Unis, et c’est maintenant au gouvernement de représenter les USA. A ceux qui ont voté Trump je vous comprends j’ai perdu moi aussi parfois, mais maintenant il faut qu’on se donne une chance. Il faut s’écouter à nouveau et avancer ensemble. Ce ne sont pas nos ennemis, ce sont des américains (...)
La bible nous dit qu’il y a des saisons pour tout, construire, récolter, guérir. C’est le moment de guérir les Etats-Unis.
Maintenant que cette campagne prend fin, quel est notre mandat ? Les Américains nous ont appelé pour être une force pour la décence, la justice, l’espoir, la bataille contre le coronavirus, pour la prospérité, pour les fonds de santé, pour la justice raciale et l’insécurité dans ce pays. Et la bataille pour sauver la planète en luttant contre le réchauffement climatique. La bataille pour donner à tous une chance dans ce pays (...)
Nous allons commencer en luttant contre le covid19. Il faut que nous puissions contrôler le virus. Je nommerai un groupe de scientifiques pour nous aider à mettre en place un plan d’action qui commencera le 21 janvier 2021. Il se basera sur la science et l’empathie. Je ferai tous les efforts nécessaires pour mettre fin à cette pandémie (...)
Je suis un démocrate et j’en suis fier mais je gouvernerai comme un président américain et je travaillerai aussi dur pour ceux qui ont voté pour moi comme ceux qu n’ont pas voté pour moi.
Il faut que cette période de la diabolisation prenne fin maintenant. Le refus des démocrates et des républicains de coopérer est un choix que nous faisons, mais nous pouvons aussi décider de travailler ensemble. Et cela fait partie du mandat que nous a donné le peuple américain. Et je demanderai aux républicains et aux démocrates de faire ce choix (...)
L’Amérique a été souvent fondée sur des choix, sur ce que l’on veut être, notre identité. Le New Deal, ou JFK en 1960, ou Barack Obama il y a 12 ans et son "Yes, we can". Nous sommes à un moment clé, nous pouvons lutter contre les désespoirs et lutter pour la prospérité. Nous devons restaurer l’âme de notre nation.
Aujourd’hui le monde entier regarde les Etats-Unis et nous pouvons être une flamme qui illumine le monde.
Nous pouvons définir les USA en un seul mot : les possibilités. Toue le monde devrait avoir toutes les opportunités possibles. Nous allons toujours de l’avant vers des Etats-Unis plus équitables, plus justes, qui n’abandonnent jamais personne. Nous sommes un bon peuple (...)
Les derniers jours de la campagne furent très difficiles. J’ai pensé à un hymne qui montre la foi que j’ai et qui peut donner le réconfort aux américains qui ont perdu. Cet hymne va vous aider, et ensemble sur les ailes d’un aigle nous allons faire le travail qu’on doit faire avec la foi dans les Etats-Unis. Une nation renforcée, une nation guérie. (NDLR : You make my dreams come true, par Hall and Oates)
Mon grand-père disait garde la foi mais ma grand-mère disait : non, répands la foi !
Que Dieu bénisse les Etats-Unis. Merci.
On notera la volonté de rassemblement dont se gaussent les commentateurs, mais qui s’explique surtout par ce que nous rappelions juste précédemment : sans la majorité au Sénat, Joe Biden ne pourra pas gouverner pleinement...
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02h30 - Rappelons que le Sénat, la chambre haute du Congrès, renouvelle une partie de ses membres et que cela représente un enjeu crucial pour l’éventuelle présidence du démocrate Joe Biden. En effet, aucune loi ne peut être approuvée sans un vote de la chambre haute.
Or, en Géorgie, le sénateur républicain David Perdue et son rival démocrate Jon Ossoff ayant chacun obtenu moins de 50% des voix, un deuxième tour aura lieu le 5 janvier. Toujours en Géorgie, un autre poste de sénateur sera également en jeu à la même date. De même, un siège en Caroline du Nord et un autre dans l’Alaska restent à pouvoir, tous deux penchant du côté républicain.
Fort de 53 sièges sur 100, les républicains devraient donc maintenir leur majorité au Sénat, empêchant fortement Joe Biden de déployer sa politique. Or, il faut se rappeler que le candidat démocrate, avocat pour les droits des lesbiennes, des gays, des bisexuels, des personnes transgenres et des queers, a promis de donner la priorité absolue à l’adoption de la législation sur les droits des homosexuels (l’Equality Act), en espérant signer ce qui serait une loi historique pour les droits civils dans les 100 premiers jours de son mandat.
Cette loi sur l’égalité a été adoptée par la Chambre des représentants en 2019, mais le Sénat, majoritairement républicain, l’avait bloquée en son temps. Une majorité républicaine maintenue au Sénat oblitérerait tout espoir de succès au nouveau président.
Et tout ceci sans compter la très large majorité républicaine à la Cour Suprême (6 juges sur 9)...
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02h00 - Alors que les médias ont annoncé la victoire de Joe Biden, le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a estimé samedi qu’il était trop tôt pour féliciter l’auto-proclamé impétrant.
