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JACQUES ATTALI, prophète du Nouvel Ordre Mondial

Jacques Attali a été, comme on le sait, l’éminence grise du président Mitterrand dans les années 80. Ce qu’on ne sait pas, c’est quelle place il occupait exactement dans le système de pouvoir de l’Elysée. Son grand ami Elle Wiesel déclarait : "nous nous voyons chaque fois que je suis reçu par le président Mitterrand puisqu’il faut passer par son bureau pour entrer dans celui de son patron… Mes rapports avec lui sont excellents ». Attali était donc l’incontournable censeur qu’il fallait convaincre pour avoir le droit à un entretien avec le président, et ceci, en plus d’être le chef d’orchestre de la politique mitterrandienne.

CONVICTIONS POLITIQUES

Il avait commencé à exprimer ses convictions politiques radicales dès les années 70. Dans Économie de l’utopie, paru en 1974, il explique que « seule la stratégie économique chinoise est le modèle à suivre. (...) Celle-ci est basée sur la propriété collective des moyens de production, sur l’égalitarisme économique... ». En 1977, il publie un livre prophétique où il applique cette « économie de l’utopie » à la France.

Dans La nouvelle économie française Attali annonce que « quand commencera le XXIe siècle, la France sera devenue une filiale des États-Unis d’Amérique ou la matrice d’une nouvelle forme de progrès. »
Ces deux livres constituent la source théorique de la politique « hyper-socialiste », de nationalisation et de développement de l’État providence, menée au début du premier mandat de Mitterrand. C’est au cours de ces quelques années que sont mises en pratique, les convictions profondes de Jacques Attali. Alors qu’on aurait pu y voir, simplement, l’échec flagrant d’une politique anachronique, la France servait, en fait, de cadre expérimental, et le peuple français de cobaye, à l’instauration, quelques décennies plus tard, du nouvel ordre mondial socialiste. La stratégie d’Attali de faire jouer à la France le rôle de matrice socialiste était un leurre. Il savait pertinemment qu’il orchestrait, sous contrôle des autorités internationales, le sacrifice de la France, à titre expérimental, mais aussi afin d’accélérer son déclin économique, politique et culturel. À la fin des années 70, la France avait encore un poids et une influence trop importants. Son âme survivait sur les décombres de l’esprit patriotique gaullien. La crise de Mai 68, déclenchée et amplifiée par les services secrets étasuniens en réponse directe aux velléités d’indépendance monétaire de De Gaulle (qui voulait convertir ses dollars en or, et briser ainsi l’hégémonie des États-Unis), n’avait pas réussi à briser suffisamment l’orgueil français. Il fallait une crise économique structurelle pour mettre la France à genoux. Le tandem Attali-Mitterrand s’y employa. Grâce au désastre économique qu’ils ont provoqué, la France pouvait alors être intégrée, très modestement, sans exigence excessive, dans une Union Européenne libérale parfaitement alignée avec les États-Unis.

LA PHASE CAPITALISTE DOIT
ALLER JUSQU’À SON TERME,
AFIN DE DISSOUDRE TOUTES LES
STRUCTURES TRADITIONNELLES.

Dans le domaine socioculturel, on peut dire d’Attali qu’il est freudo-marxiste. Sa vision des phénomènes sociaux s’inspire directement de Wilhelm Reich qui fut le premier à réaliser une synthèse de Freud et de Marx. Dans « l’économie sexuelle » de Reich, « la psychanalyse est la mère, la sociologie est le père ». Bien qu’Attali se dise croyant, ce que nous développerons un peu plus loin, il considère, comme Reich, qu’il faut laisser libre court à la sexualité naturelle, qu’il encourage même en prédisant la banalisation de toutes les déviances sexuelles. Il anticipe par exemple des relations impliquant des adultes et des « dommages d’enfants ». Attali, tout comme Reich, sait que la licence sexuelle qu’il prône est une arme de dissolution puissante pour s’attaquer à la cellule familiale, au sentiment national, et à la sensibilité mystique. Reich a écrit : « Une organisation naturelle de la vie sexuelle sonnerait le glas de la sensibilité mystique sous toutes ses formes ».

