Il y a un coupable constant : le gros financier. On cherche et on le trouve toujours à l’origine de ces catastrophes.

En 1910, année de l’inondation, on a beaucoup daubé sur le fait qu’Edouard Drumont a dénoncé les Rothschild qui avaient fait abattre d’immenses forêts à l’est de Paris et provoqué la crue de la Seine. On l’a traité de fou mais c’était probablement vrai. Drumont d’hier et écolo-bobos-trado (nous) d’aujourd’hui, même combat..

Avec le coronavirus, on cherche et on trouve. Le saccage des forêts. L’exploitation des forêts de Bornéo par des financiers visqueux ayant leurs bureaux à Brooklyn a provoqué un rapprochement entre les aires de beaucoup d’animaux sauvages et notamment des chauves souris qui habitent dans des grottes depuis des millions d’années, et les nouvelles zone défrichées de peuplement humain. C’est une bombe bactériologique car les chauves souris sont pleines de virus, dont elles ne souffrent pas pour des raisons assez mystérieuses.

C’est dire que cela ne fait que commencer.