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Qui veut mourir pour Thierry Breton
et son UE à la botte des USA ?
Qui ?
Un million d’obus par an pour l’Ukraine, histoire de rallonger la guerre, et donc d’empiler les morts ukrainiens, c’est 2 739 obus par jour pour les artilleurs de Zelensky. Sachant que les Russes en envoient environ 20 000 par jour, calculez combien d’Ukrainiens vont mourir pour rien, ou pour l’UE...
« Je suis confiant que d’ici à 12 mois, nous pourrons monter notre capacité de production à 1 million de munitions par an en Europe. (...) Nous pouvons et devons relancer notre base industrielle pour l’adapter au besoin de conflit à haute intensité. (...) En matière de défense, nos industriels doivent désormais passer en mode économie de guerre. » (Thierry Breton)
Ce mercredi 3 mai, la Commission otanienne de Leyen & Breton propose de financer la production d’un million d’obus (de 155) par an, gracieusement offerts à l’Ukraine, qui en a drastiquement besoin. Les arsenaux de son armée sont vides. C’est pourquoi la grande contre-offensive se fait attendre.
L’augmentation de la production d’obus servira aussi à reconstituer les stocks stratégiques de pays qui ont beaucoup donné, par exemple la France, qui manquait déjà d’obus. Cette opération coûtera au contribuable européen, déjà frappé par l’inflation galopante, la bagatelle d’un demi-milliard d’euros (ce qui n’est rien par rapport aux 71 milliards dépensés en faux vaccins).
Mais c’est l’arbre qui cache la forêt, puisque du matériel de guerre haut de gamme est envoyé sur le front, sans consulter bien sûr les populations européennes, polonaise, française et allemande au premier chef : ces envois sont couverts par le secret défense.
UE, le cache-sexe de l’OTAN
En réalité, les Ukrainiens consomment plus d’obus que l’UE toute entière n’en produit. On se demande alors comment elle va pouvoir renverser la vapeur dans la guerre d’artillerie qui dure déjà depuis 14 mois, et qui est à l’avantage des Russes.
Depuis que Zelensky, l’homme de paille de l’OTAN, est venu mendier des munitions dans sa tournée européenne de février 2023, ses armées n’en ont touché que 40 000, soit deux jours de consommation de l’artillerie russe.
Pour info, nos stocks sont à zéro, et les Américains, qui se refont une santé dans cette guerre mondiale européenne (encore une), ne peuvent produire que 90 000 obus par mois, ce qui ne suffit pas à Kiev, qui en tire 150 000 (officiellement) sur la même période. De plus, et l’info vient des cercles militaires, reprise par Europe 1 :
« L’ensemble des chars français aurait été détruit en un mois dans le Donbass, en seulement six mois pour les nouveaux véhicules blindés multi-rôles Griffon, et un drone tactique à voilure fixe aurait été descendu en à peine six vols. »
C’est dire où en est notre capacité de défense, et d’attaque.
Les Leyen, Breton, Macron, Michel, Scholz, ces employés de l’Empire qui nous entraînent dans un conflit généralisé avec la Russie, seront un jour jugés par l’histoire. Pour l’instant, ils sont juste fous, pas encore prisonniers.
Le fonctionnement d’un obus
Lancet, le drone suicide russe anti-batteries
