Egalité et Réconciliation
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Ass Diamond

Le nouveau film de Bernamej

Marlon Branleux, inspecteur de la République, confronté aux forces du Mal (Mr Goy), tente de sauver la planète en récupérant les diamants perdus du cul de la Shoah. Film inspiré de faits incontestables, liés à la vie de la survivante Irène Zisblatt. Éros, Chaos, Chutzpos, tout y est !

Avec la participation vocale d’Alain Soral !

 

 

Retrouvez Bernamej sur E&R :

La subversion par le dessin, à découvrir chez Kontre Kulture :

 






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60 Commentaires

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  • #1883851
    Le 21 janvier 2018 à 12:07 par MagnaVeritas
    Ass Diamond

    ça faisait longtemps. Toujours aussi talentueux, le Bernamej, et même plus encore qu’auparavant.

     

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  • #1884120
    Le 21 janvier 2018 à 19:47 par jean Banbois.
    Ass Diamond

    Ananass Diamond : Bernamej amorçe la déconcentration miraculée.
    journal J.Croix

     

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  • #1886039
    Le 24 janvier 2018 à 12:41 par jujube
    Ass Diamond

    Ca fait 10 fois que je le visionne et c’est toujours aussi bon. J’ai vu la photo d’irene, je ne sais pas si elle était aussi moche que dans le film. En tout cas elle a fait de l’argent avec son histoire, incroyable. On entend pas bien ce que dit Mayer habibi ni hitler le marketing fureur. "fock la vermarche", putain tu m’as mis à poil, ass diamond m’a tuer. On rigole mais il y en a toujours qui ne croit pas à la véracité du hoax en stock. S’t’un Orrrrrd !

     

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  • #1886191
    Le 24 janvier 2018 à 16:39 par Anna Nachos
    Ass Diamond

    Ass Diamond est une quenelle inversée dans le fion de la propagande.

     

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  • #1888585
    Le 27 janvier 2018 à 23:09 par LOCOSTE
    Ass Diamond

    Bernamej, au-dessus du cloud, revisite le troussage de l’histoire au travers d’histoires de trous sales. Tel un scaphandrier, il évolue dans les eaux putrides de la supercherie scabreuse. Un goudron de série noire qui vaut son pesant de quenelle.
    " Il a rencontré un mec qui lui a dit : ça c’est pas passé comme çà ! " Dieudonné - Le révisionnisme, spectacle Mahmoud.

     

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  • #1890525
    Le 30 janvier 2018 à 15:48 par Kelgon
    Ass Diamond

    Avant, j’étais moche. Ma vie était un enfer. Puis j’ai connu Bernamej et ma vie a changé. D’un geste je visionne, çà m’amuse. Un coup de dérision et c’est nettoyé. Bernamej, il agit à Donf.

     

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  • #1893029
    Le 2 février 2018 à 23:12 par LM Kree
    Ass Diamond

    Ass Diamond : Irène defake, un cas unique de trou news. Bravo.

     

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  • #1894156
    Le 4 février 2018 à 16:26 par King Of Kalbut
    Ass Diamond

    " Avec Ass Diamond, Bernamej nettoie le trou sage du dôme éthique, la Shoah."
    JF Khan

     

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  • #1894896
    Le 5 février 2018 à 18:01 par Lunconscient
    Ass Diamond

    Au delà de l’envie de se servir d’expériences concentrationnaires diverses pour en faire un évènement essentialiste cathartique, les déportés ont fait de la Shoah une catha strophe, un discours. Espérant donner une solution finale à l’impasse de l’exil, du rejet, au fait de n’être pas un peuple, une voix. Ils annonçaient leur sacrifice, revenaient à dieu pour sauver l’humanité, redevaient purs et effaçaient la mission et le meurtre de Jésus traitre.
    .....
    La mise en scène ayant l’avantage sur la réalité de pouvoir maitriser le scénario et les dénouements. L’impossibilité de se conformer au réel faisant naître le discours de l’impossible. Ne comprenant pas que tromper l’autre s’était se tromper soi-même. L’opacité rendant plus que difficile le lien social et le sens de l’acte par lequel l’homme s’affirme en tant qu’homme. Le sujet déporté trouve à se leurrer dans la croyance qu’il pourrait éviter le passage par l’impuissance grâce au détour qu’est la cristallisation magnifiée de ses histoires. La volonté de s’expliquer pour comprendre les contradictions d’une situation imposée, rétablit le lien avec ceux dont ils voulaient se détacher. C’est une forme de protestation, une façon de s’asservir à l’idéal de l’Autre et de porter sa vérité du sujet. La Shoah est une fondation et une volonté de combler la brèche.
    .....
    Le déporté est en souffrance, c’est un malade qui veut parler. Il passera de l’innommable, à l’in-ouï, de l’in-croyable qui par inversion nazifiée devient l’un croyable. C’est le contenu inconscient des histoires qui est en jeu, le fait qu’ils sont liés à des motifs amoureux d’une force extrême qu’enfant il n’a pu s’avouer. D’où la proximité entre la douleur et le plaisir, les sévices et le sexe, avalé chié, ébranlé branleur. De fait nous comprenons mieux ses expériences passées, ses perversions, son désir de sublimer se pulsions, ses mythes. La manifestation consciente de ses rêves, à forte dimension symbolique, soutenant le désir et offrant une chance au symptôme, au fantasme. L’histoire est ainsi composée de faits, de rêves et de comédie. Le déporté oscille entre moralisme et cynisme, les deux extrémités d’un malaise surjoué dans sa civilisation.

    Sigmund Fraud
    Coup de bambou sur le toubab

     

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  • #1895389
    Le 6 février 2018 à 13:49 par G. Blanchard
    Ass Diamond

    La justification de l’impossible oblitère la justice. Alain Soral dit bien que la Shoah a pour but de la domination d’une politique d’exactions et de racket.

    Selon Steiner, nous trouvons dans Kafka des déguisements bizarres préfigurant beaucoup de choses qui étaient, au moment où ses livres sont apparus, claires à très peu de gens. La dictature fasciste était, pour ainsi dire, dans les os des démocraties bourgeoises, et Kafka décrivait avec un pouvoir imaginatif merveilleux les futurs camps de concentration, l’instabilité future de la loi, l’absolutisme futur de l’appareil d’État, la paralysie, la motivation insuffisante , les vies empêtrées de nombreuses personnes ; tout est apparu comme dans un cauchemar et avec la confusion et l’inadéquation du cauchemar.

    Avec l’utilisation massive des sciences cognitives et de l’ingénierie sociale nous voyons se forger une véritable dictature, une déstabilisation permanente qui ne peuvent être une simple rencontre des esprits ni une transmission de pensées consensuelle. Tout doit converger vers le haut de la pyramide et les petits succubes du système s’y activent ardemment. Le feu de l’enfer sera leur apothéose et leur disparition tant ils ne peuvent s’asseoir longtemps sur la pointe d’un diamant sans que ça leur rentre inéluctablement dans le fondement.

     

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