« Nous allons attendre que toutes les questions légales soient résolues. Nous ne voulons pas être imprudent », a déclaré M. Lopez Obrador à la presse.
« Nous ne souhaitons pas agir à la légère et voulons être respectueux de l’autodétermination des peuples et des droits d’autrui », a ajouté le président mexicain qui entretenait de bonnes relations avec le président sortant.
« Nous n’avons aucun litige avec ni l’un ni l’autre des deux candidats. C’est un sujet humain, il faut faire preuve de décence et de prudence politique avant de prendre position sur ce qui s’est passé », a conclu avec sagesse M. Lopez Obrador.
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01h30 - L’information est tombée hier mais nous cherchions une version sous-titrée à partager à nos lecteurs. En l’absence d’une vidéo en français, nous vous proposons l’extrait long en anglais de l’interview de Sidney Powell, avocate du Général Flynn, sur la chaîne de télévision Fox News. Elle déclare qu’il existe des preuves que les programmes Hammer et Scorecard ont changé 3% des votes collectés par voie électronique. Lorsqu’on sait que les avances de Biden sont de 1% ou moins, on imagine l’impact d’une telle fraude, si elle existe.
This is extremely disturbing. High-powered attorney @SidneyPowell1 has dropped this *BOMBSHELL."
There is evidence the election software HAMMER & SCORECARD changed THREE PERCENT of pre-election digital votes nationwide.
Enough to be a game-changer for Biden. Watch : pic.twitter.com/uC5XDeFR4P
— Kyle Becker (@kylenabecker) November 7, 2020
Addendum : un lecteur nous fait savoir qu’il existe une version doublée en français.
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01h00 - Un problème de comptage de bulletins a été signalé dans le comté de Fulton (Géorgie).
Le secrétaire d’État géorgien Brad Raffensperger a déclaré samedi soir qu’un problème avait été découvert vendredi dans le comté de Fulton et que les enquêteurs s’efforçaient de le résoudre. « Le comté de Fulton a découvert un problème concernant leur travail ce vendredi », a déclaré M. Raffensperger sur Twitter. « Les fonctionnaires sont à la State Farm Arena pour vérifier leur travail de vendredi ».
Ce recomptage pourrait potentiellement avoir un impact sur le décompte des votes en Géorgie.
Le secrétaire d’État a déclaré qu’un observateur est sur place, ainsi que des enquêteurs supplémentaires et le secrétaire d’État adjoint pour superviser le processus afin de s’assurer de la sécurité du vote et de la protection de tous les votes légaux. Des observateurs des deux parties sont également présents.
Samedi soir, le président élu Joe Biden détenait une mince avance d’un peu plus de 4 500 votes sur le président Donald Trump. Or, le total de Biden comprend des milliers de bulletins de vote provisoires traités vendredi dans le comté de Fulton.
#BREAKING development that *may* significantly affect the current Biden lead in Georgia. “Fulton County has discovered an issue involving reporting from their work on Friday.”@11AliveNews we don’t know how many ballots are in question, or which way they would change the count. pic.twitter.com/PAL9HmIpqd
— Brendan Keefe (@BrendanKeefe) November 7, 2020
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8 novembre, 00h45 - L’ancien maire de New York et avocat de Donald Trump, Rudy Giuliani, indique que des poursuites seront lancées dès lundi (10 novembre). De nombreux témoins, 50, 60, précise-t-il, affirment qu’ils ont été empêché d’user de leur droit à vérifier les dépouillements.
Rudy Giuliani : "Lawsuits will be brought starting on Monday." https://t.co/QNRpcteRWL #Election2020 pic.twitter.com/x9ATwVB50w
— The Hill (@thehill) November 7, 2020
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00h30 - En 2000, Al Gore avait aussi gagné pour les médias. Le recomptage des voix en Floride changea la donne. Bien sûr la situation est différente, mais l’image est intéressante à rappeler, en particulier pour nos plus jeunes lecteurs.
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7 novembre, 00h00 - Rappelons ces chiffres au journaliste Van Jones – et les autres – qui mettent en avant que, contrairement à 4 années de pleine propagande, les Noirs, les Latinos ou les femmes, ont voté davantage Trump en 2020 qu’en 2016 !
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23h00 - Les médias ont déclaré très rapidement Joe Biden président élu (president-elect), alors même que de nombreux recours ont été initiés par l’équipe républicaine et que tous les dépouillements n’ont pas été terminés dans de nombreux États sensibles. Cette précipitation entraîne naturellement des scènes de liesse dans de nombreux États, en particulier les États démocrates comme la Californie où un public très militant de gauchistes et autres LGBT expose sans pudeur leur joie. Nous épargnerons à nos lecteurs ces visions assez désagréables et leur réserverons plutôt les futures larmes démocrates si l’élection venait à être invalidée ou le résultat modifié...
Cependant, quelques perles surgissent dans ce concert quasi pornographique de mensonges et de spectacles, dont cette petite saillie très largement oscarisable du commentateur CNN Van Jones :
“It’s easier to be a parent this morning. It’s easier to be a dad. It’s easier to tell your kids character matters. It matters. Tell them the truth matters."
