« Alors ça y est, on est libres, demandent 70 millions de Français, dont 3 millions d’étrangers et clandestins ?
– Pas encore, répondent le gouvernement, le Sénat et les médias. Attendez encore un peu, qu’on continue à jouir de la situation, bande de sous-hommes.
– Oh, ce n’est pas gentil de nous traiter de “sous-hommes”, vous n’êtes pas des surhommes et on n’est pas en régime nazi !
– Oh que si, bande de nazes, vous êtes nos esclaves obéissants, vous n’avez pas une once de révolte en vous, on a gagné, on peut faire de vous ce qu’on veut. Des travailleurs, des chômeurs, des confinés et des euthanasiés, quand vous ne servez plus à rien.
– Ah ben merde, on dirait les principes d’Auschwitz, c’est pas un peu bizarre que ça vienne de démocrates comme vous ?
– Ah ah ah, bande de sous-hommes cons comme la lune, on n’est démocrates que parce qu’on vous le serine dans nos médias de merde ! »

C’était une conversation enregistrée par inadvertance près des centres de pouvoir (le 39, rue Broca et le 16, rue Cadet, pas l’Assemblée, Matignon, le Sénat et l’Élysée). Si cette conversation n’est pas un fake, alors ça craint ! Il y a vraiment un complot ! Il faudrait qu’on demande au service de vérification des infos du Monde, les Décodeurs, et à la patate du CRIF, là, on a oublié son nom, merde, ah oui, Rudy. Eux doivent forcément savoir, c’est quand même des métastases du ministère de la Vérité vraie !

En bref a disparu des radars dimanche dernier, et surgit aujourd’hui au milieu d’un champ de navets, un mercredi. C’est n"importe quoi, on vous le concède. On vous doit une explication : à cause des dégâts psychologiques créés par le confinement et la dissonance cognitive produite par la lutte entre Macron et Philippe, on a complètement oublié la rubrique !

On a profité du confinement pour aiguiser nos concepts et précipiter un peu la révolution qui se fait trop attendre. La colère nationale est en train de se dégeler et encore, tous les Français ne mesurent pas totalement le mal qui leur a été fait. Certains trouvent presque normales ou naturelles les frappes terroristes récentes, la séquence (pseudo) islamiste de 2015-2016, la séquence policière répressive de 2018-2019 et la violente séquence antichrétienne de 2019 (voir le bûcher de Notre-Dame en avril). Dans d’autres pays, il leur en faut moins pour prendre les armes.

Attention, on n’est pas en train d’appeler les Français – et surtout les chasseurs – à prendre les armes contre un gouvernement corrompu jusqu’à l’os, vendu à l’étranger et destructeur de notre beau pays, non, on souhaite à tous ces Véran, Macron, Kohler, Philippe, Salomon, Schiappa, Darmanin, Griveaux, de mourir de leur belle mort, sans violence, tout en douceur, par exemple avec un petit shoot de Rivotril, comme dans les Ehpad...

Personne ne sait la forme que va prendre la contestation après la séquence du terrorisme sanitaire (mars-juillet 2020) destiné à écraser les derniers foyers – pardon, clusters – de résistance. Mais nous, on sait une chose, c’est qu’on ne va pas lâcher la grappe du pouvoir profond, et il le sait.
Franchement, on vous doit la vérité : toutes les lois de merde d’exception qui vous tombent sur la gueule en ce moment, à vous compatriotes, c’est un peu à cause de nous. C’est aussi à cause des Gilets jaunes, qui ont filé la coulante au pouvoir pendant des mois. Le truc du pouvoir, c’est toujours de punir la partie passive ou flippée de la population pour les exactions de la minorité active. En gros, comme sous l’occupation allemande, flinguer 100 civils pour 1 acte de résistance. Ainsi, on compte retourner la population contre ceux qui la défendent vraiment. Et ça marche ! Des milliers de Français en 1942 ou en 2020 ont dénoncé leurs compatriotes qui marchaient pas droit, ceux qui partaient dans les maquis ou ceux qui se déconfinaient en douce. Il faut donc compter avec ces collabos, c’est le lot de l’Histoire.

Nous, les juifs communistes nationalistes d’aujourd’hui, on a l’habitude de ces coups de balance, et on n’en veut pas aux collabos qui passent leur temps à chier dans leur froc et à appeler la Kommandantur au 01 42 17 11 11. On les comprend, vivre en état de soumission permanente, c’est la diarrhée assurée du matin au soir ! Cependant, au lieu de dénoncer leurs compatriotes, ces chiasseux devraient plutôt apprendre à se respecter, à vivre sans couches-culotte et à découvrir les avantages du courage.

