Fin (théorique) de 7 ans de procédure, qui n’ont eu qu’un seul but : affaiblir nos forces de l’ordre, et réactiver un racisme antifrançais.
Les Français et la justice ne sont pas tombés dans le piège. Preuve que les diviseurs de la nation ne peuvent pas tout.
Les magistrates chargées des investigations sur la mort en juillet 2016 d’Adama Traoré, érigée en symbole des violences et du racisme dont sont accusées les forces de l’ordre, ont prononcé un non-lieu pour les gendarmes qui l’ont interpellé, a appris l’AFP vendredi auprès des avocats des deux camps.
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Me Yassine Bouzrou, qui défend la famille du jeune homme noir mort à 24 ans et qui dénonce de longue date la conduite de l’enquête, a indiqué sur Instagram qu’il faisait appel de cette décision.
« Cette ordonnance de non-lieu qui contient des contradictions, des incohérences et de graves violations du droit déshonore l’institution judiciaire », d’après lui.
L’objectif en faisant appel de cette ordonnance est, selon l’avocat, que la cour d’appel de Paris « puisse appliquer le droit dans cette affaire en renvoyant les gendarmes devant une juridiction de jugement où un débat contradictoire pourra dire si les violences ayant causé la mort d’Adama Traoré étaient ou non proportionnées et nécessaires ».
Dans un communiqué à l’AFP, Mes Rodolphe Bosselut, Sandra Chirac-Kollarik et Pascal Rouiller, qui défendent les trois gendarmes impliqués dans l’arrestation, ont au contraire salué une décision « logique et conforme à la réalité » quant au « caractère légitime et proportionné de l’interpellation d’Adama Traoré ».
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