arrêtez de vous tapez le cul par terre devant ce drôle de coco !
« Dans le cadre du procès Roland Dumas/Christine Deviers-Joncour (Affaire Dumas), Loïk Le Floch-Prigent a été condamné en appel le 29 janvier 2003 à 30 mois de prison ferme et deux millions de francs d’amende. Il est incarcéré à la prison de Fresnes (Val-de-Marne) le 31 janvier 2003.
Dans le cadre de l’affaire Elf5, l’ancien président du groupe est condamné par trois fois notamment pour abus de biens sociaux. Il est écroué le 4 juillet 1996 et se trouve soumis à six mois de prison préventive jusqu’au 23 décembre 1996, date de sa libération sous caution de 500 000 F, soit environ 76 225 euros. Le 12 novembre 2003, il est condamné à cinq ans de prison ferme et 375 000 euros d’amende. Il n’a pas fait appel de cette condamnation. Il est remis en liberté le 8 avril 2004 pour raisons de santé. Lors de son procès, Loïk Le Floch-Prigent niera avoir aidé Bidermann pour des raisons d’« amitié », mais « à la demande des pouvoirs publics ». Il désigne plus particulièrement Pierre Bérégovoy et Jean-Yves Haberer, l’ancien président du Crédit lyonnais, enfin des courriers de Dominique Strauss-Kahn, alors ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur, en faveur « de l’emploi »6,7.
En mai 2007, il est condamné à 15 mois avec sursis dans le dernier volet judiciaire de l’affaire Elf : un système d’emploi fictifs mis en place en Suisse au début des années 19908. Parmi les bénéficiaires de ces emplois de complaisance présumés se trouvaient des proches de François Mitterrand, de Charles Pasqua ou de l’homme d’affaires corse et ami d’Alfred Sirven, Mathieu Valentini9.
Roger Quignot, juge d’application des peines (JAP) de Paris, ordonne le 12 juin 2007 son retour en détention. Libéré en 2005, il n’aurait pas respecté les obligations de son contrôle judiciaire. En particulier, le JAP lui a reproché en effet de s’être rendu à l’étranger sans autorisation. Il appartient maintenant au parquet de Paris de faire exécuter la décision10,11. Le 16 juin 2009, la cour d’appel de Versailles révoque partiellement sa libération conditionnelle pour avoir « manqué à l’obligation d’indemniser la partie civile en proportion de ses facultés contributivesEn juin 2011, le Togo a émis un mandat d’arrêt international à son encontre, à la suite d’une plainte d’Abbas Yousef, un »12. Le 21 janvier 2010, la Cour de cassation ordonne son incarcération pour six mois. Il est placé en détention à la prison de Fresnes le 7 septembre 2010...... »
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