Selon nous, la première cause de l’épidémie de diarrhée, c’est bien la peur. Et comment lutter contre la peur ? Avec de l’information (car le déficit informationnel est à l’origine de toutes les angoisses) et du courage. Car il y a des gens informés qui n’ont aucun courage, regardez Aphatie, ou Duhamel, et inversement, il y a des gens courageux qui ne sont pas informés, par exemple les Gilets jaunes du début. Ils ont mis un certain temps à comprendre pourquoi on leur tapait sur la gueule, ils trouvaient ça injuste, illégitime, amoral, incompréhensible en un mot. Et quand on ne comprend pas, on demande aux flics « mais pourquoi vous nous tapez ? », et ça continue.

Conclusion : une révolution réussie demande de la préparation, du concept et/ou des armes, ce qui est pareil, sauf que les armes en général ça accélère les choses. Sans armes, ou si l’on ne veut pas verser de sang, alors il y a le concept, qui permet de franchir les barrières de l’esprit installées par les gardiens de l’ordre bourgeois, de gagner les têtes et de changer le rapport des forces. La masse critique est atteinte quand une partie suffisante de la population est consciente de la domination, de la répression et des coups tordus. Alors il n’est pas forcément besoin de verser de sang, le pouvoir sans fondations populaires tombe tout seul. Actuellement, on n’y est pas encore, mais ça monte. Et ça monte par paliers, par à-coups, chaque séquence terroriste paralysant la partie flippée de la population, mais ouvrant les yeux des autres et déclenchant le besoin d’action. La politique terroriste du pouvoir profond planqué derrière le pouvoir visible est donc à double tranchant.

En ce moment, ça doit mouliner grave du côté de la DGSI pour travailler sur les scénarios de l’après-crise ou de l’après-arnaque. Du côté de la DGSE, on recrute, mais on ne tombe que sur des tocards :

Il est loin le temps des agents doubles infiltrés par Moscou dans les universités britanniques qui grimpaient dans la hiérarchie sociale et accédaient parfois à des postes stratégiques, dont celui d’espion de haute volée au MI6. Vous connaissez l’histoire de Kim Philby ?

Apparemment, les Russes n’ont plus besoin d’infiltrer des étudiants chez nous ou de les former, le niveau scolaire est tel que le renseignement français risque de devenir rapidement inopérant. Et quand on se tape les topos ou les résumés de ces superprévisionnistes, parfois, on a l’impression de lire du BHL ou du Rudy Reichstadt. Le problème de la France, c’est pas le communisme, c’est le sionisme !

Je suis Zemmour

Justement cette semaine était la semaine du martyr du juif très connu, Éric Zemmour. Pour ceux qui n’étaient pas là ou en réa, une racaille l’a insulté dans la rue, lui proposant « un petit doigt dans le cul » alors que Zemmour n’est pas pédé et en lui crachant dessus, ce qui ne se fait pas, surtout sur un juif, car la loi française est très sévère avec l’antisémitisme. Peu importe si Zemmour s’en prend aux Rabzas et aux musulmans du matin au soir, c’est comme ça, on n’insulte pas un juif même s’il vous insulte chaque jour à la télé, dans la presse ou à la radio. Ne posez pas de questions, c’est comme ça et pas autrement, y a pas de « mais ».

Au lieu de laisser sa vidéo faire le buzz sur les RS, et aussi chez nous puisque le papier sur l’agression horrible a fait près de 6 millions de vues, Mehdi, puisque le méchant s’appelle Mehdi, a cru bon de se vanter. Toutes les polices lui sont tombées dessus, tout le Système l’a grondé, Macron en premier, et maintenant, la justice le poursuit. On pense qu’il va être jugé et pendu à Jérusalem, comme Eichmann, le mec qui a eu la malchance de porter le prénom du Führer et qui a dégusté à sa place, alors qu’il ne faisait que gérer la SNCF allemande.

Du coup, Zemmour boit du petit lait (casher), comme Finky quand il s’est fait traiter de sioniste de merde. « Sioniste » suffisait, « de merde » était en trop. Pareil pour le jeune Mehdi, il suffisait de dire à Zemmour : « alors, on est moins virulent dans la rue, hein ? », et ça montrait toute la lâcheté des propos incendiaires tenus dans les médias complaisants sionistes et racistes où aucune racaille n’est jamais invitée pour répondre, même si c’est à coups de poings. Eh ouais, tout le monde n’a pas les mots.

En même temps, on peut avoir les deux : les mots et les poings. Les poings et les mots.
Merde, ça en ferait un beau titre pour le prochain bouquin de Soral ! Vite, déposons-le à l’INPI !