Le sujet sur la Libye commence à 2’33 et se termine à 4’27 :
L’Algérie a pris officiellement position concernant la crise libyenne, en dénonçant la « velléité et l’arrogance » du maréchal Haftar.
Si le théâtre politique algérien ressemble parfois à un bateau ivre, les prises de position d’Alger sur la question libyenne sont marquées par une grande constance, qu’on se situe avant ou après le départ du pouvoir de Bouteflika en avril dernier. La diplomatie algérienne reste marquée par une volonté de non intervention dans les affaires intérieures de ses voisins.
Dans un communiqué rendu public par l’agence de presse officielle (APS), l’Algérie a réagi à la crise libyenne en dénonçant les attaques du maréchal Khalifa Haftar, ce commandant autoproclamé de l’Armée nationale Libyenne (ANL), protégé par les Russes, les Égyptiens et les Émiratis, qui a lancé une offensive générale pour prendre le pouvoir en Libye.
L’Algérie qualifie l’attaque des mercenaires de Haftar « d’agression inattendue » en vue de prendre la capitale Libyenne, Tripoli où siège le Gouvernement d’union nationale (GNA) de Faiz al-Sarraj ; estimant que cette offensive armée constitue « un grave tournant » dans la situation politique et sécuritaire en Libye.
Dans le même sillage, l’Algérie a affirmé que l’arrogance du« putschiste Haftar »s’est heurtée à la farouche résistance des troupes du GNA, le contraignant à revoir ses plans d’attaque.
Lire l’article entier sur mondafrique.com
Un reportage (anti-Haftar) de France 24 qui date du 9 décembre 2019 :