La ville de Montréal, avec la complicité du gouvernement québécois, met en branle une politique d’accueil des migrants qui risque de menacer la sécurité publique et de déclencher un véritable exode de sa population autochtone.
Des milliers de migrants prennent d’assaut la métropole québécoise et le stade olympique a dû être réquisitionné afin de loger temporairement une partie de cette déferlante. D’autres sites temporaires sont mis en place et plusieurs observateurs s’entendent pour dire que de véritables zones de non-droit pourraient résulter de la mise en place de camps pour migrants illégaux en attente d’une régularisation de leur situation.
Comme à l’accoutumée, la population locale n’est pas informée à propos de tout ce mouvement de troupes et sera mise devant le fait accompli une fois que cette situation d’exception deviendra la norme. Les forces armées canadiennes ont mobilisé des moyens considérables afin de dresser à Saint-Bernard-de-Lacolle, au sud de Montréal, un immense camp temporaire destiné à héberger la horde de demandeurs d’un statut de réfugié qui déferle en provenance des Caraïbes. Ce campement de fortune a été conçu pour loger autour de 500 demandeurs d’asile et il est à craindre que le site prenne de l’expansion, au vu des circonstances. Manifestement, les plus hautes autorités ont autorisé des milliers de migrants illégaux à pénétrer au cœur du territoire québécois, alors qu’il aurait fallu les expulser manu militari sans autre forme de procès.