Van Jones reacts after CNN projected Joe Biden as the winner of the presidential election. https://t.co/HO9WG1KPLh pic.twitter.com/b9ukiZnSzk
— CNN (@CNN) November 7, 2020
« C’est plus facile d’être un parent ce matin. C’est plus facile d’être un père. C’est plus facile de dire à vos enfants que l’individu compte. Ça compte. Dire la vérité compte. » etc. La suite est à l’avenant, les anglophones liront les sous-titres, les autres apprécieront le jeu d’acteur.
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19h30 - Réponse de Donald Trump suite à la précipitation des médias en annonçant Joe Biden comme grand vainqueur de ces élections !
« Nous savons tous pourquoi Joe Biden se précipite pour se faire passer pour le vainqueur et pourquoi ses alliés médiatiques s’efforcent de l’aider : ils ne veulent pas que la vérité soit révélée. Le fait est que cette élection est loin d’être terminée. Joe Biden n’a été certifié vainqueur d’aucun État, sans parler de l’un des États hautement contestés se dirigeant vers des recomptages obligatoires, ou des États où notre campagne a des défis juridiques valables et légitimes qui pourraient déterminer le vainqueur ultime. En Pennsylvanie, par exemple, nos observateurs juridiques n’ont pas eu un accès significatif pour regarder le processus de comptage.
Les votes légaux décident qui est le président, pas les médias d’information.
À partir de lundi, notre campagne commencera à poursuivre notre cause devant les tribunaux pour s’assurer que les lois électorales sont pleinement respectées et que le gagnant légitime est assis. Le peuple américain a droit à une élection honnête : cela signifie compter tous les bulletins légaux et ne pas compter les bulletins illégaux. C’est la seule façon de garantir que le public a pleinement confiance en nos élections. Il reste choquant que la campagne Biden refuse d’accepter ce principe de base et souhaite que les bulletins de vote soient comptés même s’ils sont frauduleux, fabriqués ou déposés par des électeurs non éligibles ou décédés. Seule une partie engagée dans des actes répréhensibles garderait illégalement les observateurs hors de la salle de dépouillement – puis se battrait devant le tribunal pour bloquer leur accès.
Alors, que cache Biden ? Je ne connaîtrai pas de repos tant que le peuple américain n’aura pas obtenu le décompte honnête qu’il mérite et que la démocratie exige. »
Président Donald J. Trump
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18h30 - Coup d’État médiatique ! Dans un bel ensemble qui sent le passage en force concerté, les médias mainstream annoncent la victoire de Biden, qui aurait atteint les 270 GE. Le vrai combat entre les médias et la justice, si justice il y a, commence maintenant.
Il y a 57 ans, le président en poste était victime d’un coup d’État : il a été assassiné sous les yeux du monde par les organisateurs d’un complot évident. 57 ans plus tard, un autre coup d’État, mais sans effusion de sang ni balle magique, tente d’éliminer le président en poste, sous les yeux du monde. On parlera désormais de vote magique !
Le pouvoir profond a changé sa méthode, pas son objectif.
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17h30 - France Info, le site du service public audiovisuel français, annonce la victoire de Biden, devenu selon ses sources le 46e président des États-Unis. Dans la même alerte, il est écrit : « pourquoi on ne sait toujours pas qui est le nouveau président ».
Effectivement, la centrale française de désinformation annonce que les 20 GE de Pennsylvanie sont désormais dans le camp démocrate, alors que la Cour suprême a annoncé la séparation des votes dans cet État crucial. La méthode Coué à la place de l’information, le service public audiovisuel, quoi...
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17h00 - Plus les preuves d’un truandage massif se précisent, plus les médias français mainstream se taisent et posent Biden en vainqueur. Leur haine de Trump mais surtout du trumpisme (un retour au souverainisme et aux valeurs qui leur ferait très mal) est telle qu’ils préfèrent désinformer et cacher la vérité au grand public français. La vérité ? Biden est la marionnette des mondialistes, ceux-là mêmes qui se cachent derrière le Covid pour détruire les nations récalcitrantes. Biden est corrompu jusqu’à la moelle, sans parler de son goût pour les femmes de moins d’un mètre 40...
C’est énorme Le logiciel utilisé pour les votes dans un comté a envoyé au moins 6000 votes Trump fn faveur de Biden. 47 comtés ont utilisé le même logiciel. @silvano_trotta @complotissss @Alexis_Cossette pic.twitter.com/BXhMYxQA7F
— tradefutur tradefutur (@tradefutur) November 6, 2020
La presse française, qui est en train de faire son second (après son premier échec flagrant de novembre 2016) mea culpa à propos de sa totale partialité dans le traitement de l’élection US, oublie tout simplement de parler de l’après-3 Novembre, ce débat national qui agite les États-Unis autour de la remontée bidon de Biden en dernière minute. Le seul argument avancé est : les démocrates votent plus par la Poste que les républicains. Oui, mais pas à 90 % ! Et ça change tout !
