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Pourquoi le Hamas n’a d’autre choix que de détruire Israël

C’est un grand moment de la presse de haine et de désinformation que nous allons vous présenter. L’article, le bloc-notes de BHL, est sorti le 30 janvier 2025 dans Le Point, le journal de son ami milliardaire Pinault. Il y a longtemps qu’on ne lit plus cette chronique qui ment ou qui délire presque à chaque ligne, mais là, l’occasion est assez unique. BHL veut la destruction totale du Hamas, comme Stroop voulait celle des résistants du ghetto de Varsovie. Naturellement, le titre est inversé.

 

Nous nous sommes permis de le diffuser entièrement, uniquement dans un esprit d’analyse et de démonstration. Il ne s’agit pas de voler la presse payante, même si elle est subventionnée par les Français qui ne la lisent plus. Et puis, dans les impôts que nous avons payés cette année, il y a forcément un petit pourcentage destiné au Point, qui prend 1 652 437 euros en aides directes pour 2024 et 2 652 437 avec les aides indirectes. Ça vaut bien un petit emprunt de la part d’un petit actionnaire forcé, non ?

 

 

Le lien qui montre les dizaines de millions refilés à une presse obéissante rappelle les milliards qui partent en fumée en Ukraine (BHL est pour) et qui manquent à Mayotte ou à nos hôpitaux. Valls estime qu’il faudra un milliard pour reconstruire l’archipel après l’ouragan : qu’il les demande à Zelensky.

L’hebdomadaire nous pardonnera donc cette liberté journalistique. Quand on est face à un tel dépliant publicitaire pour la guerre et le génocide, il faut prendre la plume en toute urgence, mais aussi en toute volonté de paix.

Nous avons passé en gras les phrases les plus douteuses. Pour ce qui concerne le raisonnement, on ne peut le passer en gras. Nous avons intercalé les images de la libération des quatre filles et le tweet relatif à la libération d’otages palestiniens, qui n’ont visiblement pas le droit à cet honneur pour le SPA.

Israël n’a d’autre choix que de détruire le Hamas

La vie, en Israël, n’a décidément pas de prix. Il y a bien eu, çà et là, des voix légèrement discordantes. On a entendu tel ministre ou, désormais, ancien ministre d’extrême droite noter que quatre otages juives contre deux cents auteurs de crimes de sang palestiniens était tout de même cher payé. Mais, pour l’essentiel, tout le monde fut d’accord. Des familles pieusement réunies, chaque samedi soir, depuis quinze mois, place des Otages, à un Premier ministre que l’on disait indifférent et cynique, il n’y eut guère de fausse note. Le peuple juif demeure le peuple où le non-respect du Pidyon Chevouim, l’impératif du rachat des captifs, est comme la violation de « sept commandements de la Torah ». Il reste cette exception qui, à l’inverse des em­pires qui ne connaissent que les grands nombres, dit et répète : « le seul très grand et très vrai nombre, le seul qui compte, c’est l’Un dans l’homme, l’Un de l’homme et l’Un de chaque vie sauvée qui vaut, dit Maïmonide, tous les shabbats du monde ». Et je ne connais personne, à Tel-Aviv et Jérusalem, qui ait vu sans émotion les images de Carina, Daniella, Naama et Lin retrouvant, vivantes, les familles qui les attendaient — personne qui ne se soit dit : « ces quatre jeunes filles ont, contraire­ment à d’autres dont on attend les dépouilles, survécu à une détention atroce ; mais, si la survie est la forme la plus humble de la vie, celle qui nous tient juste au-dessus du désespoir et de la mort, elle est aussi, quand c’est celle d’un otage qui résiste, indomptable, aux humiliations et aux tortures, la forme la plus haute de la vie, celle qui plane au-dessus de nous comme un secret encore plus grand que celui du malheur ».

