La fraude du camp Biden est massive, le monde entier peut la voir, les exemples abondent, les preuves s’accumulent, mais les grandes chaînes US ferment les yeux, sur ordre du pouvoir profond qui organise depuis le premier jour de son élection en novembre 2016 la lutte anti-Trump. Et les démocrates ne sont pas seuls dans le coup : même des républicains s’y sont mis !
Il n’est pas certain que cette stratégie d’aveuglement et de désinformation volontaires leur serve. Dans le système américain ultra judiciarisé, la justice peut tenir le choc face à un coup de Trafalgar. De plus, la défiance envers les médias mainstream va encore monter d’un cran. Peut-elle aller plus haut ?
Sur le Net, les partisans de Trump et plus généralement de l’honnêteté électorale se déchaînent. Et le Président ne lâche pas le steak : lors d’une conférence de presse donnée à la Maison-Blanche, il a déclaré aux journalistes :
« Si vous comptez les votes légaux, je gagne facilement. Si vous comptez les votes illégaux, ils peuvent essayer de nous voler l’élection... Malgré l’interférence, jamais vue dans une élection, des grands médias, du monde des affaires et des géants de la tech, nous avons gagné avec des scores historiques et les sondeurs se sont délibérément trompés... Il n’y a pas eu la vague bleue annoncée... Nous ne pouvons permettre à personne de museler nos électeurs et de fabriquer les résultats... J’ai le sentiment que la justice devra trancher en fin de compte. »
USA : Les chaines ABC, NBC, CBS et MSNBC ont interrompu l'allocution de Donald #Trump alors que celui-ci présentait les cas de fraude électorale. Les journalistes prétendent "être obligés de rectifier le @POTUS". #ElectionResults2020 #elections #Elections2020 #Biden pic.twitter.com/Gd4vMvjXph
— Fide News (@Fide_News) November 6, 2020
Vendredi 6 novembre, trois jours après le vote qui s’est déroulé sous trois formes (électronique, physique et par correspondance), tous les bulletins n’ont pas encore été dépouillés par les deux parties.
Les États de Pennsylvanie, de Géorgie et de Caroline du Nord n’ont pas rendu leur verdict (l’Arizona et le Nevada comptent moins), et le camp Biden se pose des questions, car ce ne sont pas les démocrates qui ont fraudé, ce sont les organisateurs du putsch démocrate. Quant aux États du Wisconsin et du Michigan, la fraude y est tellement énorme que la la justice va probablement y mettre son nez.
Morale géométrie variable incurable : des sondages malhonnêtes , une presse acharnée dénigrant l’un autant qu’elle ménage l’autre ,des manifestations ayant contesté la légitimité du président dés le jour d’avant sa prestation de serment étaient eux dignes de la vieille démocratie https://t.co/3SdynToqKO
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) November 4, 2020
Chose inédite à la télé américaine, réputée pour son sens de la démocratie et du respect de la parole de toutes les parties, la retransmission en direct de la conférence de presse du Président a été coupée par les grands câbles ! Voici la déclaration du présentateur de MSNBC, rapportée par Sputnik :
« Bon, nous voilà encore dans la position inhabituelle de (devoir) non seulement interrompre le président des États-Unis, mais aussi de corriger le président des États-Unis. »
Une censure à la Facebook ! Idem chez NBC News et ABC News, du jamais vu ! Un sacré déni de démocratie qui montre que le camp Biden cherche à passer en force, ce qui ne va pas arranger ses affaires devant la justice. Sputnik rapporte la réaction de CNN :
CNN a elle décidé de ne pas couper le micro à Donald Trump, mais son présentateur vedette Jake Tapper a enchaîné avec une condamnation sans appel du chef de l’État. « Quelle triste nuit pour les États-Unis d’Amérique de voir leur président (...) faussement accuser les gens d’essayer de voler l’élection », a-t-il déclaré, en fustigeant un « tissu de mensonges ».
On le voit, la haine anti-Trump dégouline de tous les organes dépendant du pouvoir profond : Hollywood et ses stars dites de gauche, la presse écrite avec le New York Times en tête, journal de l’axe atlanto-sioniste (comme Le Monde chez nous), les grandes chaînes d’information (ou de désinformation, au choix), le Pentagone anti-russe, et le puissant lobby sioniste qui irrigue toutes ces places fortes. Le monde des affaires, lui, est partagé : Wall Street a profité du boom économique trumpien, mais les grands réseaux des GAFAM ont tout misé sur Biden, le candidat corrompu aux mœurs nauséabondes, jusqu’à mettre leurs réseaux au service du camp démocrate. Le Bien a une drôle de gueule...
Trump est un boxeur, il avait prévu les coups au foie du camp ennemi, et il va répondre par des coups au foie.
Les médias français, eux, ne savent plus sur quel pied danser, malgré leur inclination pro-Biden par esprit antinational. Pour eux, malgré les faits qui crèvent les yeux, c’est Trump le tricheur.
[À LA UNE À 8H] Le président américain Donald Trump a crié jeudi à la fraude, sans la moindre preuve, réaffirmant être vainqueur de la présidentielle en décalage avec les résultats de plus en plus favorables à son adversaire démocrate Joe Biden #AFP (1/5) pic.twitter.com/Qk5eN1rrRQ
— Agence France-Presse (@afpfr) November 6, 2020
Le journalisme « français », dans cette histoire, a sombré. Déjà qu’il n’en restait pas grand-chose avec la soumission à la politique sanitaire destructrice... Voici une inversion accusatoire de toute beauté :
« Il tente le passage en force comme certains avaient prévu »
Bientôt, ce sera Trump le pédophile. Les médias mainstream français ne relayent que du bout des doigts les exemples et preuves de fraude du camp Biden. Et Google efface toute trace de délinquance électorale. Quand on tape « Biden fraude élections », on tombe sur le fameux lapsus de Biden qui se vantait d’avoir organisé le plus vaste système de fraude électorale. Il s’agit là d’un détournement grossier ! Du coup, tous les services de vérification de l’info de nos médias mainstream se mettent en branle pour prouver que c’est Trump le tricheur... Plus c’est gros, plus ça passe, disait Goebbels, qui n’a jamais été aussi actuel !
France Info, quatre jours avant le vote, minimisait la possibilité de la fraude lors du vote par correspondance :
« Pour résumer : contrairement aux déclarations du président américain, pas de risque de fraude massive. Mais de nombreux obstacles pourraient semer le doute sur le nom du vainqueur, au moins dans les premières heures après la fermeture des bureaux de vote. »
Cela n’a pas empêché le bourrage d’urnes par les démocrates, qui est devenu un mème sur Internet.
Fraude en direct par les démocrates ! #Trump #election #FoxNews @FoxNews @seanhanity @TuckerCarlson @dbongino pic.twitter.com/DVlHK7BSvO
— lolo (@lolofrench13) November 6, 2020
Même la correspondante des chaines TV, pourtant fana d'Obama & de Macron (elle au moins elle ne s'en cache pas), s'étonne des "irrégularités" du vote par correspondance...
La fraude n'a pas été massive, elle a été colossale ! Et presse & sondeurs en ont été les complices actifs. pic.twitter.com/vX5vws4bJo— Patrick Edery (@patrick_edery) November 5, 2020