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
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16h00 - Victoire (« temporaire » selon RTL ) pour Donald Trump ! La Cour suprême a décidé que tous les bulletins de vote de Pennsylvanie reçus après 20 heures le 3 novembre devaient être séparés et tenus à l’écart des autres bulletins de vote, pour être comptés séparément des bulletins de vote en temps voulu. Mais cela ne vaut que pour la Pennsylvanie, pas (encore) pour les autres États litigieux, litigieux au sens où la remontée de Biden qui était mené dans 7 États sur 8 est relativement anormale, voire inexplicable.
Le magistrat conservateur Samuel Alito n’a toutefois pas ordonné l’arrêt du comptage des bulletins ainsi écartés, comme le souhaitait le camp républicain du président, qui ne peut se permettre de perdre cet État-clé s’il veut rester à la Maison Blanche. Donald Trump ne cesse de dénoncer les bulletins par correspondance, les accusant, sans preuve, de générer une vaste fraude électorale. La voie postale est une façon de voter davantage prisée par les démocrates que les républicains.
La loi électorale en Pennsylvanie autorise le comptage des bulletins postés jusqu’au mardi 10 novembre et arrivés dans les trois jours suivant l’élection. La décision du juge Alito vient confirmer l’ordre donné par les autorités locales avant le scrutin de décompter ces bulletins distinctement, afin de pouvoir les retirer du total s’ils devaient être invalidés. (RTL)
En attendant ce fameux recomptage pour l’obtention de 20 GE, voici le moyen par lequel on peut authentifier les bulletins de vote par correspondance :
Check out this DIGITAL WATERMARK technique that can be APPLIED TO FEDERAL BALLOTS ! Wow ! pic.twitter.com/1FSPjSxuTZ
— John Reese (@TrumperWavin) November 6, 2020
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14h00 - Les exemples de fraudes (au pluriel, s’il vous plaît) démocrates se suivent, il en remonte de partout et nous ne savons plus où donner de la tête. Pour les Américains, c’est pire. Nous nous sommes intéressés aux inscriptions douteuses sur les listes électorales, avec le cas d’un habitant de Detroit (Michigan) âgé de 118 ans et mort depuis des lustres.
Un monsieur de 118 ans, vivant dans un comté très Démocrate du Michigan, a demandé un bulletin de vote par correspondance, ensuite renvoyé puis bien reçu.
Il est mort en 1984.
Pas le fruit du hasard.
Les Démocrates possède un système de fraude structuré.https://t.co/sQpbhDqiSj pic.twitter.com/pbgZDrPXsy— Donald T R U M P France (@DonaldTrump_FR) November 5, 2020
Alimuddin Usmani a testé la réalité de cette fraude en vidéo :
Il y a heureusement des exemples de fraude – ou d’erreur – corrigée :
Disons plutôt que je me suis aperçue que ce n'était pas jouable et j'ai fait machine arrière. pic.twitter.com/6EXCmbT4xG
— Campagnol (@CampagnolTVL) November 7, 2020
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12h00 - Espérant survivre, Le Monde et le Washington Post annoncent la mort de la profession de sondeur politique : « Nous ne devrions plus jamais mettre autant d’importance dans les sondages d’opinion publique et ceux qui les interprètent, comme nous nous sommes habitués à le faire. L’outil qu’est le sondage semble être irrévocablement brisé, ou du moins notre compréhension du sérieux avec lequel nous devons le considérer. »
« Les études d’opinion ont sous-estimé la capacité d’attraction de Donald Trump. »
Belle tentative de passer entre les mailles du filet...
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11h00 - Mark Meadows, le chef de cabinet de Donald Trump, est annoncé positif au coronavirus.
Selon CNN, Mark Meadows, 61 ans, a annoncé à son entourage, après l’élection présidentielle, qu’il avait contracté le coronavirus, mais on ignore la date exacte à laquelle il a été testé positif.
Selon le Washington Post, Mark Meadows se trouvait parmi la foule dans un salon de la Maison-Blanche au moment où Donald Trump s’est adressé à environ 150 de ses collaborateurs et partisans mercredi.
Les grands médias s’interrogent : « Vers un nouveau cluster à la Maison-Blanche ? »
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09h00 - Andrew Bates, porte-parole de Joe Biden, menace « d’expulser » Donald Trump de la Maison-Blanche s’il refusait de reconnaître sa défaite.
« Les Américains décideront de l’issue de cette élection. Et les autorités américaines sont parfaitement capables d’expulser les intrus de la Maison-Blanche. »
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06h00 - Petit rappel instructif sur la collecte des bulletins de vote :
— Patrick Edery (@patrick_edery) November 6, 2020
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05h30 - L’analyse d’Alexis Cossette de Radio Quebec sur Tweeter en attendant sa mise en ligne sur Odysee : L’Heure de vérité
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05h00 - Joe Biden s’est exprimé sans revendiquer officiellement la victoire. Il estime être sur le chemin d’obtenir 300 grands électeurs, admettant ne pas avoir encore tous les résultats, mais affirmant « nous allons gagner ». Il ajoute : « On va gagner une claire majorité. Avec 74 millions de vote. C’est plus que n’importe quel autre président dans l’histoire des Etats-Unis ». N’oublions pas que Donald Trump a fait aussi le meilleur score républicain de l’histoire...