 
 

Mais Il y a eu l’autre Image. Celle qui a précédé le moment, magnifique, des retrouvailles. Et ce fut l’image de la petite estrade où les quatre jeunes femmes furent forcées de monter et où on les vit arborer un sourire forcé, saluer on ne sait qui (la foule palestinienne juchée, face à elles, sur des gravats dont on avait fait des gradins ? les geôliers ? leurs familles, là-bas, très près et très loin, de l’autre côté du miroir ?) et tenir, chacune, à bout de bras, un étrange sac en kraft contenant — ce n’est pas une plaisanterie ! — des provisions pour la route, des goodies, une carte de « la Palestine » ou, comme si elles étaient des marchandises, un certificat de remise à la Croix-Rouge qui se sera, elle, conduite jusqu’au bout sans dignité.

 

 
 

Cette seconde image était glaçante. À cause des sourires d’enfant des soldates pétrifiées à la perspective de ces dernières minutes, si près du but et, pour­tant, interminables, poisseuses et où tout pouvait encore capoter. À cause des hommes en noir, cagoulés, qui les entouraient, certains collés à elles avec leurs regards de poissons morts, certains de dos, uniformes dépareillés, en train soit de les filmer au portable soit de faire le V de la victoire. Et puis à cause de ce que la scène voulait signifier et a, en effet, signifié, pour les foules qui, de balla à Rafah, mais aussi, par-delà Gaza, de Jéricho à Ra­mallah ou du Caire à Amman, la suivaient en direct et se la repassent, depuis, comme on fait d’une image culte : une armée du crime touchée mais pas coulée, affaiblie mais pas vaincue — une armée qui ne rendra, bien sou­vent, que les restes des captifs mais qui n’en garde pas moins le pouvoir de tenir la dragée haute à Israël.

Cette Idée n’est pas supportable. Et c’est le mo­ment ou jamais, face au « lâche soulagement » qui accompagne trop souvent la grave et belle joie de voir revenir les premiers otages, de se rappeler qu’Israël a toujours eu, dans cette guerre, deux objectifs. Les otages (dont on notera, au passage, que le retour n’est possible que grâce à la pression militaire d’Israël — pourquoi, sinon, se priver de cet autre bouclier humain que sont, depuis 479 jours, les séquestrés des tunnels ?). Mais aussi la défaite totale, sans reste ni merci, des derniers esca­drons pogromistes (car comment, sans cela, ne sorti­raient-ils pas de ce désastre comme des résistants auréolés d’un halo noir faisant à nouveau rêveries âmes tentées, en Israël et ailleurs, par le djihad ?). Car il n’est pas vrai que cette tentation soit irrésistible. Ni que ré­duire au silence le porteur d’une idée n’ait jamais pour effet que de faire naître une nouvelle vocation, prête à prendre le relais. Al-Qaïda ne fut-il pas freiné dans son élan après sa défaite de novembre 2001, entre Tora Bora et Kaboul ? Et Daech stoppé dans son expansion, après qu’une coalition de nations libres a, de Mossoul à Raqqa, détruit son califat ? Eh bien de même à Gaza. Rien ne serait plus périlleux que d’y laisser derrière soi, comme disait Machiavel, un prince blessé mais épargné. Tant que le Hamas y conservera ne serait-ce qu’une fraction de sa capacité de frapper et même d’administrer, je ne souhaite, avec lui, ni « cessez-le-feu durable », ni « paix de compromis », ni « solution politique ». Il y va de la survie des deux peuples — israélien, mais aussi palesti­nien : le Hamas doit être détruit ; Israël, qui ne l’a pas voulue, doit gagner cette guerre

France Télévisions aux ordres, comme Le Point

 






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55 Commentaires

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  • #3486635
    Le 31 janvier à 23:29 par Koussikoussa:L’Islam est d’Ares,le Capitalisme d’Aphrodite
    Pourquoi le Hamas n’a d’autre choix que de détruire Israël

    Le piège du terrorisme s’est refermé sur Bush comme un loup referme ses crocs sur sa propre patte en croyant se libérer du piège. L’Amérique, ivre de vengeance après le 11 septembre, s’est condamnée à un combat où la victoire est impossible. L’Empire contre les ombres mouvantes du désert : la disproportion du choc devait garantir son issue. Mais les armées les plus puissantes de l’histoire s’empêtrent dans la traque d’un fantôme, d’un mollah borgne, d’une poignée de fedayins invisibles.

