L’allemagne est l’otage de la zone euro et victime d’un chantage à l’Holocauste
22 mai 2012 21:00, par VibescuIl a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas ... Ras le bol du shoa business, ceux qui ont des doutes devraient visionner le documentaire le film Defamation, de Yoav Shamir, un documentaire sur l’antisémitisme.
Il explore et tourne en ridicule la notion courante d’antisémitisme ainsi que les lobbies qui participent à la diffusion d’une telle phobie. Il dénonce aussi ces propagandistes juifs ethniques qui insistent, pour une raison qu’eux seuls connaissent, pour organiser leur identité autour de l’idée phantasmatique selon laquelle ils seraient pourchassés, diffamés ou haïs pour des raisons « raciales ».
Etant Israélien, Yoav Shamir, qui a réalisé ce film, a réussi à infiltrer l’Anti-Defamation League d’Abe Foxman. Il a même réussi à se faire engager dans une « mission internationale » de Foxman. Il a également suivi le voyage de lycéens israéliens à Auschwitz. Il nous donne une vision intime de la jeunesse israélienne que l’on endoctrine afin de la placer dans une anxiété collective et dans une névrose totale juste avant son incorporation dans l’armée.
L’impression générale que ce film donne au spectateur est celle d’une situation rien moins que grotesque. Le film étudie l’amplification agressive et vulgaire de la peur parmi les Israéliens et les juifs sionistes. « Nous sommes élevés dans l’idée que nous sommes haïs », dit ainsi une lycéenne israélienne, en route vers un camp de concentration. « L’ADL nous fournit un programme nous expliquant comment être juifs », indique une dame juive âgée.
Shamir nous donne l’opportunité de voir à quel point les jeunes Israéliens se comportent mal dès qu’ils se trouvent en Pologne. Vous pouvez voir leur mépris pour la population locale, leur manque de respect vis-vis des Polonais et des institutions polonaises. Vous pouvez aussi voir des Israéliens en train de projeter leur haine sur d’autres. Pour quelque raison, ils sont convaincus que tout le monde, autour d’eux, en Pologne, est au moins aussi impitoyable qu’ils le sont eux-mêmes. Les jeunes israéliens sont saturés de peur, et pourtant, ils s’éclatent un max : vous pouvez les voir en train de danser dans le bus tout au long de leur trajet vers Auschwitz. Vous pouvez les voir mâchonner des chips tout en regardant un prisonnier musulman * en train de manger sa soupe délayée d’eau.