HISTOIRE DU FUTUR

Attali dissimule difficilement sa conception néo-marxiste du système socio-économique idéal. Même s’il continue à invoquer des arguments libéraux par pragmatisme (notamment dans le récent rapport de la Commission pour la libération de la croissance française, qu’il a lui-même dirigé), conscient que la phase capitaliste doit aller jusqu’à son terme, afin de dissoudre toutes les structures traditionnelles. Parallèlement, il révèle, tout de même, « sa claire vision » de l’avenir et « son » plan de manière explicite : suppression des frontières, mélange des peuples et des civilisations, déracinement universel, instauration d’un gouvernement mondial.

Dans l’émission Riposte sur France 5, il annonce presque ouvertement la grande révolution communiste planétaire : « Je suis entièrement d’accord avec Besancenot (porte-parole de la Ligue Communiste Révolutionnaire) s’il était candidat au gouvernement mondial, j’en ai déjà débattu avec lui, son programme est certainement tout à fait respectable, mais il ne peut pas être appliqué autrement qu’à l’échelle mondiale. »

Dans son dictionnaire du XXIe siècle, il parle d’« éveiller une conscience de l’unité planétaire », formule très nouvel âge qui cache en fait simplement une volonté d’internationalisation, d’uniformisation et de contrôle global. Il invite d’ailleurs clairement chaque « sédentaire à faire table rase du passé, à oublier ses traditions ancestrales, à rejeter tout ce qui pouvait le lier à sa communauté d’origine, qu’elle soit nationale, ethnique ou spirituelle. »

Dans Une brève histoire de l’avenir, il précise : « Tout humain deviendra un être sans père ni mère, sans antécédents, sans racines ni postérité, nomade absolu. » Voici un résumé de sa vision du futur.

« Les forces du marché prennent en main la planète. Ultime expression du triomphe de l’individualisme (.,.), l’argent en finira avec tout ce qui peut lui nuire, y compris les États, qu’il détruira peu à peu. Même les États-Unis d’Amérique succomberont, vers 2035, à la suite d’une très longue bataille, en plein milieu d’une grave crise écologique. Vaincus par les marchés financiers et la puissance des grandes entreprises, épuisés financièrement et politiquement, les États-Unis cesseront de gérer la planète, restant toutefois la puissance majeure d’un monde devenu provisoirement polycentrique.

Puis, vers 2050, le marché, devenu la loi unique du monde, formera ce que je nommerai l’hyperempire, insaisissable et planétaire, créateur de richesses marchandes et d’aliénations nouvelles, de fortunes et de misères extrêmes, la nature y sera mise en coupes réglées ; tout sera privé, y compris l’armée, la police et la justice. L’être humain sera alors harnaché de prothèses, avant de devenir lui-même un artefact, vendu en série à des consommateurs devenant eux-mêmes artefacts. De nouveaux objets de consommation majeurs apparaîtront, que je nomme des surveilleurs, permettant de mesurer et contrôler la conformité aux normes : chacun deviendra son propre médecin, professeur, contrôleur. L’auto-surveillance deviendra la forme extrême de la liberté et la peur de ne pas satisfaire à des normes en sera la limite. Quiconque voudra ne pas faire connaître ses appartenances, ses mœurs, son état de santé ou son niveau de formation, sera a priori suspect. Des compagnies d’assurances, devenues régulateurs du monde, y fixeront les normes auxquelles devront se plier les États, les entreprises et les particuliers. Les ressources se feront plus rares, les robots plus nombreux.