    La seule réponse intelligente au 11 septembre : traiter les terroristes comme de vulgaires criminels. Qu’Interpol s’en charge, qu’on les traque dans le silence des enquêtes et non sous les bombes et les discours enflammés. Le terrorisme prospère sous les projecteurs. L’élévation du combat en croisade, la guerre contre un concept, c’est le rêve de tout prêcheur de guerre sainte. Là où il fallait couper l’eau au poisson, on lui a creusé un océan.

    Tant que le terroriste se fond dans la foule, il est insaisissable. Ce n’est pas la force brute qui l’élimine, mais l’isolement, la rupture de ses liens vitaux avec ceux qui le protègent, le financent, l’admirent. L’IRA a perdu quand elle a cessé d’incarner une cause populaire. La Bande à Baader et les Brigades Rouges sont tombées quand leurs propres partisans les ont vus comme des dangers plutôt que des héros. Mais Israël, l’Algérie, l’Amérique s’obstinent à croire qu’on écrase une idée avec des missiles.

    Alors, on a sorti Saddam du chapeau. Qu’il ait été un tyran, qu’il ait torturé, gazé, massacré, qui s’en souciait le 10 septembre ? Il n’était qu’un dictateur de plus dans une région qui en regorge. Mais Bush, pris au piège de sa promesse de vengeance, avait besoin d’un trophée. Ben Laden restait insaisissable ? Saddam ferait l’affaire. Si ce n’était lui, c’eût été la Syrie ou l’Iran. La roue du bouc émissaire tourne, toujours

     

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  • #3486658
    Le 1er février à 03:00 par Laflippe
    Pourquoi le Hamas n’a d’autre choix que de détruire Israël

    Jamais je n’ai entendu de collègue de travail évoquer le sionisme à la machine à café. Alors que c’est un vrai cancer pour la France. Très peu de gens l’ont identifié, c’est ça qui est fort. Les gens se font encore et toujours embarquer par les médias.
    Mais bhl n’est pas la plus puissante des armes médiatique. Lui a bien été identifié comme le cuistre qu’il est. Ceci étant, il est bien pire que ça

     

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  • #3486777

    Je crois qu’à sa manière, BHL est un poète.
    Pour ma part, je fais un peu comme le Général de Gaulle, jadis, dans les années soixante, quand on lui apportait un journal vespéral (le Monde) : je prends son bloc-notes du Point, et je ris, mais je ris...
    Mon rire reste nerveux, compte tenu de la situation, mais enfin..
    En tout cas, merci ER, pour ce moment.

     

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  • #3486888
    Le 1er février à 13:36 par FREDERIQUE
    Pourquoi le Hamas n’a d’autre choix que de détruire Israël

    ".../... Israël, qui ne l’a pas voulue, doit gagner cette guerre."
    _ ???!!!
    Qui ne l’a pas voulue  !!??
    Ce délirant sioniste, comme tous ses semblables, passe sous un silence d’une rare hypocrisie que cette guerre d’occupa-sion dure depuis plus d’un siècle !
    Par quels mots qualifier un mensonge aussi éhonté, aussi absurde, aussi délirant, et celui qui ose pourtant le proférer avec une indécence confinant à l’obscène !?

    Voilà plus d’un siècle que ces infâmes sionistes, piétinant les conditions du partage qu’ils avaient pourtant signées, pratiquent contre le peuple palestinien, une guerre qui refuse de dire son nom et que l’Occident en général, et la France en particulier, n’auront jamais vraiment dénoncée par lâcheté/soumission/chantage d’arrogants victimaires pratiquant :
    - les attentats terroristes meurtriers de l’Irgoun, la Hagana ou le groupe Stern
    - les puits empoisonnés par centaines,
    - les maisons rasées au bulldozer par milliers,
    - les expulsions à coups de pieds, de crosse de fusil et de meurtres de civils,
    - l’emprisonnement arbitraires sans le moindre procès,
    - la torture avérée sur des innocents,
    - les milliers d’assassinats perpétrés en toute impunité,
    - les enfants munis de frondes écrasés par les chars de l’infâme Tsahal,
    - les bombes au phosphore interdites par toutes les conventions internationales !?