Joe Biden, avec force bégaiements, a signifié qu’il n’allait pas attendre pour se préparer à la transition du pouvoir et qu’il avait déjà commencé à travailler contre l’épidémie du Covid.
« Restez calme, patients, laissez le processus fonctionner. La démocratie fonctionne, vos votes seront comptés. Je ne laisserai personne se mettre en travers »
Joe Biden s’est ensuite prêté à un exercice d’irénisme assez habituel chez un président nouvellement élu, démontrant que pour lui cela ne fait aucun doute. « Nous sommes tous Américains. Mettons la haine de côté, faisons en sorte que ce pays guérisse. Nous représenterons toute la nation. Nous avons un devoir de prendre soin de tous les Américains. Nous avons une opportunité formidable de construire le futur pour nos enfants et petits-enfants. Nous sommes les Etats-Unis d’Amérique, il n’y a rien que nous n’ayons pas pu faire jusqu’à maintenant. Dieu nous bénisse et bénisse nos troupes ».
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04h00 - Nous faisons suivre cet extrait d’une interview du Dr. Steve Pieczenik sur InfoWars (Alex Jones) avec les plus grandes pincettes possibles, mais l’information mérite la mise en ligne au moins pour l’intense plaisir qu’apporterait un tel coup monté si il avait pu être mis en oeuvre de la part de l’équipe de Trump !
#Elections2020 : selon le Dr. @StevePieczenik, figure bien connue des services de renseignement US, la fraude électorale perpétrée par les Démocrates était anticipée de longue date et les mesures appropriées ont été prises en amont.@realDonaldTrump a gagné. Point.#4MoreYears pic.twitter.com/8u7PQv0ASh
— Francis Lagneau (@FrancisLagneau_) November 6, 2020
La vidéo complète sur InfoWars.
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03h30 - La secrétaire d’Etat locale Katie Hobbs de l’Arizona s’est exprimée sur CNN, indiquant que 173.000 bulletins restaient à dépouiller dont 47.000 provisoires, c’est-à-dire dont l’éligibilité de l’électeur est à vérifier. Rappelons qu’en Arizona, Biden compte 1.604.067 voix (49,6%) et Trump 1.574.206 voix (48,7%), soit 29.861 voix d’écart. Notons que Donald Trump ne cesse de remonter dans cet Etat comme le montre le graphique ci-dessous :
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03h00 - Rappelons-nous, pour le plaisir, ce petit moment d’anthologie que nous a offert Donald Trump en 2016 :
Souvenir de 2016. Que #Trump nous permette de revivre une scène identique. #Debates2020 pic.twitter.com/XXKy8nu21n
— Duchesse (@_LaDuchesse) September 29, 2020
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02h00 - La Cour suprême demande à tous les comtés de Pennsylvanie de s’assurer que les bulletins reçus après 20 heures le jour de l’élection sont bien comptés séparément et de conserver ces bulletins séparément. Notons que les républicains souhaitaient que la Cour interrompe totalement le dépouillement.
Cependant, identifier les bulletins permettrait de pouvoir les annuler dans le cas où la haute juridiction le demanderait, ce qu’elle a refusé de faire avant l’élection mais ne s’est pas interdit d’examiner après le scrutin.
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01h30 - En plus de disposer de toute la presse et les médias télévisés, les réseaux sociaux et les people, le camp démocrate a dépensé près de deux fois plus que les républicains pour ce scrutin : 6,9 milliards de dollars, contre 3,8 milliards de dollars pour le camp républicain ! Malgré tous ces handicaps, Donald Trump fait un score jamais vu ! On imagine le résultat si les républicains avaient bénéficié de tous les avantages des démocrates...
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01h00 - Autant le nombre de vrais bulletins en faveur de Joe Biden (les "votes légaux" comme dit Donald Trump) ne sont pas connus, autant ceux de Donald Trump sont difficilement suspects d’être estimés à la hausse (ils seraient plutôt sous-évalués si on en croit les témoignages de destruction). Or, Donald Trump, à cette heure, rassemble 70.030.298 voix sur son nom, ce qui est un exploit, et est le plus grand plebiscite de l’histoire américaine pour le camp républicain ! Pour rappel, Donald Trump avait gagné il y a 4 ans avec 62.984.828 voix.
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7 novembre, 00h30 - « J’avais une telle avance dans tous ces Etats tard lors de la nuit de l’élection, tout ça pour voir cette avance disparaître par miracle à mesure que le jour avançait. Peut-être que cette avance va revenir à mesure que nos procédures légales progressent »
I had such a big lead in all of these states late into election night, only to see the leads miraculously disappear as the days went by. Perhaps these leads will return as our legal proceedings move forward !
