Jour 7 du déconfinement, jour à marquer d’une pierre blanche : découverte du génie lesbien, par les grandes journalistes Crif & Bouze.

Maintenant c’est sûr, un déconf trop rapide, sans les sas ou les paliers prévus à cet effet, rend fou.

Ici, on apprend toujours quelque chose. Aujourd’hui est un autre grand jour car le roitelet va s’exprimer et nous en mettre encore 30 dans la gueule. Plus le déconfinement se fait attendre, plus la pression monte, c’est comme dans la plongée. Le roitelet va être obligé de lâcher du lest, de la pression, pour pas se prendre l’explosion dans la gueule. Mais toutes les insultes proférées pendant ces deux mois de confinement ne seront pas oubliées. Tout se paye, même à crédit, et à crédit c’est encore plus cher. Il ne paie rien pour attendre !

Exemple d’insulte qu’on trouve sur les merdias, et la réponse immédiate des Français :

Aujourd’hui, en nous baladant dans les banlieues dites chaudes, on a remarqué que tout était normal, ou plutôt anormal : pas d’incendies de voitures, de viol de Blanches, de combats de chiens, d’attaques de flics, de deal de came, de prostitution de mineures. En revanche, dans le petit quartier de Montorgueil, à Paris, endroit bobo par excellence, habité par les néobourgeois, on a vu ça :

Les flics les ont-ils tabassés ? Non, on ne tabasse pas les bourgeois, c’est réservé aux prolos et aux bicots. Et si en plus t’es un prolo ET un bicot, alors là, on ne donne pas cher de ta peau. Pourtant, on a trouvé une maman tout ce qu’il y a de plus normale, c’est-à-dire ni prolote ni bicote, qui s’est fait pruner :

Big up au gars qui a le courage de filmer et d’invectiver les flics. Il est peut-être mort à l’heure qu’il est... Il y a des flics qui déconnent grave. Nous, aujourd’hui, on est passés devant une fourgonnette qui a alpagué deux automobilistes. On a eu chaud au cul, 135 balles, ça fait mal en ce moment. Avec 135 e (prononcez euh, comme les dealers), on peut faire de sacrées courses, le caddy plein pour la semaine, ou presque ! Imaginez le PV qui ôte le pain de la bouche de Français qui travaillent, qui payent leurs impôts et qui financent la police ! Y a pas un truc qui cloche ?

La France confinée semble à l’envers. On a même trouvé un petit bourgeois, mais alors un tout petit, qui fait du pera (rap, la musique des mangeurs de poulet et de travers de porc) et qui dit des trucs chanmé :

Ce petit bourgeois plus mêchu que méchant a déclenché une épidémie de rires sur Twitter. On peut dire qu’il a réussi son coup, mais pas dans le domaine qu’il pressentait. Le mot de la fin à la victime de la méchanceté des hommes, et des réseaux sociaux, la bouillonnante Karine Lacombe, qu’on croirait sortie d’un épisode de Jacquie & Michel. Ce coup-ci, elle chiale sur BFMTV à cause que des méchants lui ont promis une mort lente.

Pourquoi c’est toujours les plus cons, les plus menteurs, les plus pourris qui passent en priorité à la télé ?

Karine, c’est un peu l’antistar, celle que tout le monde déteste, pourtant elle dit tout et son contraire, comme notre Président :

Message aux hateurs (haineux) : c’est quand même une femme, merde. Et les femmes sont intouchables aujourd’hui, doit-on le rappeler ? La violence faite aux femmes pendant le confinement est plus importante que la violence faite aux 67 millions de Français (moins les fuyards), qu’on se le dise. Le gouvernement en profite pour inverser l’échelle des violences, et communique ainsi :

Et comme si cette propagande ne suffisait pas, voilà qu’on se tape la Taubira sur France Inter et la gouine forestisée Inna Chèvre and co sur Arte. Il y a comme un message, non ?

« Je pense sincèrement que des femmes dans des positions d’autorité ou de pouvoir auraient abordé les choses différemment. Plutôt que d’avoir recours à ce corpus viril, martial, elles auraient vu plus facilement que ce qui fait tenir la société, c’est d’abord une bande de femmes : elles sont majoritaires dans les équipes soignantes, même si nous soignons aussi avec autant de gratitude les hommes ; elles sont majoritaires aux caisses des supermarchés, dans les équipes qui nettoient les établissements qui travaillent encore… Tout ce qui tient la société, qui nous permet d’inscrire une temporalité dans nos têtes, de nous projeter, ce sont les femmes qui le font. Depuis longtemps, ce sont les femmes qui portent les métiers de soin en général. »

Qui va regarder ça, ce crachat dans la gueule aux yeux de vipère ? Les Français ne veulent pas d’une ordure qui pisse dans nos églises pour le compte du pruneau sataniste en gelée George Soros ni d’une pseudo ministre de la Justice haïssant la France qui faisait les quatre volontés de Pierre Bergé, dont tout le monde connaît l’horrible pedigree.
Et ça vient nous donner des leçons...
Heureusement que nos femmes sont plus saines !