Chacun se verra proposé d’être auto-réparé, puis de produire des prothèses de lui-même, et enfin d’être clone. L’avènement de l’hyperempire, dirigé par des hypernomades au détriment des sédentaires, conduira chacun à devenir le rival de tous. On se battra pour le pétrole, pour l’eau, pour conserver un territoire, pour le quitter, pour imposer une foi, pour en combattre une autre, pour détruire l’Occident, pour faire régner ses valeurs. Des dictatures militaires, confondant armées et polices prendront le pouvoir. Une guerre plus meurtrière que les précédentes, un hyperconflit cristallisant tous les autres, pourrait éclater, anéantissant l’humanité.

À moins que, vers 2060 au plus tôt, de nouvelles forces déjà à l’œuvre aujourd’hui prennent le pouvoir mondialement, sous l’empire d’une nécessité écologique, éthique, économique, culturelle et politique et qu’elles rendent possible la naissance d’une intelligence universelle, mettant en commun les capacités créatrices de tous les êtres humains, pour les dépasser. Ce sera l’avènement de l’hyperdémocratie. » Et, bien qu’il ne le précise pas encore pour l’instant, l’instauration d’un communisme global dirigé par une oligarchie théocratique, à la tête de laquelle trônera le nouveau messie, ou plutôt l’antéchrist.

Cette brève histoire de l’avenir est éloquente. Attali annonce officiellement la création du Nouvel Ordre Mondial. Ce qu’il précise par ailleurs, c’est que ce Nouvel Ordre Mondial doit pouvoir exercer, le cas échéant, une domination implacable. Ce qui a le mérite d’être clair quant à la nature totalitaire du nouveau régime planétaire.

Les questions que l’on est en droit de se poser sont les suivantes : D’où vient l’inspiration de celui qui avait prévu, comme il le rappelle fièrement, le basculement géopolitique du monde vers le Pacifique, l’instabilité financière du capitalisme, l’émergence des bulles financières et plus récemment l’apparition du tsunami financier, les enjeux du climat, l’avènement du téléphone portable et d’Internet, entre autres « prémonitions » ?

D’où lui vient cette claire voyance prophétique ? Quelle(s) forces l’animent ? Quels intérêts sert-il fondamentalement ?

Jacques Attali nous donne, lui-même, quelques réponses dans un entretien au Monde des religions. Il explique sa méthode de travail : « En préparant mes livres, je me demande ce que le judaïsme pense sur le sujet. » Issu d’une famille ultra talmudique, il affirme « étudier les textes juifs et voir un maître une fois par mois. (Avec ce Rabbin) chaque année nous abordons un nouveau thème, motivé par mes curiosités d’écrivain. » Il reconnaît donc implicitement que c’est bien l’égrégore judaïque qui l’inspire et qui s’exprime à travers ses prophéties. Dans cet entretien, il explique ses conceptions religieuses et métaphysiques : « Je ne crois pas en une religion particulière : ma foi est abstraite et ma culture est juive ». Cette phrase est la matrice du Nouvel Ordre Mondial sur le plan spirituel, avec tout ce qu’elle contient de mensonge et de contradiction. Elle articule, d’un côté, l’œcuménisme du nouvel âge, qui doit amener à l’établissement d’une seule religion mondiale, dirigée par un messie, reconnu par tous (ce que Jan Van Rickenborg avait annoncé, il y a déjà longtemps dans Démasqué), de l’autre, l’idée que le judaïsme n’est plus une religion concrète, matérialiste, ni même exclusiviste. Attali oppose sa foi abstraite et sa culture juive, comme si le judaïsme n’avait aujourd’hui plus rien de religieux.