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) November 6, 2020
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22h00 – Un article du Figaro resurgit à l’occasion des lourds soupçons de fraude sur le Parti démocrate dans les derniers États qui n’ont pas livré leur verdict. Il a été publié le 2 septembre 2020 et a de quoi troubler les journalistes de gauche.
Il explique par le menu comment gruger lors des primaires démocrates, cette fois-ci pour Sanders contre Biden.
Le New York Post a en effet publié la « confession » d’un fraudeur engagé à gauche, qui affirme avoir truqué de nombreuses élections fédérales. Essentiellement dans le New Jersey, où il réside, mais en décrivant un système de manipulation existant dans de nombreux autres États. Le mobile du passage aux aveux ? Le militant serait un soutien acharné de Bernie Sanders et ne se voit pas soutenir la candidature de Joe Biden.
On découvre qu’il y a deux sortes de vote à distance :
Le récit est d’importance car, sous la pression de la lutte contre le coronavirus, de nombreux électeurs annoncent avoir choisi cette année le vote à distance. Celui-ci existe sous deux formes dans les États américains. La première est le vote par procuration, plébiscité par le Président actuel pour sa sécurité, nécessitant une demande de la part du votant. Le second est le scrutin postal, pour lequel il suffit de renvoyer un formulaire dans une enveloppe spécifique prédistribuée.
Le modus operandi a l’air fastidieux, mais il peut être répété à grande échelle par des dizaines ou des centaines de militants mal intentionnés :
Et c’est dans ce type de votes que le témoin du New York Post affirme que la fraude « est plus une règle qu’une exception ». À l’appui de sa démonstration, un véritable mode d’emploi de la fraude, avec plusieurs procédés possibles. La première technique consiste à utiliser l’enveloppe d’un votant, pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission « beaucoup plus facile qu’on ne le pense », d’après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l’enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.
Pire, en amont, il suffit d’un seul postier anti-Trump pour détruire des paquets de votes républicain :
Les employés des postes peuvent également influer facilement sur l’élection, selon le témoin. « Vous avez un facteur qui est un type anti-Trump enragé et travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain... Il peut prendre les bulletins de vote [remplis], et sachant que 95% sont en faveur d’un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle », explique-t-il. Un écho à l’histoire de certains lots de courriers électoraux retrouvés après le vote, lors d’élections locales à New York en 2017 ?
La suite est édifiante, la source est crédible, elle a donné des « détails impressionnants », et les deux fils Trump ont relayé l’article sur leur Twitter. Deux mois plus tard, le doute est devenu réalité et le camp démocrate est acculé en défense. S’il n’y a aucun doute sur la victoire de Biden dans les États traditionnellement démocrates des côtes Est et Ouest, le fait qu’une écrasante majorité de bulletins soient pro-Biden dans les votes par correspondance des swing states, là où une fraude massive est possible – et le résultat, bien au-delà de la norme des deux tiers, stupéfie les observateurs –, ne laisse pas d’interroger.
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20h00 – Une information, qui reste à vérifier, et qui peut avoir son importance : les bulletins authentiques ont-ils une marque secrète ?
Le camp républicain avait prévu la fraude "IL y a des marqueurs secret sur les bulletins de vote par correspondance ....." #Election2020 #fakenews #biden #atlanta #Election2020
on va bien rigoler et les pseudo démocrates pleurer !!! pic.twitter.com/91eadJyslI
— AUBRAC (@Aubraac) November 6, 2020
Pour information, et celle-ci est vérifiée, la Géorgie entame officiellement un recompte des voix. Trump y avait une forte avance le 3 novembre (de 100 000 voix), qui s’est transformée, là encore, en avance de Biden après les votes par correspondance.
Le secrétaire de l’État explique ici que sur 5 millions de votes, la marge de quelques milliers n’est pas assez significative pour déclarer un vainqueur.
Georgia Secretary of State :
“There will be a recount in Georgia."pic.twitter.com/UKrY0SQrkr
— Daily Caller (@DailyCaller) November 6, 2020
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18h30 – En attendant que la justice fasse son chemin, et il sera long tant l’enjeu est crucial, pour les Américains et pour le monde, ce choix entre le souverainisme et le mondialisme, entre l’économie productive et la mondialisation, nous nous sommes intéressés à la sociologie du vote US, qui donne les grandes tendances de demain. Car le vote Trump, loin d’être un « accident de l’Histoire » selon nos journalistes aveugles, idiots ou menteurs, s’est inscrit dans la durée. Certains observateurs vont même jusqu’à dire que l’Amérique s’est fracturée, et qu’on retrouve les ferments d’une guerre civile comme en 1860, sur d’autres bases évidemment. Le clivage Nord/Sud s’est transformé en clivage pro et anti-mondialisation, ceux qui en profitent, ceux qui en pâtissent.
La sociologie du vote du 3 novembre (incluant les 4, 5 et 6 novembre du fait du dépouillement tardif des votes par correspondance) c’est la ventilation des bulletins pour le total des 50 États en fonction de l’âge, du genre, du niveau d’éducation, de la confession et de l’origine ethnique.
