Jacques Sapir – Trump : ange ou démon pour l’économie américaine ?
23 février 2020 18:12, par toctoc
Je crois comprendr qu’en Trumperie, le blanco ou le noir bosse plus et trouve assez facilement du taf, pour un salaire un peu meilleur, mais insuffisant. Le travail exécuté par les latinos revient à lui. Ce que faisait le latino -rien d’enviable- est exécuté par le blanco ou le noir, plus souvent.
Cela ne le fait pas souverain dans son pays. Ni prospère.
Il doit, non pas être salarié, mais entrepreneur et employer ses compatriotes, en fonctionnant sur un système d’actionnariat. Si la boîte obtient des résultats, redistribution d’une bonne partie des bénéfices aux travailleurs. Cela vaut aussi bien pour l’Etat que pour l’entrepreneur privé.
Aucun étranger ne doit pouvoir diriger une entreprise nationale, à moins d’être partenaire capitaliste d’un national, à 49% maximum de participation de l’étranger.
Est-ce qu’un étranger à la famille va entrer chez vous et décider du menu, et payer la fille de la maison pour lui cuisiner un canard laqué ou lui faire un bisou filial ?
Non, idem pour les pays.