Si, si, le "projet" totalitaire reste le même, mais l’oligarchie n’a pour l’instant plus besoin de gros attentats - quoique.
Mais pourquoi 2016 ? La sidération organisée avec l’aide de l’"état islamique" commence au 7 janvier 2015 avec le massacre à Charlie Hebdo - venant confirmer de loin la slogan de Hollande à l’époque, comme une préparation des esprits : "Le changement, c’est maintenant !"
Au passage ce n’est peut-être pas pour rien que Macron songe à engager Cazeneuve, présent et même investi personnellement pour le massacre du Bataclan le 13 novembre 2015 - quelle année.
Ces ingénieries anti-sociales pourrait-on dire ont pour but de fragmenter les esprits en cassant les repères sociaux et structurels stables auxquels on s’identifiait pour avancer. Une fois fait, on avance moins bien et dans une grande incertitude, sans savoir si on marche sur des oeufs, que l’avenir nous prépare etc.
D’où, venant s’ajouter aux difficiles conditions de vie liées au capitalisme despotique, un stress post-traumatique plus ou moins fort... et latent, c’est-à-dire, qui reste, puisque ça ne va pas mieux ni socialement ni économiquement parlant.
Conclusion : s’il n’y a plus de grosses opé pour l’instant c’est qu’ils peuvent pas en faire tous les 4 matins, ça risquerait de réveiller même les plus comateux, et deux, ça veut dire aussi que le peuple est suffisamment tenu ne laisse pour l’instant puisqu’il ne bouge pas malgré la situation.
Et c’est pas Philippot avec trois manifs, et une élection truquée, que ça peut inquiéter le pouvoir a priori. Si on y va, on y va, mais il y aura riposte, en amont ou en aval pour reformer le troupeau.