Pour citer M. Soral "Quand tu te fais mordre par un chien il faut s’en prendre au maître, pas au chien" et bien voilà la diagonale que je trace avec cette histoire de château..
Une seule question en diagonale : Qui leur a vendu le bô chateau aux chinois ?...Un bourguignon
Et qui leur a cédé les bistrots parisiens ? sinon des auvergnats (mais pas qu’eux..avec tout mon respect aux VRAIS auvergnats résistants tels que Monsieur Jean Paul BOURRE en tête de liste).

Et voilà, le scénario bien huilé se déroule tranquillement, les portes de notre patrimoine béantes pour une braderie du dimanche aigre douce.

Et puis Mettons nous un instant à leur place de ces chinois pour le peu stratèges.
Primo : Devant la table en chêne pliant sous le poids des valises, des français imbéciles , avides et assez cons pour nous octroyer leur outil de travail ancestral, ces feu francais nous cèdent des marchés entiers de détaillants bien juteux (bistrots=détail de boisson), et bien par ma natte !..nous les rachetons illico, hardiment grâce à nos petites valises familiales rubis sur l’ongle ça oui !, et nous nous installons à la maniere de la pieuvre argentée, un peu partout dans la capitale..

Au bout d’un certain temps et d’acquisitions, nous représentons donc un lobby : Le lobby des cafetiers chinois...bon passons à la prochaine étape.

Secondo : puisque nous sommes le "lobby des cafetiers chinois", nous nous attaquons à la filière des demi-grossistes, qui alimentent nos cafés. Au pire nous traitons avec eux en faisant pression puisque, néanmoins solidaires, nous sommes..le lobby des cafetiers chinois. Vous suivez ? Alors continuons..

Tertio : En tant qu’influente ou possédant le circuit détaillant et une partie du cartel des demi-grossistes, dame ! Pour quelles raisons ne pas s’attaquer directement à la source ? Vous l’aurez deviné...le terreau français d’où cette subtile boisson est issue.

Quarto : la boucle est bouclée en 2 temps trois mouvements, le terroir cerné et acquis via la trahison franco-française (tiens comme un goût de déjà vu...), des stratèges contrefacteurs de premier ordre se glissant dans notre quotidien par le bas du peuple (le néo-bistrot mandarin bon’dour ing’ ca’fé ? U plass’ an ?..ou em’ po’ té ?) et la démonstration de force par le haut à gros coups de valises géantes.

Même processus pour les enturbannés Qataris, qui n’ont qu’à claquer des doigts pour trouver un gentil français bien huileux du front pour lui rabattre les meilleures affaires.

Bref, Lamentable.

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C’est peut-être une bonne occasion de se demander si la terre devrait rester une propriété privée (donc achetable par le plus offrant, comme n’importe quelle marchandise) ou si elle devrait être un bien national, confié en gérance à des gens dignes d’en prendre soin ...
Vive la nationalisation (ou la communalisation) des sols !

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Le problème n’est pas cet investisseur "CHINOIS"
 il fait ce qu’il a à faire -
et je lui donne raison, c’est bon pour le bizness, pour le CV, il pourra se la raconté dans ces soirées mondaine à Macao et ajouté qu’elle que nom dans son carnet d’adresse (notables et administrateurs de la république).

par exemple les conviés pour quelques "sweet summer (children) night" avec les frères la truelle dans cette belle battisse, ça peut toujours servir dans un futur proche d’avoir pour interlocuteur des gens qui ont des casseroles (surtout celle-ci).

le VÉRITABLE problème c’est qu’aucun patriote français n’a la volonté de conservé le patrimoine français.
car des français fortuné il y en a - une liste de collabo et d’apatride, j’admets
mais un français patriote fortuné - cela doit bien existé - 8 millions c’est que dalle
 au lieu de pleurniché - lâche la caillasse - et ferme la - a tout jamais -

sinon fait les causes pour mettre en application une lois qui interdirait l’achat de bien privé (classé monument historique) par des étrangers.
mais si tu entreprend cela, toi aussi par équité et justice tu ne pourras acheté des biens privé a l’étranger.

j’irais plus loin - si tu veux combattre le désordre et la corruption sur terre - et que ton seigneur soit satisfait de toi (et je m’y inclus)

commence par rendre tous les biens culturelles spolier ou achetés qui se trouve dans les musés nationaux après cela et seulement après cela je dirais que tu es gars crédible.

par exemple, pour te confirmé mon inclinaison a cette noble démarche je rendrais avec la permission d’Allah la basiliques sainte-sophie (Constantinople) - a son juste propriétaire - AMIN -.

a plus escroc...

ps : désolé...pour les fautes d’orthographe et de syntaxe.

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Tout cela est navrant en effet... Mais à quoi pouvions nous nous attendre ? Les Chinois au moins nous achètent en conformité avec le droit international. On tend notre c** à qui veut, pourquoi irait on reprocher aux chinois de nous le prendre ? C’est au moins signe qu’ils aiment bien notre vin !

