Bilan de cette crise sanitaire du virus le plus mortel qu’ait connu l’humanité depuis le 1 mars (c’est du cynisme au cas où on ne comprendrait pas) :
décès d’enfants de moins de 15 ans sans comorbidité : 0
décès d’enfants de moins de 15 ans avec comorbidité : 1
décès d’adultes âgés de 15 à 44 ans sans comorbidités : 35
décès d’adultes âgés de 15 à 44 ans avec comorbidités : 70
décès d’adultes âgés de 45 à 64 ans sans comorbidités : 292
décès d’adultes âgés de 45 à 64 ans avec comorbidités : 721
90% des décès sont des personnes âgées de plus de 65 ans, dont 70% d’entre elles avec des comorbidités.
Ceci pour les 11000 actes de décès transmis par voie électronique.
Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que le nombre réel de décès que nous pourrions réellement attribuer au covid sans maladies préexistantes serait le tiers de ce qui est annoncé par le ministre de la santé devant son sinistre pupitre. Et donc que le nombre de décès à attribuer au covid serait non pas de 30000 et quelque mais 10000 et quelque. C’est écrit noir sur blanc sur un rapport qui émane d’un organisme sous la direction du ministère de la santé.
Pour information, d’après les données brutes de l’INSEE, le nombre de décès de personnes de - de 44 ans est de 11054 entre le 1er janvier et le 24 août 2020. Le nombre de décès qui seraient uniquement dus au covid pour la même tranche d’âge serait de 105 (3x35), soit 1 centième (1/100). Les autres personnes décédées prétendument du covid avaient toutes 1 ou plusieurs pathologies graves préexistantes.