Voici le premier tableau établi par la BBC, le groupe public britannique qui a été beaucoup plus factuel et beaucoup moins désinformateur que les médias français :
D’abord, et c’est un avantage pour les trumpistes à l’avenir, le vote latino augmente lentement mais sûrement pour les républicains. Mais ici, c’est Trump qui a fait la différence. Pour le dire vite, les Latinos entrent ou sont aux USA pour réussir, gagner de l’argent ; ils sont donc pour la libre entreprise, payer moins d’impôts, et bosser dur. En Californie, si on retire les Latinos, la vie économique s’effondre. Avec 58 millions de membres et un taux de natalité fort, ils sont la seconde communauté derrière les Blancs, et première minorité devant les Noirs.
Inversement, la communauté noire vote toujours majoritairement démocrate (même si le vote Trump a fait une petite percée dans la communauté qui refuse l’essentialisation), malgré les mises en garde (il y a 60 ans !) de Malcolm X, qui expliquait aux Afro-Américains toute la démagogie des « libéraux » avec les Noirs. Même chose en France avec le Parti socialiste, qui lui s’est écroulé en deux élections.
On remarque, par rapport aux chiffres de 2016, que nous avons consultés, que plus de jeunes ont voté Biden (s’ils savaient !) que Clinton. Les démocrates, soutenus par la presse mainstream et les réseaux sociaux des GAFAM, ont intensifié le rabattage des jeunes en présentant Trump comme le grand Satan. La gauche américaine a mis le feu aux villes (Portland, Philadelphie), profitant du mouvement Black Lives Matter, pour entraîner les jeunes derrière les antifas.
Découvrons maintenant le vote par couleur et par confession :
Graduate veut évidemment dire diplômé. Pour le reste, pas besoin de traduire.
Ces tableaux vérifient la réalité d’une fracture américaine, qu’on retrouve aussi en France, entre pro et anti-mondialisation, ou entre mondialistes et souverainistes. Les femmes, les jeunes, les minorités sexuelles, les minorités ethniques et les riches votent globalement démocrate, selon l’axe minorités-oligarchie incarné par Soros ; en face, les hommes, les travailleurs et les chômeurs votent pour un souverainisme réel aux valeurs chrétiennes, parfaitement incarné par Trump.
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18h00 – Le cas de la Pennsylvanie est devenu tellement important que son procureur général, Josh Shapiro, a une énorme pression sur la tête. Rappelons que cet État aux 20 GE a toujours connu une grosse avance pour Trump jusqu’à l’arrivée, inopinée, des votes par correspondance. Nous avons traité plus bas la remontada hors norme de Biden. Maintenant, intéressons-nous au cas Shapiro, qui est démocrate et qui compte être réélu dans cet État du Nord-Est. Times of Israel écrit :
Voilà certaines choses à savoir sur ce procureur-général très juif dont l’état pourrait bien décider de l’issue du scrutin. [...]
Shapiro a toujours revendiqué son identité juive dans sa carrière politique. En 2008, il avait déclaré au Philadelphia Jewish Voice que « quand on résume tous ses enseignements et ses rituels, le judaïsme nous enseigne fondamentalement qu’aucun d’entre nous n’est tenu de terminer la tâche, mais que personne ne doit par ailleurs nous empêcher de le faire ». Shapiro paraphrasait là un célèbre adage rabbinique.
Ce procureur « très juif » s’était fait remarquer avec un rapport sur la pédophilie dans l’Église catholique.
En 2018, Shapiro avait fait les gros titres après la publication d’un rapport de 900 pages détaillant les résultats d’une enquête de dix-huit mois qui avait été consacrée aux violences sexuelles commises au sein de l’Église catholique sur des enfants. Le rapport avait nommément mis en cause 300 prêtres, les accusant de pédophilie, et détaillé ce qu’il avait qualifié de « couverture systématique » de ces abus par les hauts-responsables de l’église et par le Vatican. Il avait inclus les témoignages de plus de mille victimes.
Un an plus tard éclatait l’affaire Epstein aux ramiifications internationales et qui touchera beaucoup des membres de l’hyperclasse mondialiste. Shapiro, conscient de l’importance du recomptage, a pris ses précautions en déclarant : « Voilà la réalité : Il faudra le temps qu’il faudra pour avoir un décompte exact ».
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17h45 – L’avance de Biden en Arizona se réduit d’heure en heure ! Les 11 GE, qui avaient été comptabilisés un peu rapidement pour le camp démocrate, ne sont plus aussi « bleus » (la couleur des démocrates). La date butoir donnée pour le dépouillement est tombée : ce sera le 10 novembre. D’ici-là, la présidence aura peut-être choisi son camp, mais dans l’état actuel des choses, les grands électeurs d’Arizona comptent.
Les supporters de Trump remettent en question le mode d’écriture sur les bulletins : feutre, bic ou crayon, on en est là : tout tourne autour du fait que les machines n’ont pas pu lire des centaines de bulletins à cause de l’encre qui n’aurait pas ou mal séché. En réalité, il reste 400 000 votes à dépouiller, et l’avance, qui est encore de 76 000 voix pour Biden, a fondu de moitié. Affaire à suivre !