    Mais il faut croire que pour ce baltringue, millionnaire grâce au fric de papa et adepte bien connu du plagiat, cette guerre déshonorante n’en est pas une : le sens de mots comme Morale et Honneur doivent lui échapper...

    Une clique - dangereuses pour l’équilibre mondial... - de suprémacistes/racialistes/expansionnistes et aujourd’hui génocidaires - n’ayant désormais plus rien à envier aux nazis hitlériens !!? - vise à éradiquer le peuple palestinien de la surface de la Terre, et cet abject plumitif a le front de proférer ce mensonge d’un cynisme révoltant ??!!
    Ce grotesque et révoltant va-t’en guerre d’opérette est bien la démonstration sans appel de ce que Leibowitz appelait des judéo-nazis...

    "A quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ; l’inhumanité de fermeté ; et la fourberie, d’esprit. - La Bruyère

     

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  • #3486891

    BHL : Fusilosophe israhellien.
    Ce sayan dissimulé sous les habits de la pensée, inverse les valeurs morales en légitimant des atrocités au nom de la sécurité. Il prétend défendre la vie tout en justifiant le massacre de femmes et d’enfants palestiniens à Gaza. En appliquant des doctrines comme celle d’Hannibal, qui tue ses propres ressortissants pour les empêcher d’être otages, il sacrifie la dignité humaine pour maintenir une illusion de contrôle. Cette inversion des valeurs, dans laquelle les Palestiniens sont déshumanisés et présentés comme "des animaux" ou comme dépourvus d’innocence, fait de leur souffrance un prix acceptable à payer pour la "sécurité" israélienne, occultant leur humanité et légitimant la violence comme moyen de garantir cette sécurité. Une "sécurité" qui n’est en réalité qu’une pression exercée sur les Palestiniens et le monde occidental, avec la Shoah en bouclier moral permettant d’imposer l’acceptation des horreurs en Palestine. Ce n’est pas une quête légitime de sécurité, mais une justification de massacres, de vols de terres et d’expansion territoriale, où la violence devient un moyen de renforcer l’hégémonie israélienne.

     

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    • #3487030

      BHL est un philosopathe, un pervers et narcissique qui jouit de savoir si bien bricoler des pensées maladives qu’il considère toute forme d’objectivité et de rationalité comme "antisémite"...il devrait monter un numéro de cirque sioniste avec Enthoven, un autre philosopathe patenté.

       
  • #3486989

    "Quousque tandem abutere, Bernard Levi, patientia nostra ? Quamdiu etiam furor iste tuus nos eludet ? quem ad finem sese effrenata iactabit audacia ?"
    Quand Cicéron eut terminé, le Sénat étant unanime, on mena directement le factieux, l’effronté Catilina au supplice. Où est le Cicéron moderne qui incitera la collectivité à faire taire ces insensés, ces fauteurs de troubles civils, ces boute-feu ?
    Il y avait aussi un avocat magnifique, Joseph Welch, qui ferma pour toujours la bouche de l’affreux McCarthy et mit fin à sa chasse aux sorcières, en public, et même en direct : "N’avez-vous pas honte, Sénateur, n’en avez-vous pas assez fait ?" On rêve de l’homme qui se lèvera et fera cesser cette indignité d’une phrase. On rêve du soulagement de la justice et de la vérité rétablies. Bientôt...

     

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  • #3487147

    Depuis quelques semaines, ce sont les otages qui sont sur la scène : tant mieux si quelques dizaines ou centaines de personnes, juifs ou Palestiniens, parviennent finalement à se sortir de ce cauchemar, alors que les chances de leur survie étaient très minimes.

