Extraordinairement déçu par Laurent Guyénot. Son excuse, la même que celle du camp d’en face d’ailleurs, de faux souvenirs traumatiques est une vaste blague.
Quel est l’intérêt d’induire de tels faux souvenirs ? Pourquoi sont-ils partagés par d’innombrables victimes qui ne se connaissent nullement ? Pourquoi sont-ils aussi précis dans les détails ? Pourquoi les victimes mentionnent t’elles des noms, des visages, des lieux, des gestes... ?
Je rappel que dans le documentaire de Pascale Justice (et non d’Elise Lucet...), la défense, représentait par une certaine Epstein, prétendait que les enfants avaient inventé toutes ces histoires parce-qu’ils lisaient sans aucun recul des comics inoffensifs, du même ordre que ceux de Tintin et Milou... En terme d’argument bidon, ça se pose là aussi.
Que Mr Guyénot se soit en plus laissé convaincre par les 5 pauvres paragraphes de l’article de Libe... cela me scie les membres inférieurs sur place,
Mr Guyénot ne supporte tout simplement pas l’idée de vivre dans un monde où certains, parce que puissants, peuvent agir dans l’irrationalité la plus totale quand vient la nuit, Une irrationalité nourrie de superstitions et de perversions. Quant à moi, je ne supporte tout simplement pas l’idée de remettre en cause les témoignages d’enfants.
Le pouvoir rend fou, et le monde moderne le confirme chaque jour que Dieu fait.
Pour finir, Mr Guyénot n’a qu’à lire le rapport de l’affaire Dutroux publié par Wikileaks si il veut des éléments supplémentaires confirmant les dires des enfants, ainsi que de donner la parole à Ronald Bernard, si il souhaite des récits similaires d’un homme droit, mure, la tête sur les épaules. Ou encore ceux de la chaîne YT : ’50 voix de violence rituelle’ (à moins qu’ils soient tous des possédés de tonton MK ?).