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6 novembre, 15h00 – Le monde entier a les yeux rivés sur le dépouillement dans les derniers États décisifs, mais aussi sur les avocats du camp Trump, et ceux du camp Biden. Car l’élection américaine vient de basculer dans le domaine juridique avec la contestation des républicains sur le décompte des votes par correspondance dans les swing states du Wisconsin (10 GE), du Michigan (16 GE), de la Pennsylvanie (20 GE), de la Géorgie (16 GE), de la Caroline du Nord (15 GE) où les écarts ne sont pas significatifs, et même du Nevada (6 GE) et de l’Arizona (11 GE).
Ce 6 novembre 2020, les grands électeurs du Wisconson et du Michigan seraient donc, si l’on en croit les votes massifs par correspondance arrivés en dernière minute, tombés dans le camp démocrate, qui mènerait donc par au moins 253 à 213. Mais des réserves ont été déposées par le camp républicain sur ces 26 GE, dont Trump n’a pas pu faire arrêter le décomptage. Le fort soupçon de fraude qui plane sur ces résultats miraculeux pour Biden vont sûrement faire traîner l’élection du 46e président des États-Unis.
Pour entrer dans la polémique, et donc dans les calculs, nous avons retrouvé l’interview de François Durpaire, spécialiste des États-Unis, interrogé par France 24 le 4 novembre 2020. On comprend vite qu’il a du mal à rester neutre :
« Cette élection est passée en quelques heures d’une élection qui était dans les mains d’électeurs à une élection qu est désormais entre les mains d’assesseurs et de ceux qui comptent et qui vont recompter les bulletins, et peut-être encore dans quelques heures d’une élection qui sera dans les mains des avocats, des juristes et des juges. Et c’est d’ailleurs ce qu’avait prévu Donald Trump depuis plusieurs semaines, voire ce qu’il avait préparé, il avait dit “cette élection se terminera devant la Cour suprême”. La question à se poser c’est pourquoi Donald Trump ne veut pas qu’on compte tous les bulletins en Pennsylvanie, dans le Michigan et dans le Wisconsin. On sait que les sondages sont plutôt favorables, je vous donne un cas très très concret. »
Durpaire en vient au point crucial :
« En Pennsylvanie il a 700 000 voix d’avance, qui est une grande avance, mais il y a 1 400 000 voix à décompter qui sont arrivées par la Poste. On dit dans les estimations que deux tiers de ces voix seraient des voix démocrates. Vous faites votre petit calcul et vous voyez que la Pennsylvanie peut tomber dans l’escarcelle du camp démocrate. »
Stop ! On a pris Durpaire au mot et on a fait le calcul. Deux tiers de 1 400 000 voix égalent 930 000, que nous ajoutons aux voix démocrates qui ont déjà été comptabilisées, ce qui fait une avance de 230 000 pour Biden. Mais il reste 470 000 voix par correspondance pour Trump, qui repasse donc devant avec 240 000 voix.
Il faudrait alors, pour que Biden gagne en Pennsylvanie, que les sondeurs ou les spécialistes des tendances revoient leurs chiffres : pour manger les 700 000 voix d’avance de Trump, le camp Biden doit trouver non seulement 2/3 des 1 400 000 voix dépouillées dans les courriers, mais 250 000 de plus. Ce qui veut dire que sur les 1 400 000, Biden doit faire 930 000 + 250 000 = 1 180 000 voix. À ce titre, il battrait Trump d’une courte tête.
Mais cela revient à dire qu’on n’est plus sur 66 % (2/3) des votes par correspondance pour Biden, ce qui est la norme d’après tous les spécialistes, mais 85 % ! Et là, on sort des tendances habituelles, et on sait comme les Américains aiment les chiffres, et les chiffres justes. Ce bonus de 20 % des voix est forcément louche, ou stupéfiant, surtout en dernière minute.
L’honnêteté journalistique nous oblige à dire que Trump a encouragé ses troupes à voter « normalement », plus dans les urnes ou par voie électronique (politique sanitaire oblige, 100 millions d’Américains ont voté électroniquement sur 216 millions d’appelés) que par courrier, car il sait depuis longtemps que ce mode de vote peut donner lieu à de la fraude.
A-t-il alors anticipé le coup de Trafalgar des démocrates, qui seraient tombés dans son piège, ou a-t-il été lui-même piégé par une arnaque grossière des démocrates ? La justice nous le dira, comté par comté, si les procureurs s’emparent de ces affaires, car elles concernent au moins cinq États et 500 comtés (il y en a 67 pour la seule Pennsylvanie, 159 en Géorgie, 83 dans Michigan, 72 dans le Wisconsin, 100 en Caroline du Nord, 15 en Arizona et 16 dans le Nevada). Et puis, au-dessus, il y a évidemment la Cour suprême, qui a été saisie. Mais on voit que l’annonce de Durpaire ne tient pas.
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