C’est marrant, ça fait penser aux hommes : si on ne dit pas non maintenant, bientôt c’est notre tour.

Bravo, les éleveurs.

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Un troupeau non "pucé" est un troupeau à risque... les teignes et autres tiques de Bruxelles en ont décidé ainsi.
Bah, ces histoires d’insectes hématophages vont finir par nous rendre "dengue" !
Nous, le véritable troupeau en fait, serions donc "à risque"... bon d’accord mais pour qui ?
Mais l’Empire, qui ne refuse jamais une approche scientifique, va nous apporter la seule solution prophylactique en pareil cas : "implanter" l’intégralité de ses membres et laisser paître les moutons en paix. La raison l’impose, quand même !

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Navrant ! C’est comme l’histoire du mec qui n’a pas voulu traiter sa vigne avec certains pesticides. Évidemment qu’il y a là le fameux "nouvel ordre mondial" et sa vision américanisée. Ils ne pourront pas compter sur l’état et sa justice. Peut-être sur certaines bonnes volontés individuelles...

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Attention a ne pas juger trop vite, en voyant la puce comme un outil du NOM mis en oeuvre par la meute du grand méchant loup. Elle a d’ailleurs été initiée et mise en oeuvre par la recherche agronomique française si je ne me trompe. L’appréhension de cette problématique nécessite un peu de culture historique, technique et stratégique agricole et alimentaire. Elle a été adoptée en masse, après avoir été vivement rejetée par la profession agricole, à la suite de la crise la vache folle. Ou sont les animaux qui ont mangées ces saloperies de farines, pour que je ne les mange pas ? Eleveur je défends l’idée que chaque animale à destination de nos assiettes est sa carte d’identité.

la puce RFID est uniquement un système de lecture automatique de l’identité de l’animale face à un capteur. l’éleveur connaît son troupeau mais identifier 2 brebis entre elles, pas si simple. Je suis éleveur et j’en ai besoin car elle me facilite énormément le suivi de mon élevage. Nos vaches ont toutes un nom et nous les reconnaissons, mais je vous mets au défi de reconnaître individuellement avec certitude 100 animaux qui se ressemblent comme 2 gouttes d’eau.

L’identification du bétail est d’abord d’ordre sanitaire. Elle permet d’organiser toutes les mesures de protection et de prévention sanitaire du cheptel français face aux grandes maladies contagieuses (la tuberculose est la plus symbolique) et aussi de protéger le consommateur d’intoxication ou de pandémie. L’identification individuel des animaux n’est pas faite selon la volonté du grand inquisiteur, mais un outil, certes un peu moderne, au service d’un éleveur, d’une filière, d’un pays de consommateur pour organiser au mieux la production et la commercialisation d’aliments d’origine animale sain. Je suis heureux qu’un consommateur puisse savoir que ce qu’il mange vient de mon exploitation, ou je mets tout en oeuvre pour produire le plus sain possible. A ce propos nos vaches ne se nourrissent qu’au pâturage avec un petit peu de foin. L’aliment est exceptionnel et certaines ne l’auront jamais vue de toute leur vie chez nous.

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QUEL HORREUR, mon Dieu mais quand allons nous chasser tout ces dictateurs

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La puce électronique est demandée ici en Amérique par de plus en plus d’humains. La ville d’Atlanta en offre depuis 40 ans environ, pour permettre aux mères de retrouver leurs enfants qui se perdent dans cet étalement urbain sans centre-ville de plus en plus dangereux. Montréal et Toronto en offrent également, avec moins de succès, par l’entremise de la compagnie Apple, principalement pour rendre immédiatement repérables les vols d’enfants et les kidnappings qui se généralisent du fait de la prédominance des mafias de toute provenance ethnique (c’est la même puce qui sert à repérer les ordinateurs et les téléphones volés). Il n’est pas question de la rendre obligatoire, à cause du grand nombre de sectes religieuses qui l’interdisent. Les Asiatiques comme les Tamouls sont les plus grands amateurs de ce genre de gadget.

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Dans le temps,les paysans auraient sortis leurs fusils.

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Justice pour les citoyens : La maladie des morgellons, c’est maintenant prouvé, est provoquée par ces épandages, également par la nanotechnologie, c’est donc de « crime contre l’humanité » dont nous sommes en train de parler, et d’un crime dont les gouvernants, s’ils n’en sont pas les auteurs, pour le moins en sont les complices directs ! complices d’un crime qui ne concerne pas seulement les humains : pout le monde animal et végétal est menacé. On trouve déjà des mollusques marins affectés ! Cela signifie que toute notre alimentation nous empoisonne peu à peu !
La maladie des margellons concerne surtout les Américains mais se répand dans le monde entier.
Il est plus que temps de réagir en s’opposant au Traité Transatlantique.

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Les méthodologies existantes permettant d’évaluer les risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement des produits issus des nanotechnologies sont-elles appropriées ?
En guise de conclusion, le CSRSEN (Comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux) de la Commission européenne a exprimé les avis suivants :
• Bien que les méthodes existantes soient appropriées pour évaluer bon nombre des risques associés aux produits et processus impliquant des nanoparticules, il se peut qu’elles ne soient pas suffisantes pour aborder tous les risques. Par ailleurs, les méthodes existantes utilisées pour l’évaluation de l’exposition environnementale ne sont pas nécessairement appropriées. Dès lors, les procédures actuelles d’évaluation du risque doivent être adaptées pour les nanoparticules.
• Les méthodologies existantes doivent être adaptées ou de nouvelles développées pour être capable de mieux déterminer les propriétés physiques et chimiques des nanoparticules, mesurer l’exposition à ces nanoparticules, évaluer leur danger potentiel et détecter leur déplacement à l’intérieur des systèmes vivants, que ce soit dans les tissus humains ou les écosystèmes.
• En général, et malgré le nombre sans cesse croissant de publications scientifiques qui traitent de la nanoscience et des nanotechnologies, les données et les connaissances scientifiques relatives aux caractéristiques des nanoparticules, leur détection et leur mesure, leur comportement au sein des systèmes vivants, et tous les aspects de leur nocivité potentielle pour l’homme et l’environnement, sont insuffisantes pour que des évaluations de risque satisfaisantes pour l’homme et les écosystèmes soient réalisées.

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Je reste sans voix.
Mais pas sans mot : c’est intolérable et anti démocratique.

Personnellement je ne consomme pas d’autre viande que celle provenant d’animaux non pucés et non vaccinés car j’ai PEUR. Peur de tous leurs vaccins, antibiotiques, alimentation dénaturée...

J’ai visité récemment une chèvrerie "classique" avec la crèche de mon fils : consternant. Certaines chèvres avaient des abcès énormes à la gorge, après avoir interrogé la propriétaire, elle nous a dit que c’était la vaccination qui, chez la plupart des animaux provoquait cela.... "Si ça se guérit ? Pas de souci ! on entaille et donne des antibios !" Et les petits ils sont élevés à quoi ? Au lait de vache en poudre biensûr !"... Et le respect de la Vie ?

À se demander si la volonté de l’Etat est toujours le reflet des citoyens qui ont élu leurs représentants pour le gérer ou bien, ou bien, celle des lobbys des industriels ? Voire pire.

Elisabeth

PS message pour le modérateur : il n’y a pas d’accent sur le "a" de "a priori" car l’expression entière vient du latin.

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