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Tout se dégrade en France. Le vrai fromage au lait crû est devenu l’exception alors que jusqu’au début des années 80 c’était la norme (le camenbert premier prix à 5 francs était au lait crû...)...la qualité des vins s’est considérablement détériorée...l’entrée de gamme en vin grande qualité est maintenant à 30 euros minimum...et puis maintenant non content d’avoir tout salopé, saccagé...on vend ce qui reste à l’étranger...
Les Chinois doivent se dire quelle bande de dégénérés que ces Occidentaux qui anéantissent leur civilisation ! Une destruction méthodique qui arrive à son terme...

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Moi, j’aime pas les riches. Là, on parle d’un vin de riche, qui se vend cher. Et la marge que permet le titre de "grand cru", dans quelles poches elles tombe ? Celles des vendangeurs, des viticulteurs, ou celles de exploitants, qu’ils soient chinois, français, ou "plus français que les français" ? Question rhétorique. D’un exploitant/ploiteur Blanc, on passe à un Jaune. La belle affaire ! Le château, tant qu’il est convenablement entretenu, à la limite peu importe. Au contraire, vu qu’il est classé, il faut faire intervenir des professionnels certifiés, donc français, payé avec de l’argent "chinois", ça fait revenir en France une partie infime de toute la thune qui part dans cette "usine du monde".

Ce chinois a acheté ce vignoble pour faire un max de thunes, en profitant de la hype qu’il y a pour le vin français. Vu l’argent qu’il a dépensé pour l’acquérir, avec un château où il ne mettra probablement jamais les pieds, au contraire de le saboter comme certains se l’imaginent, il va probablement chercher à le porter à un haut niveau d’excellence et d’authenticité. Pour le vendre le plus cher possible à des amateurs encore plus friqués que les richards français qui s’en arrosent le palais. La logique du luxe, poussée à son paroxysme.

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Je trouve minable et pathétique la réaction de M. Philippot. Comment peut-on être d’accord avec le capitalisme quand il sert nos intérêts et jacter quand il est contre nous.

Deux choses l’une : soit on est souverainiste et on tire les conséquences de cette position éthique en appelant les multinationales françaises à ne pas aller prendre leur travail aux Africains et autres par le vol des matières premières, soit on ne l’est pas, et on accepte de subir la loi du plus fort. En Afrique, les entreprises françaises volent et pillent. En France, les entreprises chinoises achètent. La dialectique est différente.

L’inconséquence et le ridicule politique ne tuent pas.

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Cette histoire me rapelle l’affaire d’un tableau de Van Gogh appartenant à un riche japonais et qui au moment de mourrir voulait être enétérré avec le dit tableau.
Seulement, une oeuvre d’art appartient aussi au patrimoine de l’humanité et toute la question est de savoir si une oeuvre artistique ou architecturale pourrait appartenir à un privé ou s’il est éternellement du domaine public.

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Faut rien exagérer, c’est pas encore la mort de la bourgogne, c’est que 2 hectares, la parcelle n’est pas classée grand cru, tout juste l’appellation village je crois... C’est plus emmerdant pour le château, la bâtisse est magnifique, j’espère qu’il va pas tout bétonner...

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D’abord il n’y a pas de château en Bourgogne. On dit des domaines. Les châteaux sont plutôt dans le bordelais. Ensuite le domaine Gevrey Chambertin n’est pas un grand cru, donc 8 millions pour 2 hectares de vigne me semble honnête.

Maintenant il est un peu tard pour s’alarmer des reprises des vignobles français par des firmes étrangères. On trouve aujourd’hui des ceps de grands crus bordelais qui poussent en Californie et des Cognac australiens. La dernière acquisition est le rachat d’un domaine champenois par une société anglaise. Du champagne anglais ! Là, on est vraiment barré !

Et même quand le savoir faire français n’est pas carrément racheté par des sociétés étrangères, celles-ci obligent les producteurs qui veulent exporter, à changer leurs méthodes de fabrication. Ainsi on peut trouver des Munster, Roquefort et autres camembert, pasteurisés façon yankee. Maintenant pour trouver un Munster au lait cru, il faut, soit aller en Alsace, soit l’acheter chez un détaillant fromager à un prix exorbitant.

En 30 ans, le vin, comme le fromage de tradition sont devenus des produits de luxes difficilement abordables pour la ménagère. Il en va de même pour tous les produits dits de "terroir". A partir du moment où les familles modestes ne peuvent plus s’alimenter quotidiennement de produits locaux, on ne peut plus considérer la gastronomie française comme patrimoine national.

D’après une enquête du centre des statistiques nationales (INSEE), réalisée en 2005 pour le compte d’une industrie agroalimentaire européenne, le plat le plus consommé par les français serait le couscous. Or on ne boit pas de bourgogne avec le couscous.

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