Le parquet de Paris avait ouvert le 15 mai une enquête préliminaire à l’encontre de l’homme politique.
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« La mesure est toujours en cours », a précisé cette source à l’AFP. M. Asselineau est gardé à vue à la Brigade de répression de la délinquance à la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne, selon une autre source proche du dossier. Le parquet de Paris avait ouvert le 15 mai une enquête préliminaire des chefs de « harcèlement sexuel » et « agression sexuelle », confiée à la BRDP.
Deux plaintes pour ces mêmes chefs avaient été déposées par deux victimes présumées et anciens salariés de l’UPR, l’une dans l’Allier, l’autre à Paris, et un ancien cadre avait fait un signalement au procureur de la République. Ces accusations révélées par Libération avaient alors été qualifiées de « calomnies » par M. Asselineau. Selon l’entourage du chef de l’UPR (Union populaire républicaine) mercredi soir, François Asselineau est « actuellement entendu dans le cadre de la procédure judiciaire initiée par deux anciens employés du mouvement, concomitamment à une tentative de prise de contrôle de l’UPR par une poignée d’adhérents ».
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