Dans un discours sur Les juifs en France, Attali dit pourtant, au sujet du monothéisme juif, que « monothéisme et juif c’est la même chose, puisque le monothéisme est d’origine juive ». Cette formule lapidaire est claire, pour lui, les trois grandes religions monothéistes sont juives. Du christianisme il dit : « Pour moi Jésus est un très grand prophète juif. Il développe et met au jour ce qui existe déjà dans la théologie juive : l’amour de son prochain et l’universalité de Dieu. On peut donc être pleinement juif et suivre la pensée de Jésus. Au fond, la seule chose qui distingue vraiment les juifs des chrétiens, leurs héritiers, c’est que pour les juifs, « Il » viendra, et que pour les chrétiens, « Il » reviendra. » Il évoque une autre différence majeure, qu’il feint de regretter, alors que c’est ce qui a assuré la force du judaïsme jusqu’à aujourd’hui sur le plan matériel : « Dans le judaïsme, le scandale, c’est la pauvreté. Dans le catholicisme, le scandale c’est la richesse. » Il sait bien que si, je le cite, « les firmes essentielles d’aujourd’hui sont des propriétés juives » (Les Juifs, le monde et l’argent) c’est grâce à cette divergence dogmatique.

ISLAM, BRAS ARMÉ DU JUDAÏSME

En ce qui concerne l’islam, Attali est particulièrement élogieux : « L’islam est d’une certaine façon la religion parfaite, dans la mesure ou c’est une religion sans histoire, transcendante et universelle, dans l’abstraction totale, avec un Dieu dénué du moindre anthropomorphisme. Une abstraction du judaïsme et du christianisme de l’époque. Les rabbins ont tout de suite accepté l’islam comme un monothéisme, le plus pur, même, disait Maimonide. » Avec ce plaidoyer, Attali nous montre la place centrale que l’islam va jouer dans l’instauration de l’ordre mondial. Dans un premier temps, l’islam, unanimement admise comme grande religion, va servir de moteur migratoire, et donc de vecteur de dissolution des anciennes structures. En Europe, par exemple, la question de l’intégration de la Turquie en est la parfaite illustration. Attali y est évidemment très favorable notamment parce que, selon lui, « La France, en raison de ses choix géopolitiques antérieurs, est une nation musulmane ».

L’Islam doit permettre de faire disparaître les vieilles communautés nationales de l’Europe, de brouiller les sentiments identitaires et de déraciner moralement la population de souche. Dans Europe(s), en 1994, Attali avait déjà prévenu : « Il faudrait que l’Europe s’accepte non plus comme un club chrétien, mais comme un espace sans frontières, depuis l’Irlande jusqu’à la Turquie, du Portugal à la Russie, de l’Albanie à la Suède, qu’elle privilégie culturellement le nomade par rapport au sédentaire, la tolérance par rapport à l’identité, bref la multi-appartenance par rapport à l’exclusion. » Si Attali fait l’apologie d’un islam moderne, c’est qu’il sait parfaitement le rôle qui lui est conféré pour aujourd’hui et pour demain. Il sait que fondamentalement, l’islam ne reconnaît de gouvernement que théocratique, et que pour lui le monde est un vaste champ de conquête, un territoire de la guerre, où l’objectif est d’instituer des républiques islamiques. C’est cette radicalité qui sera instrumentalisée lors de la venue du faux messie universel. La nouvelle religion mondiale disposera alors de la force inquisitrice de l’islam pour imposer son pouvoir totalitaire.

MEDIUM DE L’AGE NOIR

En parfaite connaissance de cause, Jacques Attali, expose et impose « le plan » des autorités planétaires. Sans scrupules, semble-il, il organise la chute de la France dans l’âge noir. Lorsque son Dictionnaire du XXIe siècle fait miroiter une paix universelle, c’est pour mieux faire accepter les nouvelles épidémies, la technologie noire (bio et nano), l’artificialisation de l’environnement, la guerre totale contre la conscience.

EN PARFAITE CONNAISSANCE
DE CAUSE, JACQUES ATTALI,
EXPOSE ET IMPOSE « LE PLAN »
DES AUTORITÉS PLANÉTAIRES.