    Mais les pauvres massacrés de Gaza, la plupart : des femmes et des enfants, parfaitement innocents et sans aucune défense, on parle de cent mille personnes, peut-être deux cent mille, on ne sait même pas, tant les tueries ont été massives : par l’effet complètement artificiel des médias, on dirait que ces crimes monstrueux n’existent même plus, alors qu’ils datent de l’année dernière...

    Un monde de fous, de criminels, de menteurs !

     

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  • #3487154

    et donc, le hamas, créé par les frère musulmans, serait d’obédience palestinienne ?

    Un bref coup d’oeil sur wikipedia permet de remonter à ... la grande bretagne et la jordanie

    no comment

     

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  • #3487978

    pre-2023, Israel reçoit l’aide de l’UK, Jordanie, France, Canada, etc sous forme de surveillance satellitte. Ajoutons donc la NSA - et le MOSSAD

    le 8 octobre, le porte parole du Hezbollah dit "une opération glorieuse - sous l’égide du djihadisme - libérer la Palestine - etc"

    Un an plus tard, un imam palestinien dit : non, le jihad ne fonctionne pas ainsi. Ce n’est pas au nom du Jihad tout cela.

    En 2002, un groupe de Mossad déguisé en terroristes palestiniens se font chopper et affirment avoir voulu fournir un prétexte à Israel de lancer une offensive

    - il n’y a pas de "suicidaires bombeur palestinien"
    - il n’ a pas non plus de "roquettes palestiniennes tirées vers Israel"

    tout cela était FAUX.

    Et donc, en réalité, Palestine est un genre de prison à ciel ouvert, MKULTRA, et tout signal électronique ne filtrera pas dehors.

    Le 7 octobre, c’est une opération sous faux drapeau israélienne. Regardez : 70% des victimes sont des femmes et des enfants et Gaza est rasée. Mettez-vous à la place des Palestiniens : pourquoi mettre en jeu ce qu’ils ont de plus précieux ? Ils savent à coup sûr que c’est ce qui allait se produire.

     

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    • #3487993

      Vous oubliez les otages israéliens, bien réels.

      Qu’il y ait eu manipulation du gouvernement israélien, sur le Hamas, il y a de fortes chances (par exemple, les centaines de morts et voitures carbonisées du 7 Octobre, qui semblent bien une action de guerre avec du matériel dont ne disposait même pas le Hamas, comme l’a affirmé d’ailleurs George Galloway, le député britannique) mais votre théorie en l’état, n’est pas valable, je crois.

       
    • #3488392

      @

      bonjour, merci de votre réponse

      En fait, j’affirme que "les otages israéliens" sont captifs - in fine - d’Israël. Je suppose qu’un concept "l’état dans l’état" n’est pas chose implausible, de nos jours. AInsi, nul besoin d’avoir tout Israël au courant que les otages sont en réalité aux mains de leur gouvernement. C’est tout à fait possible que leurs geoliers aparraissent comme des combattants du Hamas. Ils peuvent même les tuer

      imaginez : l’influence de ce mensonge est planétaire. De plus, "servir les intérêts supranationaux" - "s’il faut sacrifier quelques citoyens"...

      Regardez : les otages, ce sont des kibbutziens marginaux qui prennent du LSD : quelle valeur ont-ils pour "Israël, premier pays en technologie dans le monde" ???

      D’ailleurs, c’est assez dingue de constater que la "rave party" ait été déplacée à la dernière minute, sur la trajectoire des combattants. Plus encore, les kibbutz, pleins de hippies, sont en zone tampon avec la Palestine. De la chair à canon

       
  • #3501997
    Le 4 mars à 12:20 par toto la ciboulette
    Pourquoi le Hamas n’a d’autre choix que de détruire Israël

    "Israël, qui ne l’a pas voulue, doit gagner cette guerre" Sacré Bernard, la Knesset viens de voter une loi pour que les 750 000 colons de Cisjordanie puissent prendre ce qu’ils veulent et ainsi dépecer le reste du fameux état Palestinien que la petite ethnocratie des être de lumières n’a jamais voulu.

    Ad vomitum

     

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