Lorsqu’Attali « invente », ou plutôt exprime et ordonne la stratégie de la France pour s’adapter à l’évolution du monde, le citoyen lambda est tenté de croire en sa bonne volonté, en sa loyale intention de défendre l’intérêt de la France avant tout. Malheureusement, on commence sérieusement à en douter lorsque l’on apprend que ses points de vue sont opposés lorsqu’il est question d’Israël. Pour la France, il prône l’ouverture des frontières et le métissage mais, en ce qui concerne Israël, il se dit ouvertement inquiet de la dilution de la judaïté. Nul doute qu’il est favorable à l’affirmation et au renforcement de l’influence des juifs dans le monde, ce qui est évidemment incompatible avec la défense des intérêts de la France.

Dans une interview récente dans laquelle on interrogeait Attali sur le fait d’être un surdoué, il raconte une expérience marquante qu’il a vécue à l’École Polytechnique. Il passait une épreuve de maths de 6 heures. Au bout d’une demi-heure environ, la difficulté était telle que personne ne pouvait même commencer à rédiger une ligne. Alors tout le monde s’est tourné vers lui, il a senti « un basculement » intérieur, et tout lui est apparu clairement. Il a obtenu la note de 19/20, tous les autres ont eu moins de 3/20. C’est à partir de ce moment précis qu’il a commencé à ressentir une réelle supériorité par rapport aux autres. Du point de vue occulte - il ne le dit pas évidemment - c’est le moment où il est entré sous le contrôle total de son être aurai, qui devait, dès lors, lui servir d’intermédiaire entre la haute hiérarchie judaïque et sa propre personnalité. C’est à ce moment précis de doute et de solitude qu’il a définitivement choisi de signer le pacte qui le condamnerait à servir inlassablement son égrégore, en échange du pouvoir et de la reconnaissance qui sont les siens. Il est donc sorti Major de Polytechnique obtenant des résultats sans précédent. Sa carrière était désormais toute tracée, sous la bénédiction des intelligences planétaires et des lobbies les plus influents de la planète. Il est donc devenu depuis une sorte de médium des puissances occultes qui régissent le plan terrestre. Il accompagne le mouvement de décadence en toute connaissance de cause.

Lorsque son dernier rapport comporte 316 décisions, c’est plus qu’un clin d’œil à sa communauté. L’hébreu se lisant de droite à gauche, il faut comprendre 613, comme les 613 articles que compte le Talmud, ou plus exactement comme les 316 commandements donnés à la France par l’ordre mondial. Les « gentils français » disposant d’un peu de pouvoir, et qui pourraient y voir quelque chose de choquant, savent maintenant, pour la plupart, que c’est très sérieux et non négociable. Le gouvernement français, tout comme la junte birmane, savent à quoi s’en tenir. Attali, en bon talmudiste, n’est pas dupe.

Attali est chargé de veiller à ce que la prison soit bien gardée. Alors, contrairement à ce que déclare Jean Pierre Elkabbach, le président d’Europe 1, Attali n’est pas « le prophète qui nous donne une chance de nous en sortir ». Il est le médium de l’Age Noir qui, par ses visions hypnotiques, mène sciemment les masses vers leur perdition, sur l’autel de son dieu unique, bel et bien exclusif.

 






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1 Commentaire

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  • #6069
    Le 19 mars 2011 à 13:59 par mister cocktail
    JACQUES ATTALI, prophète du Nouvel Ordre Mondial

    Vous connaissez le proverbe : "Chassez le naturel, il revient à vélo !"

    - A lire sur le site Slate.fr - dont il est un des co-fondateurs - toutes les tragédies (ici, celle qui frappe le Japon) sont utiles à notre apôtre du Nouvel Ordre Mondial pour vendre au public sa sauce d’une gouvernance unique, seul rempart contre tous les dangers qui guettent ces êtres humains que ce bon samaritain - et les siens - aime de tout son cœur !

    - En bonus, sur la gauche de la page web, une photographie sur laquelle on voit le bonhomme dont le visage s’éclaire d’un sourire radieux... celui du chat qui vient d’avaler le canari !

     

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